yann77123 a écrit:syber a écrit:Il faut compter quelques mois d'apprentissage et de pratique en partant de zéro.
et en plus en anglais ! c'est plus des mois qu'il va me falloir
en même temps, si il faut un micro pour faire un réglage pour améliorer un son que l'oreille humaine ne perçoit pas...
le mieux étant l'ennemi du bien, n'est-ce pas une pratique un peu excessive qui caractérise l'audiophile ?
Bonjour Yann.
Il ne s'agit pas d'améliorer un son que l'oreille humaine ne perçois pas. Elle perçoit les basse fréquences.
Il s'agit de mieux comprendre les phénomènes qui se jouent au moment de la mise en oeuvre d'un ou deux caissons.
Un caisson peut améliorer le rendu en suppléant (ou remplaçant en cas de filtrage actif en amont) les enceintes principales dans le grave mais il peut aussi dégrader ce rendu voir faire disparaitre certaines fréquences émises par les enceintes principales par des phénomènes d'annulation.`
La mesure permet donc de percevoir cela plus facilement, de s'assurer que le caisson améliore et ne dégrade pas.
Pour avoir mis en oeuvre différent caissons sur mon système et en utiliser actuellement, je peux assurer que bien mis en oeuvre (avec la plus grande modération), un caisson mais plus encore deux caissons améliore vraiment l'expérience globale.
L'infra est beaucoup plus homogène et qualitatif dans la pièce avec deux caissons.
Donc un c'est bien (si parfaitement mis en oeuvre), deux c'est encore mieux.
La différence est évidente. J'en ai été carrément surpris et surlecuté la première fois que j'ai eu la chance de l'expérimenter en terrain connu.
L'objectif, dans mon cas en tous cas (usage 100% musique, essentiellement classique et jazz), n'est pas de faire plus mais de faire mieux.
Dans cet objectif, il vaut mieux deux plus petits rapides et qualitatifs qu'un gros pataud. Perso, je m'arrête à 30 cms. Bien suffisant avec des caissons HDG même si d'autres me diront que je suis "monté léger"...
Bonne journée.
Laurent