On retrouve souvent sur le forum des questions du genre "quelle platine choisir ?" Voici un article qui pourrait intéresser les néophytes :
https://www.analogplanet.com/content/turntable-buyer’s-guide-five-or-six-or-seven-things-look-when-you’re-market-new-turntable
Bonne lecture
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Modérateurs: Modération Forum Haute-Fidélité, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: laurent22150 et 12 invités
Tout ce qui touche au Vinyle.
https://www.analogplanet.com/content/tu ... -turntable
Ce lien devrait mieux marcher.
Mais quand je lis ça, je me dis que ce banal descriptif de différents modèles à différents prix ne présente pas un grand intérêt :
Et il y en a d'autres du même acabit pour ce condensé de poncifs
Comme si la façon dont le plateau était entraîné avait une influence sur la scène sonore et la dynamique
C'est du blougi boulga qui dérive directement de ce que l'auteur imagine : entrainement par courroie = souplesse et fluidité de la musique. Entrainement direct = plus de tension... On est dans l'auto persuasion. Alors que la seule chose qui compte, c'est la régularité de la vitesse et l'absence de vibrations transmises par le moteur au plateau... Et si la courroie les filtre bien, le galet le fait bcp moins bien et la moteur à entrainement direct n'en a lui quasi aucun de par sa conception même.
Ce lien devrait mieux marcher.
Mais quand je lis ça, je me dis que ce banal descriptif de différents modèles à différents prix ne présente pas un grand intérêt :
Si vous vous demandez comment on a pu mettre autant de choses dans une platine à ce niveau, je ne peux que citer ma critique, qui affirmait que « le geste le plus hérétique des concepteurs — remplacer le système d'entraînement particulier du 124 d'origine, qui a donné lieu à une platine avec fluidité et, eh bien, entraînement — par un entraînement direct a permis d'obtenir un son encore plus propulsif, avec une scène sonore un peu plus grande et une meilleure dynamique. »
Et il y en a d'autres du même acabit pour ce condensé de poncifs
Comme si la façon dont le plateau était entraîné avait une influence sur la scène sonore et la dynamique
C'est du blougi boulga qui dérive directement de ce que l'auteur imagine : entrainement par courroie = souplesse et fluidité de la musique. Entrainement direct = plus de tension... On est dans l'auto persuasion. Alors que la seule chose qui compte, c'est la régularité de la vitesse et l'absence de vibrations transmises par le moteur au plateau... Et si la courroie les filtre bien, le galet le fait bcp moins bien et la moteur à entrainement direct n'en a lui quasi aucun de par sa conception même.
- haskil
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