C'est tout de même très surprenant que pour un modèle principalement dédié aux salles cinéma des particuliers ( qui sont généralement exigeants et initiés ), BENQ, Marque historique, ait pour ainsi dire autant ignoré l'aspect contraste et résiduel du noir.
Les salles dédiées vont systématiquement exacerber les qualités et les défauts d'un modèle.
Augmenter la luminosité va obligatoirement augmenter le résiduel qui est déjà potentiellement élevé sur les DLP récents.
Sans aller jusqu'à la DMD 0.66 ( très bon contraste ANSI ) des W12000/W11000, la 0.65 aurait pu limiter les dégâts.
Mais là, à 5000 euros, avec des produits concurrents qui offre des prestations d'image certes perfectibles, mais néanmoins de qualité, ça va être dur ...
Un LS12000 ( décidément très bon et homogène UHD/HDR/SDR ) offre des prestations de contraste natif presque 5 fois supérieur, et le XW5000 ( très bon vidéoprojecteur UHD natif/SDR
), presque 12 fois.
Le HDR, c'est certes de la lumière, mais c'est surtout de l'amplitude et de la dynamique de lumière.
J'espère aussi qu'une mise à jour permettra d'avoir des mémoires de zoom inexistantes ici
et pourtant si importantes sur nos écrans 2.35 dans nos salles dédiées.
A quoi sert une motorisation couteuse ( et très utile ) d'une optique, si c'est pour ne pouvoir faire que la mise au point unique de l'installation
?
Là encore le LS12000 est valorisé.
Décidément ...
PopKornhour a écrit:Benq fait une succession de mauvais choix, c'est bien dommage