Musique classique: les versions à retenir.

[muzzhic]

En tous cas, je ne continuerais pas la polémique, ici.

Quant à polémiquer avec les "experts" ou journalistes qui pullulent et polluent les médias ou les réseaux avec leur suffisance, il le faudrait, mais ce serait comme "pisser dans un violon", alors il y a mieux à faire: écouter toujours et encore ce Requiem de Giuseppe Verdi qui est un chef d'œuvre, avec nos merveilleux amp/dac et casques.

[ajr]

Bonjour,

L'avantage de la formule en aveugle utilisée depuis des lustres par La Tribune et également par une émission de la radio belge, est qu'elle fait entendre plusieurs extraits au cours desquels l'on peut prendre des notes ou s'en dispenser. Puis, confronter nos ressentis à l'analyse des critiques et musiciens du plateau.
En tout cas, en ce qui me concerne, et également celui de trois autres bidasses (prof de lettres, dentiste et moine) avec lesquels je l'écoutais déjà dans la chambrée le dimanche après-midi au début des années soixante, cette émission permettait de découvrir certaines oeuvres, interprétations, et elle était formatrice au début de notre parcours en musique pour mieux appréhender et apprécier l'oeuvre et la musique.

Quant au Requiem de Verdi, cela s'est encore confirmé par le visionnage du concert de Central Park de l'immense Luciano Pavarotti rediffusé dimanche dernier (Massenet/Werther/Pourquoi me réveiller), le grand ténor italien avait très bien vocalisé, mais sans l'élocution d'un Léopold Simoneau.

Aussi, sans écoute préalable, je suis plus enclin à choisir une production dont les interprètes maîtrisent parfaitement la langue et sont culturellement proches du compositeur, que celles dont les paroles des chanteurs risquent d'être incompréhensibles, entachées d'un fort accent étranger, ou d'artifices vocaux de camouflage.

Enfin, certaines voix sont davantage compatibles avec certains programmes et à notre sensibilité auditive. C'est probablement pour cela que je me sens plus proche de certaines voix et que d'autres, pourtant célèbres, n'atteignent pas ma corde sensible.


Bonne soirée.

[tovarich007]

Bonjour,

L'avantage de la formule en aveugle utilisée depuis des lustres par La Tribune et également par une émission de la radio belge, est qu'elle fait entendre plusieurs extraits au cours desquels l'on peut prendre des notes ou s'en dispenser. Puis, confronter nos ressentis à l'analyse des critiques et musiciens du plateau.
En tout cas, en ce qui me concerne, et également celui de trois autres bidasses (prof de lettres, dentiste et moine) avec lesquels je l'écoutais déjà dans la chambrée le dimanche après-midi au début des années soixante, cette émission permettait de découvrir certaines oeuvres, interprétations, et elle était formatrice au début de notre parcours en musique pour mieux appréhender et apprécier l'oeuvre et la musique.

Quant au Requiem de Verdi, cela s'est encore confirmé par le visionnage du concert de Central Park de l'immense Luciano Pavarotti rediffusé dimanche dernier (Massenet/Werther/Pourquoi me réveiller), le grand ténor italien avait très bien vocalisé, mais sans l'élocution d'un Léopold Simoneau.

Aussi, sans écoute préalable, je suis plus enclin à choisir une production dont les interprètes maîtrisent parfaitement la langue et sont culturellement proches du compositeur, que celles dont les paroles des chanteurs risquent d'être incompréhensibles, entachées d'un fort accent étranger, ou d'artifices vocaux de camouflage.

Enfin, certaines voix sont davantage compatibles avec certains programmes et à notre sensibilité auditive. C'est probablement pour cela que je me sens plus proche de certaines voix et que d'autres, pourtant célèbres, n'atteignent pas ma corde sensible.


Bonne soirée.

J'attache également une grande importance à la diction, et ce n'est d'ailleurs pas uniquement une question de maîtrise de la langue même si c'est un facteur primordial.
Ce n'est pas seulement vrai dans le domaine lyrique. Dans les variétés et dans le jazz, trop d'interprètes vocalisent à merveille mais on comprend très mal ce qu'ils chantent.

[renecito]

Dans le cas du requiem, comme il n'y a plus personne qui sait comment en prononçait le "latin", y compris les italiens de Florence ou de Rome, l'accent des barbares "anglo-saxons" n'est pas plus gênant que cela !

[dub]

Ben… Et la phonologie et la version tardive (dite ecclésiastique, vers les IX°/X° siècles) mise à jour par les musicologues sont tout de même là pour indiquer ce qu'il faut faire.

[renecito]

AMEN

ah bein zut, c'est de l'hébreux, peut être mâtiné d'araméen !

[dub]

Ça n'empêche nullement de savoir comment ça se prononçait il y a 10 ou 15 siècles.

[ajr]

Bonsoir,

Avec le concerto pour piano et orchestre n°2 de Camille Saint-Saëns, excellent moment de piano cet après-midi au cours de l'émission de France Musique La Tribune des critiques de disques, à laquelle participait Alain_haskil.


Bonne soirée.

[ajr]

Bonjour,

Pendant que d'autres rêveraient à je-ne-sais-quoi en se rasant le matin, rappelons que l'on peut réécouter cette émission, très tôt le lundi matin, en se passant le rasoir sur les joues.

Bonne journée.

[renecito]

Le doux bruit du rasoir électrique en ponctuation pendant l'Andante sostenuto !

[Anonyme65]

L'homme moderne préfère le Gilette fusion mach 5 turbo (option GTI) qui lui ne fait pas de bruit...
... Garrot à portée de main recommandé

[ajr]

Le rasoir Gilette (Proglide ou Fusion) Power depuis très longtemps et, surtout, le Dermofluide depuis le tout début, puisque fabriqué à Mougins.




Solution très peu encombrante et très légère qui remplace très avantageusement la mousse et l'après-rasage, et l'ensemble permet d'avoir une peau très très douce appréciée par les coussinets de tous les casques.

Par contre, casques et rasoirs ont aussi leur HDG, puisque Gilette commercialise maintenant le Gillette Labs chauffant dont le prix peut aussi bien décoiffer qu'un casque audio et qu'Alexandre Kantorow dans le Presto final du concerto n°2 de Saint-Saëns.

[renecito]

Un vrai plus audiophile que de se raser le crâne avec un Gillette Labs Chauffant pour améliorer l'étanchéité avec les pads.

[renecito]

A propos du concerto n°2 pour piano de Saint-Saens, je ne sais plus quel critique avait dit "ça commence comme du Bach et ça se termine comme du Offenbach".

[ajr]

Aber, ce trait d'humour dénote une belle ouverture d'esprit.