Sacrées Sorcières

[nibert]

Sacrées Sorcieres film sympa, marrant avec des cliches sorti en Blu-ray et bien sur en DVD cela va de soit.

Hélas, nous sommes en France, donc pas de 4K

[nibert]

Un beau steelbook blu-ray avec un DVD dedans, j'hallucine

[nibert]

Après maintes recherches un peu partout, édition UHD 4K non prévue !.

Warner abandonnerait-il le blu-ray 4K ?

[Gurthang]

Déjà dispo sur iTunes en 4K
Après il se tape tellement des sales notes / critiques que je n'ai pas spécialement envie d'essayer (peut-être pour ça qu'il est directement à 10€ alors que d'habitude les nouveautés VOD sont à 14€)

[nibert]

Après il se tape tellement des sales notes

Et vous pensez que le fait qu'il se tape des sales notes ( film je suppose ) ce soit un critère valable ? vous pouvez vous faire votre propre opinion vous même et pas forcement celles des autres.

En ce qui me concerne je ne me fie pas à l'opinion des autres, bien au contraire surtout quand je vois des commentaires de films plus qu'affligeants voir complètement débiles.

[Darkhan]

Mettre des Notes chiffrées sur les films est une aberration et les agrégateurs de notes dans l'art sont une hérésie

[nibert]

Mettre des Notes chiffrées sur les films est une aberration et les agrégateurs de notes dans l'art sont une hérésie

+1.
Entièrement d'accord, je n'aurais pas écrit mieux.

Je l'ai regardé, j'ai bien aimé, c'est tout ce qui compte car pour se faire une opinion il faut le voir.

[Gurthang]

Je parlais aussi de critiques, notamment de personnes dont je connais à peu près leurs goûts généraux. Vu leurs retours et mon peu d'inclination naturelle envers l'esthétique de Zemeckis (pas sûr d'être vraiment fan d'un seul de ses films au final), j'en ai conclu qu'il valait mieux que je passe mon tour sur ce coup.

Des films qui ont mauvaise réputation, j'en regarde aussi si je le sens bien, ne vous en faites pas, je suis même parfois un spécialiste des avis divergents

Nibert, tu peux me tutoyer

[nibert]

Zemekis c'est;

Forrest Gump
Retour vers le futur
1941
Le Pole Express
Contact
Seul au monde

De très bons films à mon gout, mais ce n'est que mon gout, après ....!

[yasathi]

Mes enfants ont bien aimé..

[misterme]

Zemeckis est (était?) mon réalisateur préféré.
On peut aussi citer Qui Veut la Peau de Roger Rabbit?, Le Drôle de Noël de Scrooge, La Légende de Beowulf, Alliés, The Walk, Flight, ...

Ayant entendu parler de Sacrées Sorcières récemment, j'ai été surpris de le voir en blu-ray dans les rayons de mon revendeur local. Je l'ai donc aussitôt acheté.
J'avais découvert le film de Nicolas Roeg avec Angelica Huston en 1990 au cinéma et me rappelle avoir été impressionné par les effets spéciaux "à l'ancienne" à l'époque. Il y a quelques jours, vu que cette version est disponible sur Netflix, je l'ai revue avec nostalgie, mais non sans constater que le film avait un peu mal vieilli.
J'attendais beaucoup de la version de Zemeckis.
J'avoue avoir été très, très déçu.
ça commence plutôt bien avec une première partie où Octavia Spencer, actrice de grand talent, nous charme dans son rôle de grand-mère généreuse qui répare les maux du jeune garçon. Et puis, dès qu'on entre dans le vif du sujet, on tombe dans le facile et le déjà-vu. On a même parfois l'impression que Zemeckis reprend la réalisation de Roeg plan par plan. à ceci près que la magie ne prend jamais, que Anne Hathaway, que j'adore par ailleurs, en fait des caisses mais n'arrive jamais à la hauteur d'une Angelica Huston dans le même rôle. Stanley Tucci a l'air d'être là pour cachetonner comme lorsqu'il joue dans un Transformers. Les effets spéciaux sont pratiquement aussi laids qu'à l'époque Jumanji premier du nom (les souris, les serpents).
Franchement, de la part du réalisateur qui me fait frissonner devant des films pour enfants tels que Scrooge et Le Pôle Express, j'avoue m'être ennuyé ferme.
Bob, tu m'as déçu !

[musicos06]

Film gentillet pour enfants ou préados. Se laisse regarder en tant qu'adulte en prenant le recul nécessaire.... Casse pas trois pattes à un canard mais j'ai baissé mon niveau d'exigence par ces temps de crise et de diète cinématographique