Les tests Blu-ray du loup celeste

[le loup celeste]

10 Minutes Gone

Note artistique : 4
Qualité vidéo : 8
Qualité audio : 8

Spécifications techniques (Blu-ray - Canada - VVS Films - 29 octobre 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 1.85
- Pistes sonores : Anglais Dolby TrueHD 5.1, Français (VFQ) Dolby TrueHD 5.1
- Sous-titres : Anglais pour malentendants, Français pour malentendants

Film : Cette petite série B sur un énième hold-up raté est un DTV générique mais continuellement rythmé, qui doit néanmoins endurer un scénario prévisible (le rebondissement final se grille en 10 minutes !), des personnages ternes, des acteurs atones (Bruce Willis en tête) et des scènes d'action boiteuses.

Image : Bien détaillées et toujours nettes malgré une légère douceur, ces images aux couleurs généralement neutres (parfois froides) et aux contrastes plutôt bons (les noirs sont assez profonds) ne souffrent que de la présence d'un peu de colour banding.

Son : Sans recherche particulière, ce mixage plaisant fait résonner ses (nombreux) coups de feu aux quatre coins de la pièce d'écoute. La dynamique fait le job (plus en VO), le score est ample, la spatialisation est immersive (cf. les ambiances citadines) et les voix sont claires (un peu trop proéminentes sur la VF).

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement Dolby Surround)
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

(Les) Invisibles

Note artistique : 7.5
Qualité vidéo : 8
Qualité audio : 8

Spécifications techniques (Blu-ray - France - AB Vidéo - 15 mai 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.40
- Pistes sonores : Français DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 2.0, Français Audiodescription
- Sous-titres : Français pour malentendants

Film : Sans jugement moral ni misérabilisme, cette chronique sociale résolument encrée dans le réel et pleine d'espoir raconte le quotidien des centres d'accueil de jour pour femmes SDF. Et malgré quelques bons sentiments faciles, ce détour social drôle et engagé porté par un casting féminin (professionnel ou non) énergique, s'appuie sur un sujet fort pour que ces oubliées de la société passent de l'ombre à la lumière. Un film important qui devrait permettre de réveiller les consciences.

Image : Si certains plans sont en retrait (quelques fourmillements et de petites baisses de définition), ces images à la frontière du documentaire affichent des détails bien affûtés, des couleurs froides réalistes, des contrastes sans chichi et des noirs profonds.

Son : Jamais démonstratif mais toujours naturaliste, ce mixage 5.1 délivre des dialogues d'une grande clarté, des ambiances de « la vie de tous les jours » immersives (bonne présence arrière) et une musique bien étendue dans l'espace acoustique.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement DTS Neural:X)
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

Nomis

Note artistique : 6
Qualité vidéo : 8
Qualité audio : 9

Spécifications techniques (Blu-ray - Canada - VVS Films - 03 septembre 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.40
- Pistes sonores : Anglais Dolby TrueHD 5.1, Français Dolby TrueHD 5.1
- Sous-titres : Anglais pour malentendants, Français pour malentendants

Film : Handicapé par un montage schizophrène et des facilités scénaristiques grossières, ce polar tordu et austère où Henry Cavill et Alexandra Daddario (un casting quatre étoiles) traquent un prédateur sexuel qui s'en prend à des jeunes filles, parvient malgré tout à susciter l’intérêt du spectateur grâce à ses rebondissements et retournements de situations qui relancent régulièrement l'intrigue.

Image : D'une belle netteté, ce transfert HD propre et bien détaillé laisse apparaître des contours tranchants (les visages lors des gros plans, le mobilier dans les locaux de la Police), des couleurs riches aux teintes globalement froides, des contrastes solides et des noirs profonds. Il y a néanmoins un peu d'aliasing et de colour banding.

Son : Dynamiques et gorgées d'ambiances environnementales naturelles, ces pistes sonores efficaces et d'une grande clarté bénéficient en outre d'une excellente spatialisation, d'effets liés à l'action intenses, d'une scène arrière assurée, d'un score large, de basses de poids et de dialogues parfaitement perceptibles.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement Dolby Surround)
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

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[le loup celeste]

Triple Threat

Note artistique : 6.5
Qualité vidéo : 7
Qualité audio : 8.5

Spécifications techniques (Blu-ray - France - AB Vidéo - 15 novembre 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.39
- Pistes sonores : Anglais et Français DTS-HD MA 5.1, Anglais et Français DTS-HD MA 2.0
- Sous-titres : Français imposés sur la VO

Film : Coups de pieds, coups de poings et rafales de tirs sont les moteurs de cette série B au scénario prétexte où les superstars de la baston (Iko Uwais, Tony Jaa, Scott Adkins, Michael Jai White, Tiger Chen !!!) se sont données rendez-vous pour martyriser les corps et fracasser les murs. Sans nul doute, cet Expendables des films d'arts martiaux séduira les amateurs d’action.

Image : Quelque peu amoindri par une compression manquant de solidité (du bruit sur certains murs) et des noirs plus clairs qu'ils ne devraient, ce transfert HD relaie malgré cela une définition stable, un piqué tranchant et des couleurs (agressives) volontairement très saturées (spécialement les tons bleus et oranges).

Son : Chargée en grave lors des explosions ou lorsque les coups portés et/ou de feu pleuvent, la VO forme un nuage d'action qui anime l'ensemble des canaux à la moindre escarmouche. Ni aussi ample ni aussi animée, la VF est moins spectaculaire. Dans les deux cas, des éléments du score se baladent allégrement d'une enceinte à l'autre.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement DTS Neural:X), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

(Les) Insoumis (2016)

Note artistique : 6.5
Qualité vidéo : 9
Qualité audio : 8

Spécifications techniques (Blu-ray - France - Universal Pictures - 26 septembre 2017)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.35
- Pistes sonores : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS 5.1
- Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants

Film : Un peu trop scolaire (mais où est passé l'émotion ?) et muselé par un montage maladroit, ce drame historique socialement engagé (les débuts du syndicalisme lors de la Grande Dépression) n'en reste pas moins prenant avec une reconstitution d'époque soignée et un casting de haut vol (une belle brochette d'acteurs de légende).

Image : Les images très contrastées de la photographie (beaucoup de clair-obscur) sont bien restituées par ce transfert HD solide. Les éclairages (la lueur des bougies et les rayons du soleil) sont fiévreux, les noirs très prononcés, les couleurs vives et le piqué redoutable.

Son : Intimiste, ce mixage se bouge tout de même dès que la narration l'exige (les acclamations des manifestants, les coups de fusil) et lorsque la musique retentit. Hors « action », ce sont les bruits de la nature qui s'invitent à l'arrière. Plus ouverte que son homologue française et son doublage moyen, la VO reste difficile à suivre, la faute à des dialogues pas toujours facile à discerner dus aux accents et aux « mal parler » de certains protagonistes.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference (YCbCr 4:2:0 / 12 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement DTS Neural:X), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

Nevada

Note artistique : 8.5
Qualité vidéo : 9.5
Qualité audio : 8.5

Spécifications techniques (Blu-ray - France - Ad Vitam - 19 octobre 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 1.66
- Pistes sonores : Anglais et Français DTS-HD MA 5.1, Anglais et Français DTS-HD MA 2.0, Français Audiodescription
- Sous-titres : Français imposés sur la VO, Français pour malentendants

Film : Entre western contemporain et drame carcéral, Nevada conte une histoire de rédemption très crédible (le milieu est rude et les relations âpres) et d'une grande justesse où un détenu (tout en force contenu, Matthias Schoenaerts est magistral) va dompter sa colère au contact de chevaux sauvages. Romanesque et vibrant d'humanité, ce premier long métrage est une belle réussite.

Image : D'un réalisme saisissant, les images de ce transfert HD sont magnifiques. Il faut dire aussi que les détails sont d'une rare proximité (les textures sont palpables) et que le travail accompli sur les éclairages et la colorimétrie est en tout point impressionnant.

Son : Si le gros spectacle multidirectionnel ne s'invite qu'en de rares occasions, comme lorsque la tempête s'abat lourdement (attention aux basses !) sur l'établissement pénitentiaire, cette bande-son bénéficie d'effets équestres marquants (les hennissements et les galopades) et d'ambiances environnementales subtiles. La VF est plus timide.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement DTS Neural:X), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

Unfriended: Dark Web

Note artistique : 6.5
Qualité vidéo : 9
Qualité audio : 7.5

Spécifications techniques (Blu-ray - France - Universal Pictures - 02 mai 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 1.78
- Pistes sonores : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS 5.1
- Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants

Film : Si le concept n'est maintenant plus nouveau (même s'il ne traite pas du même sujet que son prédécesseur) et que le tout est un peu gros, ce film d'horreur « connecté » à la structure narrative intéressante et à la mise en scène 100% « screen life », nous embarque dans les tréfonds d'internet où la perversité n'a pas de limite. Sueurs froides garanties.

Image : Un transfert HD qui restitue à la perfection la singularité des sources informatiques (Skype, Facebook, Google, etc.) et des défauts (drops, macroblockings, ralentissements, etc.) rencontrés devant un écran d'ordinateur. Le rendu est criant de vérité avec une lisibilité de tous les instants (définition idéale et noirs denses) qui permet aux informations (localisées) de s'afficher avec une très grande précision (cf. la netteté du piqué).

Son : Limpide et ponctuellement actif à l'arrière, ce mixage (plus robuste en VO) assez dynamique mise sur ses dialogues qui sont bien évidemment placés en avant. Fonctionnel à défaut d'être remarquable.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement DTS Neural:X), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

(L') Expérience interdite - Flatliners

Note artistique : 7
Qualité vidéo : 9.5
Qualité audio : 9.5

Spécifications techniques (Blu-ray - France - Sony Pictures - 28 mars 2018)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.39
- Pistes sonores : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1
- Sous-titres : Anglais, Français, Anglais pour malentendants

Film : Même si cousu de fil blanc, ce remake du film éponyme réalisé par Joel Schumacher en 1990 est un thriller d'épouvante au rythme soutenu et au cadre léché, parsemé de « visions » fantasmatiques et/ou cauchemardesques formellement épatantes. Prévisible mais prenant !

Image : De toute beauté, ce transfert HD délivre des images cliniques qui disposent d'une définition insolente, d'un piqué à la précision chirurgicale (les arrière-plans fourmillent de détails), de couleurs splendides (tirant le plus souvent vers des nuances de gris et de bleus), de contrastes soutenus et de noirs profonds.

Son : Pourvues d'une spatialisation de haut niveau et d'une ampleur certaine, ces pistes sonores à la dynamique redoutable délivrent dans l'espace acoustique (les surrounds sont au taquet) de nombreux effets « étranges » et une multitude d'ambiances flippantes pour nous immerger en plein cœur de l'expérience.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement DTS Neural:X), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

Tolkien

Note artistique : 7.5
Qualité vidéo : 8.5
Qualité audio : 8.5

Spécifications techniques (Blu-ray - France - 20th Century Fox - 23 octobre 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.39
- Pistes sonores : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS 5.1
- Sous-titres : Anglais, Français

Film : Malgré un Nicholas Hoult (tout en sensibilité) trop vieux pour le rôle et un sujet finalement plan-plan, ce biopic romancé doté d'une interprétation solide, d'une mise en scène élégante et d'une reconstitution immersive, dresse un portrait poétique et mystérieux de J.R.R. Tolkien, l'auteur du Seigneur des anneaux. Du cinéma à l'ancienne empli d'un beau souffle émotionnel.

Image : Des contrastes forts, des couleurs ambrées ou grises quelque peu atténuées de toute beauté, un niveau de détail poussé et une définition solide. Du fourmillement peut néanmoins faire son apparition en arrière-plan.

Son : Des dialogues d'une grande clarté et une belle activité surround (notamment lors du match de Rugby et de la Grande Guerre) parsemée de nombreux sons ambiants. Lorsque la narration le permet, la dynamique et les basses sortent les armes.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement DTS Neural:X), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

My Beautiful Boy

Note artistique : 8.5
Qualité vidéo : 9
Qualité audio : 8.5

Spécifications techniques (Blu-ray - Canada - VVS Films - 22 janvier 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 1.85
- Pistes sonores : Anglais Dolby TrueHD 5.1, Français (VFQ) Dolby TrueHD 5.1
- Sous-titres : Anglais pour malentendants, Français pour malentendants

Film : Porté par un excellent duo d'acteurs, My Beautiful Boy est un drame d'auteur optimiste et bienveillant à la mise en scène délicate et au récit poignant. Bien plus qu'un énième film sur la drogue, ce mélo d'une tendresse bouleversante qui s'évertue à faire naître la lumière malgré la noirceur de son difficile sujet, peint la formidable lutte d'un père pour sauver son enfant de ses addictions. Mon fils, ma bataille.

Image : Soigneusement texturée, l'image de ce transfert HD solide délivre une jolie précision tout du long (la définition et les détails sont exemplaires), ainsi que des couleurs neutres d'une belle douceur et des contrastes légers d'une grande élégance.

Son : Au travers d'une utilisation mesurée de la scène arrière, ce mixage d'une belle finesse crée une ambiance feutrée à l'immersion discrète, où les dialogues et la musique jouissent d'une parfaite clarté.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement Dolby Surround), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

Angel of Mine

Note artistique : 6.5
Qualité vidéo : 8.5
Qualité audio : 8

Spécifications techniques (Blu-ray - Canada - VVS Films - 24 septembre 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.40
- Pistes sonores : Anglais Dolby TrueHD 5.1, Français (VFQ) Dolby TrueHD 5.1
- Sous-titres : Anglais pour malentendants, Français pour malentendants

Film : Remake australien du film français L'Empreinte, Angel of Mine est un thriller psychologico-dramatique bien mené porté par une Noomi Rapace des grands jours. Mais si cette détresse maternelle qui fait naître la folie n'est pas dépourvue d'émotions et de scènes inquiétantes voire terrifiantes, le rythme est assez mollasson et le récit insuffisamment creusé.

Image : Un très bon transfert HD à la définition solide, aux détails précis, aux couleurs naturelles bien saturées, aux contrastes cohérents et aux noirs denses.

Son : Basée sur les dialogues, cette bande-son qui n'utilise que modérément les surrounds (tout de même présents pour élargir le champ sonore) et n'a aucune raison d'user d'une grande plage dynamique, n'en reste pas moins immersive et d'une bonne profondeur.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement Dolby Surround), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

(Les) Enquêtes du Département V: Délivrance

Note artistique : 8
Qualité vidéo : 9
Qualité audio : 9

Spécifications techniques (Blu-ray - France - Wild Side Video - 06 juillet 2016)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.40
- Pistes sonores : Danois DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1
- Sous-titres : Français imposés sur la VO

Film : Parsemée de scènes d'action plus nerveuses et dotée d'une ambiance plus anxiogène, cette troisième enquête adaptée de l’œuvre de Jussi Adler-Olsen est un polar nordique à la mise en scène racée, au rythme ciselé et à l'interprétation de qualité. En tout point captivante, cette traque sans merci d'un tueur d'enfants ne peut laisser indifférent.

Image : Si ce n'est la présence d'un grain parasite sur une poignée de plans, ce transfert HD rend justice à la sublime photographie du film. La définition est irréprochable, le piqué chirurgical, les couleurs délectables et les contrastes remarquables.

Son : D'une sobriété épatante, ce mixage à la spatialisation minutieuse nous propose un spectacle acoustique immersif (des ambiances de partout) aux dialogues clairs et aux envolées de la dynamique méritantes.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference (YCbCr 4:2:0 / 12 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitement DTS Neural:X), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

Crawl

Note artistique : 8
Qualité vidéo : 10
Qualité audio : 9

Spécifications techniques (Blu-ray - France - Paramount Pictures - 04 décembre 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.39
- Pistes sonores : Anglais DTS-HD MA 7.1, Français Dolby Digital 5.1
- Sous-titres : Anglais, Français

Film : Produite par Sam Raimi et réalisée par Alexandre Aja, cette série B horrifico-bestiale à l'ancienne est un huis clos catastrophe maîtrisé, où le suspense anxiogène y est aussi délectable que les attaques féroces de ses très énervés alligators. Un spectacle d'une redoutable efficacité.

Image : Extrêmement soigné, ce transfert HD à la définition parfaite et à la compression optimale (même sous l'eau) délivre des images d'une très grande clarté aux détails impressionnants (la texture des murs en brique, la précision des blessures), aux couleurs portées sur les teintes grises (et rouges lors des morsures) superbement étalonnées, aux contrastes bien équilibrés et aux noirs d'une profondeur toujours appropriée.

Son : Même si la tempête n'est pas suffisamment sonorisée au sous-sol de la maison (alors qu'elle nous submerge à l'extérieur), ce mixage ample et percutant (même la petite VF) ne manque ni d'effets (les vagissements et déplacements des crocodiles, les aboiements du chien) ni d'ambiances (les gouttes d'eau, les craquements du bois) entrecoupés de basses violentes (le tonnerre et la crue).

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Pioneer SC-LX901 (Post-traitements DTS Neural:X et Dolby Surround), Emotiva XPA-3 Gen3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA

[le loup celeste]

(Les) Baronnes

Note artistique : 7
Qualité vidéo : 9
Qualité audio : 9

Spécifications techniques (Blu-ray - États-Unis - Warner Bros. - 05 novembre 2019)
- Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.40
- Pistes sonores : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français (VFQ) Dolby Digital 5.1
- Sous-titres : Français, Anglais pour malentendants

Film : La mafia au féminin débarque dans cette (bonne) adaptation d'un roman graphique DC Vertigo ! Clichée et classique dans sa construction, cette épopée criminelle se rattrape néanmoins par son trio crédible, sa reconstitution réussie, son propos féministe et sa violence graphique.

Image : Si ce n'est de toutes petites réserves (un peu de crénelage et de moirage dans de rares arrière-plans), ce transfert HD est profondément beau. Souvent sombres sans que les détails n'en soient impactés, les images sont excellemment définies et profitent d'une palette colorimétrique très agréable et de contrastes équilibrés (les noirs sont d'une grande profondeur).

Son : Usant d'une grosse gamme dynamique et de nombreuses ambiances atmosphériques, la VO qui ne manque pas de poids (cf. l'usage solide du canal LFE) délivre des voix claires et un score percussif d'une belle ampleur. La VF reste décente malgré une puissance moindre et une spatialisation réduite.

Matériel et condition de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 (Mode de l'image Expert)
Source : Zappiti Pro 4K HDR authentic cinema (YCbCr 4:4:4 / 10 bit)
Amplification : Marantz SR7013 (Post-traitements DTS Neural:X et Dolby Surround), Emotiva XPA-DR3
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA