JJ-34 a écrit:ysati a écrit:Si j'ai bien compris.
Quand on achète un Blu-Ray en 4K, si dans la majorité des cas il est en 2K avec HDR ou pas,
il y a beaucoup moins de pixels dans l'image donc moins de définition.
On est donc lésés...
Pourquoi dire qu'il est en 4k, si ce n'est pas le cas?
Compte tenu de la technologie des Post-Pro, se peut-il qu'il ait la même qualité qu'un 4K en terme de définition?
Dernière remarque, le processeur vidéo ou le diffuseur, le détecte bien sur son entrée en tant que 4K...
Il est bien en 4K mais upscalé à partir d'un master 2K, toutefois
les "upscaleurs" pros de la post-prod sont bien plus performants que celui de ton projecteur ou de ton lecteur BR
Je dirai pas toujours ... mais passons sur les UHD vraiment mauvais qui font parti du passé.
La réflexion doit aussi tenir compte de la densité d'information qui gagne en diffusion UHD ou 4k.
La matrice devant être exploité intégralement sous peine d'avoir une fenêtre, on a toujours un affichage à la résolution du diffuseur (que la source soit native ou pas).
A nouveau les BR UHD apportent plus qu'une résolution accrue.
On a SURTOUT, une meilleure gradation des nuances, une meilleure plage de dynamique en HDR et un espace de couleur proche de la capacité de l'oeil humain et si il est exploité partiellement en DCi on a alors au moins l'espace d'étalonnage natif des films, ce que le BR traditionnel ne faisait pas.
Même les UHD SDR sont encodé en 10 bit. On perd le HDR et l'espace Rec.2020, mais on conserve la gradation plus précise des nuances et l'absence théorique de banding.
Quoi qu'il arrive, sauf édition loupé (nombre de titres heureusement très minoritaires) il y a un gain.