Quand il fait chaud, on se dit que les intras, même si ça peut faire transpirer l’intérieur des oreilles, c’est quand même une belle invention… C’est pourquoi j’ai utilisé mes AKG N40 sur mon petit DAP de chez iBasso, pour écouter le dernier disque de Maxime le Forestier,
Paraître ou ne pas être, préalablement acheté en
fichiers 24/96 chez qobuz — mais aussi acquis au
format 33t. Alors, je sais, les vnyles, ça sert à rien… Quoique, c’est quand même plus facile pour lire les paroles qui sont dans le disque, vu que c’est écrit plus gros et que j’ai des petits yeux. Et puis, c’est Maxime, donc il est évident que j’achète les disques rien que pour les avoir. Entendons-nous, des
Rendez-vous manqués à la
Sagesse du fou, voire au-delà, il y a quand même quelques albums (les Brassens mis à part, évidemment) qui… Bref… Comme l’album éponyme qui m’a réconcilié avec Maxime et ses partenaires – Jean-Félix Lalanne, bien sûr, Michel Haumont et Manu Galvin, je suis
plutôt guitare. Comme quoi, c’était plus les arrangements…
Genre: chanson de langue française
Titre/Compositeur/Interprètes:
Paraître ou ne pas être – Maxime le Forestier (+Bruno Guglielmi, Arthur Le Forestier, Manu Galvin, Baptiste Trotignon, Julien Clerc et Philippe Lafontaine)
Date, Label, Référence, Format: CD Polydor 775 070-7 – 33t Polydor/Universal Music France/Coïncidences 775 070-7 – fichiers 24/96 – 2019
Quoi qu’il en soit les 10 nouvelles chansons du nouvel album, tantôt paroles et musique de Maxime, tantôt des collaborations avec Arthur Le Forestier, qui a, à son compteur,
un album court de 4 titres et
une chanson, Julien Clerc, Baptiste Trotignon, Manu Galvin
et alia, sont excellentes: “tout est bon chez elles, y’a rien à jeter, sur l’île déserte, il faut tout emporter”. Ça renoue avec le meilleur de ce que Maxime peut faire. Les filles qui tombent amoureuses de n’importe qui, la guitare avec laquelle je suis sorti (du magasin après l’avoir achetée), la date limite de l’enfance qui est introuvable, et — inhabituel quand on connaît la douceur de Maxime (qui a regretté son
Parachutiste, qui n’apparaît plus dans les derniers albums publics où l’on trouve pourtant quelques bonnes vieilles!) — le très réjouissant
Grand Connard: à déguster à petits coups mais sans modération. Comme disait tonton Georges à propos de cet art (mineur): “c’est une poésie simple et qui me plaît”. D'ailleurs, il faut absolument que je guette la sortie des partitions correspondant à cet album! Et on annonce
Maxime le Forestier au Casino de Paris en novembre prochain. Quoique ça ne soit que 3 jours, j’espère bien qu’on aura droit à un album en public!
Cdlt
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