Allu...c'est reparti...tu t'es remis en chasse ???
On ne craquera pas tu sais... ...enfin pas si facilement...
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Tout sur les projecteurs vidéo à matrices ( LCD, DMD, DILA, ... ) 1080i/1080P
Sanyo PLV-Z5 [Synthèse et liens P.1]
La configuration dans mon profil
Si haut que l'on soit placé, on est jamais assis que sur son cul...
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treza - Membre d'Honneur
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- Inscription Forum: 09 Fév 2002 2:00
- Localisation: Nice
allucinéma a écrit: voire même que tout ça passe par une optique qui ne serait pas faite dans du carton de récupération ...
Avoue quand même que de sortir une luminosité pareille à travers du carton dépasse l'exploit technique : c'est du miracle !
Que les techs de chez Sanyo soit cannonisé sur le champ !!!
- McGayver
- Messages: 22166
- Inscription Forum: 12 Déc 2005 1:23
- Localisation: Perdu au fin fond du Gers
Nous on prie Saint Sanyo, Alllu prie Saint bénéfice.
t'inquiète je plaisante aussi Allu.
t'inquiète je plaisante aussi Allu.
- totolarico
- Messages: 11142
- Inscription Forum: 31 Oct 2003 19:58
- Localisation: Fiji
je vais cité Allucinema dans ce que j'ai aimé le plus dans sa bible perso que j'ai fait mienne:
Citation d' Allucinema:
Petite information sur la perception, la discrimination des luminances et contrastes :
Lorsque l'oeil reçoit de la lumière, il a deux façons de réagir simultanément, à savoir :
- une façon mécanique et instinctive en adaptant le diamètre de la pupille en fonction de la luminance reçue,
- moins mécaniquement, la rétine traduit cette lumière en sensation selon une loi non-linéaire.
Le réflexe de la pupille dépend de la luminosité moyenne de la scène : lorsque celle-ci comporte une grande partie à tendance claire (vu sous un angle mini de 20 à 30° ), c'est elle qui détermine l'adaptation. Dans le cas contraire, c'est la luminance moyenne de la scène.
Deplus, cette adaptation n'est pas immédiate mais progressive, ce qui explique entre autre les éblouissements dus aux éclairs et dans le cas qui nous concerne plus, les sauts de luminance dans certaines images de ciné ou de TV...
ça c'est notre façon de percevoir la luminance et la façon dont on s'y adapte, mais comment fait-on pour les séparer, les discréminer ?
En fait, la perception des luminances est donnée par la courbe de sensibilité. Elle diffère pour la vision scotopique et la vision photopique et varie selon la surface éclairée.
A une longueur d'onde donnée, la perception de la luminance n'est pas linéaire. Si on part d'une luminance Y et qu'on l'augmente progressivement dans des conditions d'adaptation inchangées, la différence n'est perçue qu'à partir d'un seuil d'augmentation DeltaY. En vision Photopique, le rappport DeltaY/Y est constant et sa valeur généralement admise est de l'ordre de 1% ce qui justifie les types de codages utilisés en vidéo numérique...
Bizarrement, même si on regarde dans le noir, c'est ce type de vision qui nous interresse car nous ne sommes pas réellement dans le cadre de l'absence de lumière de la vision scotopique
Le svaleurs de sensibilité différentielles s'appliquent à des surfaces de petite taille juxtaposées à l'intérieure d'une grande surface dont la liminance détermine l'adaptation (on l'a vu avant, faut suivre ! )... Mais à l'intérieur d'une image dont le contraste est élevé, cette adaptation se fait sur la valeur moyenne de la luminance de l'image (ou de la scène ) dont léclairage ambiant (de la scène ) joue un rôle imortant dans l'adaptation...
Le seuil différentiel DelatY/Y augmente de façon considérable dans les parties sombres et dans les parties claires... Ainsi sur une image monochrome complète de grandes dimensions, on peut considérer que la sensibilté de l'oeil aux variations de luminance est maximale sur les niveaux de gris moyens, les niveaux intermédiaires...
une approche typiquement Sanyoiste de la repro HC !
salut à toi grand Allu aux pieds plats !
Citation d' Allucinema:
Petite information sur la perception, la discrimination des luminances et contrastes :
Lorsque l'oeil reçoit de la lumière, il a deux façons de réagir simultanément, à savoir :
- une façon mécanique et instinctive en adaptant le diamètre de la pupille en fonction de la luminance reçue,
- moins mécaniquement, la rétine traduit cette lumière en sensation selon une loi non-linéaire.
Le réflexe de la pupille dépend de la luminosité moyenne de la scène : lorsque celle-ci comporte une grande partie à tendance claire (vu sous un angle mini de 20 à 30° ), c'est elle qui détermine l'adaptation. Dans le cas contraire, c'est la luminance moyenne de la scène.
Deplus, cette adaptation n'est pas immédiate mais progressive, ce qui explique entre autre les éblouissements dus aux éclairs et dans le cas qui nous concerne plus, les sauts de luminance dans certaines images de ciné ou de TV...
ça c'est notre façon de percevoir la luminance et la façon dont on s'y adapte, mais comment fait-on pour les séparer, les discréminer ?
En fait, la perception des luminances est donnée par la courbe de sensibilité. Elle diffère pour la vision scotopique et la vision photopique et varie selon la surface éclairée.
A une longueur d'onde donnée, la perception de la luminance n'est pas linéaire. Si on part d'une luminance Y et qu'on l'augmente progressivement dans des conditions d'adaptation inchangées, la différence n'est perçue qu'à partir d'un seuil d'augmentation DeltaY. En vision Photopique, le rappport DeltaY/Y est constant et sa valeur généralement admise est de l'ordre de 1% ce qui justifie les types de codages utilisés en vidéo numérique...
Bizarrement, même si on regarde dans le noir, c'est ce type de vision qui nous interresse car nous ne sommes pas réellement dans le cadre de l'absence de lumière de la vision scotopique
Le svaleurs de sensibilité différentielles s'appliquent à des surfaces de petite taille juxtaposées à l'intérieure d'une grande surface dont la liminance détermine l'adaptation (on l'a vu avant, faut suivre ! )... Mais à l'intérieur d'une image dont le contraste est élevé, cette adaptation se fait sur la valeur moyenne de la luminance de l'image (ou de la scène ) dont léclairage ambiant (de la scène ) joue un rôle imortant dans l'adaptation...
Le seuil différentiel DelatY/Y augmente de façon considérable dans les parties sombres et dans les parties claires... Ainsi sur une image monochrome complète de grandes dimensions, on peut considérer que la sensibilté de l'oeil aux variations de luminance est maximale sur les niveaux de gris moyens, les niveaux intermédiaires...
une approche typiquement Sanyoiste de la repro HC !
salut à toi grand Allu aux pieds plats !
- totolarico
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- Localisation: Fiji
McGayver a écrit:Tu touches plus que 10 000€ par mois alors ???
je touchais
- allucinéma
- Pro-Divers
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- Localisation: - France -
totolarico a écrit:je vais cité Allucinema dans ce que j'ai aimé le plus dans sa bible perso que j'ai fait mienne:
Citation d' Allucinema:
Petite information sur la perception, la discrimination des luminances et contrastes :
Lorsque l'oeil reçoit de la lumière, il a deux façons de réagir simultanément, à savoir :
- une façon mécanique et instinctive en adaptant le diamètre de la pupille en fonction de la luminance reçue,
- moins mécaniquement, la rétine traduit cette lumière en sensation selon une loi non-linéaire.
Le réflexe de la pupille dépend de la luminosité moyenne de la scène : lorsque celle-ci comporte une grande partie à tendance claire (vu sous un angle mini de 20 à 30° ), c'est elle qui détermine l'adaptation. Dans le cas contraire, c'est la luminance moyenne de la scène.
Deplus, cette adaptation n'est pas immédiate mais progressive, ce qui explique entre autre les éblouissements dus aux éclairs et dans le cas qui nous concerne plus, les sauts de luminance dans certaines images de ciné ou de TV...
ça c'est notre façon de percevoir la luminance et la façon dont on s'y adapte, mais comment fait-on pour les séparer, les discréminer ?
En fait, la perception des luminances est donnée par la courbe de sensibilité. Elle diffère pour la vision scotopique et la vision photopique et varie selon la surface éclairée.
A une longueur d'onde donnée, la perception de la luminance n'est pas linéaire. Si on part d'une luminance Y et qu'on l'augmente progressivement dans des conditions d'adaptation inchangées, la différence n'est perçue qu'à partir d'un seuil d'augmentation DeltaY. En vision Photopique, le rappport DeltaY/Y est constant et sa valeur généralement admise est de l'ordre de 1% ce qui justifie les types de codages utilisés en vidéo numérique...
Bizarrement, même si on regarde dans le noir, c'est ce type de vision qui nous interresse car nous ne sommes pas réellement dans le cadre de l'absence de lumière de la vision scotopique
Le svaleurs de sensibilité différentielles s'appliquent à des surfaces de petite taille juxtaposées à l'intérieure d'une grande surface dont la liminance détermine l'adaptation (on l'a vu avant, faut suivre ! )... Mais à l'intérieur d'une image dont le contraste est élevé, cette adaptation se fait sur la valeur moyenne de la luminance de l'image (ou de la scène ) dont léclairage ambiant (de la scène ) joue un rôle imortant dans l'adaptation...
Le seuil différentiel DelatY/Y augmente de façon considérable dans les parties sombres et dans les parties claires... Ainsi sur une image monochrome complète de grandes dimensions, on peut considérer que la sensibilté de l'oeil aux variations de luminance est maximale sur les niveaux de gris moyens, les niveaux intermédiaires...
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salut à toi grand Allu aux pieds plats !
C'était un des jours où je me sentais en forme et où on m'avait demandé d'argumenter... Comme j'aime bien els débats contradictoires dès lors qu'ils sont argumentés ...
- allucinéma
- Pro-Divers
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- Inscription Forum: 19 Juin 2002 18:15
- Localisation: - France -
c'est tout a ton Honneur, Hallu, car ce qui se conçoit bien s'ennonce clairement. Même moi qui suis un cancre ignorant j'ai validé ton approche comme etant mienne.
- totolarico
- Messages: 11142
- Inscription Forum: 31 Oct 2003 19:58
- Localisation: Fiji
allucinéma a écrit:totolarico a écrit:je vais cité Allucinema dans ce que j'ai aimé le plus dans sa bible perso que j'ai fait mienne:
Citation d' Allucinema:
Petite information sur la perception, la discrimination des luminances et contrastes :
Lorsque l'oeil reçoit de la lumière, il a deux façons de réagir simultanément, à savoir :
- une façon mécanique et instinctive en adaptant le diamètre de la pupille en fonction de la luminance reçue,
- moins mécaniquement, la rétine traduit cette lumière en sensation selon une loi non-linéaire.
Le réflexe de la pupille dépend de la luminosité moyenne de la scène : lorsque celle-ci comporte une grande partie à tendance claire (vu sous un angle mini de 20 à 30° ), c'est elle qui détermine l'adaptation. Dans le cas contraire, c'est la luminance moyenne de la scène.
Deplus, cette adaptation n'est pas immédiate mais progressive, ce qui explique entre autre les éblouissements dus aux éclairs et dans le cas qui nous concerne plus, les sauts de luminance dans certaines images de ciné ou de TV...
ça c'est notre façon de percevoir la luminance et la façon dont on s'y adapte, mais comment fait-on pour les séparer, les discréminer ?
En fait, la perception des luminances est donnée par la courbe de sensibilité. Elle diffère pour la vision scotopique et la vision photopique et varie selon la surface éclairée.
A une longueur d'onde donnée, la perception de la luminance n'est pas linéaire. Si on part d'une luminance Y et qu'on l'augmente progressivement dans des conditions d'adaptation inchangées, la différence n'est perçue qu'à partir d'un seuil d'augmentation DeltaY. En vision Photopique, le rappport DeltaY/Y est constant et sa valeur généralement admise est de l'ordre de 1% ce qui justifie les types de codages utilisés en vidéo numérique...
Bizarrement, même si on regarde dans le noir, c'est ce type de vision qui nous interresse car nous ne sommes pas réellement dans le cadre de l'absence de lumière de la vision scotopique
Le svaleurs de sensibilité différentielles s'appliquent à des surfaces de petite taille juxtaposées à l'intérieure d'une grande surface dont la liminance détermine l'adaptation (on l'a vu avant, faut suivre ! )... Mais à l'intérieur d'une image dont le contraste est élevé, cette adaptation se fait sur la valeur moyenne de la luminance de l'image (ou de la scène ) dont léclairage ambiant (de la scène ) joue un rôle imortant dans l'adaptation...
Le seuil différentiel DelatY/Y augmente de façon considérable dans les parties sombres et dans les parties claires... Ainsi sur une image monochrome complète de grandes dimensions, on peut considérer que la sensibilté de l'oeil aux variations de luminance est maximale sur les niveaux de gris moyens, les niveaux intermédiaires...
une approche typiquement Sanyoiste de la repro HC !
salut à toi grand Allu aux pieds plats !
C'était un des jours où je me sentais en forme et où on m'avait demandé d'argumenter... Comme j'aime bien els débats contradictoires dès lors qu'ils sont argumentés ...
Trop compliqué pour ma caboche !
- jacquob7
- Messages: 968
- Inscription Forum: 11 Jan 2006 22:39
C'est parce que c'est un extrait... en fait j'avais écrit bien plus long et donc certaines parties expliquaient en détails ce qui peut paraître plus obscure là...
- allucinéma
- Pro-Divers
- Messages: 16272
- Inscription Forum: 19 Juin 2002 18:15
- Localisation: - France -
Est-ce que ça vaut le coup de passer d'un Z4 à un Z5 ? y-a-t-il une grande différence ?
- FoulehacheD
- Messages: 1448
- Inscription Forum: 28 Nov 2006 22:51
- Localisation: THE FRENCH SOUTH WEST sea, sex and HD
ben24 a écrit:Est-ce que ça vaut le coup de passer d'un Z4 à un Z5 ? y-a-t-il une grande différence ?
- iris auto plus rapide : moins d'effet de pompage dans un passage scène claire scène sombre
- netteté un poils meilleure
- 2 prises hdmi
- kifran21
- Messages: 491
- Inscription Forum: 02 Jan 2005 22:55
- Localisation: dijon
Oyé Oyé !!!
Ca serais sympa , et surtout trés important , que ceux qui utilise la sonde HCFR répondent aux questions suivantes :
-Est ce que vous vous servez du cable avec la LED IR et surtout est-ce que vous avez eu l'utilité de la LED incorporé à la sonde .
Merciiiii !
Ca serais sympa , et surtout trés important , que ceux qui utilise la sonde HCFR répondent aux questions suivantes :
-Est ce que vous vous servez du cable avec la LED IR et surtout est-ce que vous avez eu l'utilité de la LED incorporé à la sonde .
Merciiiii !
- McGayver
- Messages: 22166
- Inscription Forum: 12 Déc 2005 1:23
- Localisation: Perdu au fin fond du Gers
McGayver a écrit:Oyé Oyé !!!
Ca serais sympa , et surtout trés important , que ceux qui utilise la sonde HCFR répondent aux questions suivantes :
-Est ce que vous vous servez du cable avec la LED IR et surtout est-ce que vous avez eu l'utilité de la LED incorporé à la sonde .
Merciiiii !
Pas d'utilité du cable LED IR pour ma part.
La LED incorporée me sert juste à voir que la sonde est bien alimentée... en cours de calibration le logiciel nous dit qd changer donc...
- kifran21
- Messages: 491
- Inscription Forum: 02 Jan 2005 22:55
- Localisation: dijon
Pour la LED incorporé j'ai oublié de préciser aussi si la LED IR était utile ?
Merci
- McGayver
- Messages: 22166
- Inscription Forum: 12 Déc 2005 1:23
- Localisation: Perdu au fin fond du Gers
non pour les 2
- costaud
- Contributeur HCFR 2019
- Messages: 19842
- Inscription Forum: 05 Oct 2004 20:51
- Localisation: 28 CHATEAUDUN
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