Test HCFR : Definitive Technology Descend DN12

Test HCFR : Definitive Technology Descend DN12

Compte-rendu de François_fafa

 

Présentation esthétique et technique 

Changeant rarement de caisson et ne m’intéressant donc pas aux nouveautés en la matière, je ne connais la marque Definitive Technology que de nom et aucunement la référence Descend DN12.

DN12 ?

Il s’agirait donc d’un petit caisson équipé d’un HP de 12″ comme mon Velodyne DD12 ou mon Dali E12-F.
Ca aura l’avantage d’être pratique à déplacer dans mes différentes pièces.

Et pourtant, à la réception et à la vue de l’imposant emballage, il est évident que le DN12 ne joue pas dans la même cour.

Il s’agit d’un caisson bien plus imposant que mes deux 12″.

Qu’y-a-t-il donc à l’intérieur pour qu’un HP de 12″ nécessite un tel volume de charge ?

Esthétiquement, ce caisson est sobre et bien fini.

Certes, il ne peut cacher son encombrement aussi imposant qu’un caisson de 15″, mais sa finition en tissu intégral (excepté sur une partie de l’arrière, laissant place à la plaque électronique) permet une intégration classieuse dans un salon.

Le dessus est recouvert d’une plaque de bois noir satiné, qui a malheureusement tendance à prendre rapidement les traces de doigts. Mais elle donne à ce cube un côté chic que j’apprécie bien.

Les dimensions sont classiques… pour un caisson de 15″ :

On est face à un quasi-cube de près de 50 cm de chaque côté. On est donc loin des petites dimensions des habituels caissons de 12″.

(ci-dessous, le DN12 à côté du petit Dali 12″)

 

La connectique arrière est classique, mais de belle facture :

  • Entrée RCA mono LFE, non filtrée
  • Entrée RCA stéréo, filtrée pour s’intégrer dans une installation hi-fi et permettre de gérer la fréquence de coupure
  • 2 paires de borniers « haut niveau » pour y raccorder directement les sorties HP d’un amplificateur

Evidemment, un dédoublement des entrées RCA en XLR aurait été un plus, mais cela ne correspond pas forcément au niveau de gamme de ce caisson. Et cette absence n’est de toute façon aucunement préjudiciable.

Cette plaque intègre également des boutons pour le piloter, les mêmes boutons que l’on peut retrouver sur la très jolie télécommande fournie.

L’intérieur du caisson m’est évidemment inaccessible (à moins de le démonter), mais sa conception est assez intéressante.

Il s’agit de base d’un caisson clos en MDF rigide et renforcé (pour tenir la charge acoustique), équipé en façade d’un HP de 12″ à fort débattement.

Sur chaque côté, se trouve  un radiateur passif de 12″. Il s’agit d’une membrane de HP classique, mais dépourvu de son moteur (l’aimant) et bien sûr sans amplification.

Ces deux radiateurs ont pour but de faire varier légèrement le volume interne du caisson, sans pour autant induire les distorsions propres au bass reflex. Cela permet au HP actif de descendre plus bas, tout en gardant les qualités de reproduction d’un caisson clos (précision et impact).

Ce dernier est amplifié par un étage de puissance de 500 W en classe H, 1500 W en crête.

Je vous renvoie vers la page Wikipedia dédiée aux classes de fonctionnement d’un amplificateur pour plus de détails sur la classe H, ça dépasse de loin mes maigres compétences en électronique.

L’ensemble est contrôlé par un DSP 56 bit dont le but est double :

  • Il contrôle électriquement l’état du HP afin d’éviter talonnement ou distorsion.
  • Il dispose de 3 modes d’égalisation prédéfinie : Flat, Deep et Loud, permettant d’adapter ce caisson à son environnement et à ses envies.

Tout ceci permet à ce DN12 de descendre correctement à 25hz.

A vérifier lors de l’écoute…

 

Contextes des tests du Def Tech DN12 :

Pour ma part, j’ai pu le tester dans 3 environnement très différents :

  • Une pièce dédiée Home Cinema, face à mon caisson SVS SB16-Ultra
  • Un bureau orienté hi-fi, face à mon caisson Velodyne DD12
  • Un grand salon, face à mon caisson Dali E-12 F

 

A l’usage 

Les caissons plus haut de gamme proposent souvent quantité de réglages permettant notamment une égalisation très précise.

Si la technologie employée dans ce DN12 est intéressante, notamment avec son processeur 56bit, elle reste finalement assez inaccessible à l’utilisateur qui ne peut pas en faire grand chose.

Ce que Definitive Technology propose à l’utilisateur avec le DN12 est très classique et bien en rapport avec un caisson de cette gamme :

  • Réglage du volume
  • Réglage de la phase
  • Réglage de la fréquence de coupure du filtre passe bas (dans le cadre de l’utilisation de ce caisson au sein d’une chaine hi-fi)
  • Choix entre les 3 modes d’égalisation vus plus haut.

Cela a au moins un avantage : il n’est pas nécessaire de se torturer l’esprit dans les réglages et l’égalisation.

Dans le cadre de l’utilisation de ce caisson dans un Home Cinema (ce qui est sa vocation première), on pourra toujours compter sur la calibration opérée par l’ampli-processeur gérant l’installation.

Tous les réglages sont accessibles via la télécommande.

Elle arbore un plastique soyeux très agréable au toucher et son design est assez intéressant, mêlant des formes géométriques

C’est agréable de noter que Definitive Technology a apporté un soin particulier à cet objet.

Ce n’est pas toujours le cas, y compris pour des constructeurs très haut de gamme (Accuphase et Chord, par exemple).

Elle s’avère précise et pratique.

Les informations sont visibles par l’auditeur depuis un afficheur placé sur la façade, mais caché derrière le tissu.

Afficheur éteint, il est alors invisible.

Et lorsqu’il est allumé, l’effet visuel est très réussi.

Là encore, je salue vraiment Definitive Technology pour la très belle intégration de cet afficheur.
(SVS, avec son afficheur proéminent et mal intégré, ferait bien de prendre exemple sur ce DN12)

 

A l’écoute en Home Cinema 

Je place ce caisson à droite de ma scène frontale, le SVS se trouvant à gauche.

La pièce étant symétrique, aucun des deux caissons ne sera favorisé ou lésé par son positionnement.

Il s’agit d’une pièce de petite taille (17m² seulement) mais pensée pour un usage HC, avec notamment un sas d’entrée de 6m² et des cloisons épaisses et pleines, utilisées normalement en séparation d’appartements.

Le caisson est branché sur la seconde prise « sub » de mon préampli HC, un Yamaha CX-A 5200.
Il s’agit d’une prise indépendante de la première permettant donc de calibrer deux caissons.

Sur les conseils de Cyril_Poupafaya, qui m’a livré ce caisson, je règle le volume au maximum (soit 40), puis je passe à la calibration via mon préampli HC Yamaha CX-A 5200.

 

Les écoutes peuvent commencer

La première écoute a été faite sur mon Home Cinema face à mon SVS SB16-Ultra.

Inutile de préciser que ce match est le plus difficile des trois que je vais organiser pour ce DN12.

Ce SB16-Ultra est un caisson clos équipé d’un HP de 16″ et d’une amplification de 1500 W (5000 W en crête).

A l’écoute, ce caisson se montre d’une puissance et d’une précision impressionnante, permettant de ressentir dans le canapé les impacts de grave, y compris leurs différentes nuances.

Je m’attendais donc à une victoire par KO de mon SVS sur le DN12.

 

J’insère mon UHD de test actuel, le film « A Star Is Born », la scène à partir de 33’33 » où Ally  va être révélée sur scène au grand public par Jackson Maine. Superbe scène, admirablement rythmée, entrainée par le medley des morceaux Out of Time et Alibi, musiques rock riches et puissantes.

Référentiel : Les coups de grosse caisse joués par mon SVS sont physiques et gardent tout de même une grande lisibilité.

Dans un registre plus calme, la bonne tenue dans le grave se poursuit sur le morceau suivant : « Shallow ».

Dès le début de la scène, les bruits sourds du déplacement du gros SUV américain me semblent bien retranscrits par ce DN12. Claquement de portes, moteur, roulement, tout est reproduit avec justesse et un niveau sonore correct.

Ca n’atteint pas la profondeur du SVS, mais c’est tout de même encourageant.

Mon jugement est cependant suspendu à l’apparition de la grosse caisse, au moment où Ally monte l’escalier pour rejoindre la scène :

Je dois avouer que je fus alors assez surpris. Puissance et précision sont vraiment au RDV avec ce DN12. Puissance car le canapé se prend une fois de plus de bonnes vibrations dans les coussins, et précision car je ne note aucune saturation ou distorsion réellement audible, alors que le niveau est très élevé (je l’écoute à -10 dB).

Le round se poursuit sur la suite de cette longue scène durant laquelle le DN12 montre de vraies qualités.

Fin du 1er round : à l’évidence, la victoire du SVS ne se fera pas par KO. Il devra aller la chercher aux points.

 

Le round suivant s’est fait sur Joker et la scène du meurtre des traders dans le métro. Il s’agit d’une scène relativement intimiste qui, sur le plan sonore, distille une tension grimpante par des bruitages et effets sonores de plus en plus forts et fréquents.

Les basses provoquées par le déplacement du métro sont bien retranscrites et permettent vraiment de s’immerger dans la scène.

Même si la très grande majorité du spectre sonore des coups de feu n’est pas dans les basses, ils profitent néanmoins bien de la rapidité de ce DN12 pour assoir leur présence.

 

J’enchaine avec la première course-poursuite de Fast And Furious 8 à Cuba.

Pas de doute, le DN12 en a sous le capot et parvient à faire rugir les moteurs comme il se doit.

Les basses se montrent assez profondes et savent se transmettre au canapé en restant détaillées.

 

 

Dernier round : l’attaque des indiens du film The Revenant, et notamment la scène précise où les indiens débarquent à cheval.Les sabots tapant le sol provoquent un tremblement physique bien ressenti avec le DN12.

 

A l’issue de ce 1er match, 2 choses sont évidentes :
– Certes, le DN12 ne parvient pas à sortir vainqueur face au SVS SB16-Ultra.

Il faut bien comprendre que les forces en présence ne sont pas les mêmes. Le SVS a pour lui un HP plus grand et une amplification plus musclées…

Et logiquement une tarification bien supérieure également.

On peut d’ailleurs se demander s’il est pertinent de comparer deux caissons, dont l’un vaut 3 fois le prix de l’autre.

Vu comment le DN12 s’est défendu, je réponds par l’affirmative et je l’assume.

 

– Le DN12 sait clairement montrer de grandes qualités pour un usage Home Cinema et j’avoue que je ne m’attendais pas à ce niveau de prestation.

Peut-être ai-je mal anticipé le fait que s’il s’agit d’un HP de 12″, son encombrement est comparable à un 15″.

Et compte tenu de son prix, on est face à un caisson qui propose de grandes qualités.

Pour rester sur un prix identique à mon SVS, je ne peux m’empêcher de me demander ce que vaudraient 3 caissons DN12… Ne serait-ce alors pas mon SVS qui chercherait à éviter le KO ?

Au niveau du paramétrage, j’ai choisi le mode LOUD, qui propose le plus de puissance.

Le mode DEEP propose logiquement des basses plus profondes, mais au détriment d’un volume sonore légèrement atténué.

Le mode FLAT ne me parait guère intéressant en soit, descendant moins bas que le mode DEEP, et se montrant assez plat, justement.

 

A l’écoute en hi-fi 

Loin d’être sonné par son précédent match, le DN12 arrive fièrement dans mon bureau, aménagé en pièce hi-fi, pour combattre contre mon Velodyne DD12.

Ce dernier est un caisson compact, frêle à côté du DN12. Mais attention à ne pas le sous-estimer. Ceux qui le connaissent savent de quoi il est capable.

Avec une amplification de 1250 W et un HP de 12″ asservi numériquement dans une enceinte close, il est capable de faire preuve de beaucoup de puissance tout en se montrant très nuancé.

Question prix, le DD12 est dans la même gamme tarifaire que le SVS SB16. Le DN12 apparait donc encore une fois comme l’outsider.

Ce Velodyne propose aussi une égalisation très précise qui permet au bas du spectre de « coller » aux enceintes qu’il doit soutenir.

Le DN12 part donc avec un handicap sur ce point.

Cependant, j’essaie de le configurer au mieux et je choisis alors le mode DEEP (qui permet d’avoir des basses descendant plus bas) et un volume à 27 (qui semble correspondre au volume de mon DD12).

La fréquence de coupure est volontairement coupée à 70 Hz pour qu’il ne prenne pas trop le pas sur mes enceintes.

A ce sujet, notons qu’il s’agit d’une paire de JMR Orfeo mk2 (colonnes 3 voies, 3HP) amplifiées par un intégré Accuphase E550 (en pur classe A).

Vu ce que j’ai écouté précédemment en configuration Home Cinema, nul doute que le DN12 saura se montrer à la hauteur pour accompagner ma chaine hi-fi.

Le caisson n’a pas ici vocation à faire sauter le canapé mais à appuyer le grave des Orfeo, dans une zone très restreinte du spectre sonore.

Je lance donc quelques morceaux de ma playlist de démo, intéressants au niveau de la reproduction du grave, plus ou moins profond :

  • Bernard Lavilliers – Rafales
  • Chris Jones – No Sanctuary Here
  • Cyrill Lutzelschwab & Martin Hess – Boxenkiller
  • Eric Clapton – Layla (de l’album « Unplugged »)
  • Mission Impossible Thème de Danny Elfman (du 1er film avec Tom Cruise)
  • Nuttea – Elle
  • Pink Floyd – The Wall part 2
  • O-Zone Percussion Group – La Bamba – Jazz Variants

Ces morceaux proposent des basses différentes.

On a ainsi :

  • des basses puissantes et très rondes avec « Rafales » et « Elle »,
  • des basses puissantes mais précises avec « No Sanctuary Here » et « Mission Impossible » ,
  • ou bien encore des basses très percutantes avec « Boxenkiller », « O-Zone Percussion Group » et « The Wall ».

Le cas d’Eric Clapton est intéressant dans une autre mesure, car il propose une tape du pied sur la scène, peu puissante, mais qui doit être normalement bien audible.

Le DN12, se trouvant dans une certaine zone de confort, parvient sans problème à jouer sa partition.

Les basses sont précises, profondes et déliées.

Et il garde ses qualités à haut volume.

Le Velodyne marque néanmoins une longueur d’avance :

  • Sur les morceaux puissants, si on le souhaite, il peut se montrer très puissant tout en restant parfaitement lisible.
  • Et en usage classique, il se montre également un peu plus précis, laissant plus percevoir le timbrage des basses.
  • Je ne suis pas étonné sur ce point. C’est une des très grandes qualités de ce DD12 et je l’avais choisi pour cela.

Mais il n’en reste pas moins que le DN12 propose un excellent résultat. Il ne faut pas oublier que je le fais concourir face à des adversaires bien plus onéreux.

 

A l’écoute dans mon salon 

Il s’agit d’un séjour assez grand, ouvert à gauche sur la salle à manger et la cuisine et éclairé de part et d’autre par deux grandes baies vitrées, avec du carrelage au sol.

Ce n’est donc clairement pas un endroit idéal pour diffuser de la musique « hi-fi ».

Cependant, j’y ai tout de même installé un peu de matériels pour améliorer le son déplorable du téléviseur et éventuellement animer quelques soirées festives.

On trouve en sources une Nvidia Shield et une PS3, reliées à un ancien ampli intégré Yamaha RX-V 3900, qui attaque une paire d’enceintes in-wall Focal IW706 et un petit caisson Dali E12-F.

Idéal pour faire du « boom-boom » le samedi soir.

Le caisson Dali a été choisi pour ses qualités esthétiques et son intégration. D’un format très compact, il peut se loger facilement.
Et sa façade noire laquée correspond bien à la décoration de mon séjour.

A l’écoute, il propose suffisamment de puissance pour une soirée festive, mais ses qualités s’arrêtent là. Il ne se montre ni précis, ni percutant. Mais il correspond à ce que j’en attendais pour ce prix (un peu plus de 500€).

Je profite d’être seul à la maison pour installer le DN12 « en douce » dans le salon.

Je décale donc le Dali sur la gauche et installe en lieu et place le gros DN12. La comparaison est de taille tant ce dernier est plus imposant.
Sans attendre, je vous distille d’ailleurs le compte-rendu très détaillé de ma femme lorsqu’elle est rentrée : « C’est quoi, c’t’ horreur ! J’espère que tu vas pas me laisser ça là toute la semaine ! « 

Bon, cela me laisse donc quelques temps pour faire les tests que je souhaitais, essentiellement sur de la musique festive, puisque c’est à cela que sert cette installation.

Je mets en place la traditionnelle calibration. Là encore, je suis obligé de monter le volume du caisson au maximum.

La calibration a choisi de le niveler à +3 dB.

Pour ma part, j’ai volontairement choisi d’augmenter cela à +8 dB, pour un rendu festif.

Je suis un peu surpris du fait qu’il faille vraiment monter le DN12 aussi fort.

Cela dit, ça ne pose pas de souci particulier à l’usage. Mais ça peut être contraignant dans le cadre d’utilisation d’enceintes à haut rendement.

Une fois ceci fait, je constate que le DN12 n’a aucun mal à toiser le petit Dali.

Alors que l’environnement n’est aucunement favorable à la restitution correcte de la musique, il parvient à proposer des basses qui montrent une certaine précision, tout en gardant de l’énergie (malgré la taille de la pièce).

En usage Home Cinema, sur le film Fast And Furious 8, le résultat est là aussi bien supérieur à ce dont est capable le petit Dali. Les basses sont plus puissantes, plus profondes et plus percutantes.

 

Connaissant bien mes trois caissons et connaissant maintenant bien le DN12, je m’attendais à ce résultat.

Il était d’autant plus prévisible si on se réfère à la gamme tarifaire des deux caissons : Le DN12 vaut le double du Dali.

Ma fille de 4 ans n’étant pas la dernière à apprécier la musique, je lui ai demandé son avis : elle garde le DN12 également. Dommage que ma femme soit contre !

 

 

Conclusion 

Ce caison Definitive Technology DN12 se sera vaillamment battu.

Face à 2 adversaires réellement plus chers que lui, il aura maintenu la tête haute en proposant de la puissance et du physique en Home Cinema et de la précision en Hi-Fi.

Face à son 3ème adversaire, le combat aura été très rapide en sa faveur.

Si ces 3 matchs se sont montrés déséquilibrés, ils sont pourtant très intéressants et permettent bien de définir les qualités du DN12 à savoir son rapport qualité-prix qui est excellent.

Il se montre vraiment supérieur au petit caisson Dali, certes moitié moins cher. Mais cela ne représente qu’un écart finalement assez modique : 500€.

A l’inverse, face à des caissons qui font 3 fois son prix, le DN12 a dû s’incliner mais avec un sacré panache… et là l’écart est de 2000€ !

Ainsi, la somme nécessaire à débourser pour avoir mieux est très élevée.

A l’inverse, l’économie réalisée pour avoir moins bien est assez faible.

Aussi, si on n’a pas de contrainte de place ou d’exigences particulières quant à l’esthétique, ce caisson Definitive Technology Descend DN12 sera un puissant allié pour vos soirées musiques et cinémas.

 

François_Fafa
HCFR – Septembre 2022

 

– lien vers le sujet HCFR dédié auX CAISSONS DE BASSES DEFINITIVE TECHNOLOGY  : https://www.homecinema-fr.com/forum/son-audio-caissons-de-basse-homecinema/definitive-technology-t30039657.html

 

 

 

Partager :