richardpe a écrit:bon on est presque daccord sur certains trucs haskil mais quand tu dit que LEVINSON utilise les parties OEM des mécaniques en numérique la je tousse un peu..J'ai jamais vu un board d'une méca phillips en téflon avec des résistances de précision de chez Vishay mais bon..Yen a tellement qui le font ca c'est vrai....Je persiste en disant que le 24/192 n'est qu'un leur agréable à l'oreille...ca fait un plus beau son ca n'apporte rien à la musique........Je vais encore me faire tirrer les oreilles là
Pour l'essentiel, le coeur même de la mécanique, ils font comme tout le monde, ils puisent dans le catalogue des constructeurs et prennent ce qu'il y a de mieux. Is interviennent essentiellement sur l'intégration de la mécanique dans le boitier, sur l'isolation, et parfois sur la carte de gestion de la carte. Mais l'ensemble de lecture lui-même : ils sont tous incapables techniquement et financièrement de toucher quoi que ce soit. Qui peut fabriquer un laser ?
Pour les DAC, ils font pareil ! Ils prennent le meilleur dans les catalogues de fabricants de composants, sans évidemment toucher quoi que ce soit.
Sauf, Wadia, Orpheus, Elgar qui eux repensent le décodage numérique.
La partie sur laquelle, les constructeurs de THDG interviennent de faàon réellement pertinente, ce sont les alimentations particulièrement soignées et les étages de sortie analogique dont schémas et composants font la différence. Et encore, parfois, il faut bien relever que les pouillèmes gagnés s'apprécient de façon si subtile qu'ils peuvent ne pas se faire entendre de façon très nette pour certains lecteurs. Mais ils coûtent !
Quand à l'upsample en 24/192, il apporte un plus au son, en le rendant meilleur, ce qui est donc tout bénéfice pour la musique. Car la musique, c'est du son !
Evidemment, le 24/192 natif, de l'enregistrement à la lecture, celui du DVD-A, le DSD du SACD apportent un plus ENORME à la musique. C'en est même assez pharamineux.
Quant au multicanal, bien utilisé évidemment, il est un plus énorme pour la musique...
De ce point de vue, Alfred Brendel qui n'est pas sourd, le dit : le son du piano en multicanal prend d'un coup une autre dimension. Ce que tous ceux qui ont acheté les sonates de Beethoven par Gilad, chez Lyrinx, on pu se rendre compte en quelques secondes...
En passant du CD aux deux nouveaux formats numériques, on est passé de l'avion à hélices à l'avion à réaction...
Parole de musicien !
Alain