primare21 a écrit:J'écoute les peerless nomex depuis des années avec plaisir. Ce sont des hp avec un excellent rapport qualité prix: transparents, dynamiques, respectueux des timbres. J'ai essayé divers ampli, (marantz pm 5004 40 w, sony 80 w, Luxman 60w, nad s300 100w ), tous les amplis les bougeaient, mais ils aiment bien la puissance. On entend bien les signatures sonores des différents amplis.
Il ont équipés les Pel kantor I et II.
Félicitations pour tes superbes réalisations. Avec ton ampli cela doit être un régal.
Je te remercie.
J'ignorais ce montage. Les commentaires sur les PEL sont très positifs. Pas vraiment surpris de les voir utiliser pour des enceintes assez HDG. Je pense qu'on les retrouve dans pas mal de production. J'en avais listée quelques unes.
Le rapport Q/P des Nomex m'a influencé, celui du tweeter aussi.
Le couple Sansui/Nomex est très agréable.
Le AU 519 fait partie de la première génération des Sansui "modernes". Fin du son chaud à outrance pour une grande (totale) neutralité.
Le AU 519 a la réputation d'être un câble entre la source et les enceintes.
Certains aiment, d'autres détestent car en rupture avec les Sansui transistors plus anciens, typé Tube (AU 999, etc...).
Sa puissance est relativement modeste, 65 watts, 8ohm. Mais il s'agit d'un vrai double mono, double transformateur, et avec une belle réserve de 2 x 17.000 uf par canal.
Il n'a aucun problème pour tenir les Nomex, et les amener à des niveaux qui m'ont valu un message d'un voisin. Sans dépasser 11h sur le potentiomètre.
Aspect agréable de ces enceintes; elles gardent du détail même à volume relativement réduit. En comparaison, les DM4 sont plus du type ON/OFF. Une grande partie du message est absent sous un niveau.
Si je devais qualifier le son, je dirai précis, transparent et très dynamique. Avec une capacité à séparer les plans.
Et je partage ton avis, les timbres sont superbes.
J'ai réécouté quelques albums que j'adore, mais que j'avais mis de côté, car le résultat obtenu avec les moniteurs ou les DM4 me déplaisait.
Un quatuor de corde de Schubert, la guitare de Neil Young, vite criarde si mal reproduite, du Keith Jarret. De l'opéra, Freni, Callas.
Ici, j'ai pris beaucoup de plaisir. Très beaux timbres, justes et avec de la matière.