Quoique ça soit évident, je t’explique. Le présupposé à admettre, c’est que les casques, les amplis etc., ça sert à rien, sauf… à écouter de la musique (je sais, c’est dur à croire). Du coup, il existe des casqués (une minorité, c’est vrai) qui achète des disques. Je sais, difficile à croire, mais j’ai des preuves (à commencer par moi).
Or, il arrive qu’un disque nous fasse un effet massif: lorsque cet effet est positif (le contraire peut aussi arriver), on dit alors qu’on a reçu un pêtocask.
Ce fil est donc dédié à répertorier dans le désordre les pêtocasks des uns et des autres — avec seulement 5/6 règles :
- on doit clairement indiquer la référence du CD/fichier/DVD/BR/33t/CD-DTS/SA-CD (etc. etc.): titre (en langue originale), auteur, compositeur, label, n° du disque, éventuellement lien (vers maison de disque, streaming légal etc.) — pour permettre à chacun de trouver facilement le disque
- on doit chroniquer brièvement le disque (15/20 lignes, pas plus: faut pas faire comme certains qui écrivent super long, ce qui fait suer tout le monde — je pense à un en particulier!), en expliquant le pourquoi et le comment (quelques pistes: intérêt de l’œuvre, prise de son, meilleure piste…)
- et le répertorier selon son genre: baroque, classique symphonique, quatuor classique, jazz, free jazz, free hard grunge, pop gothic, — que sais-je…
- il n’est pas possible de recevoir plus d’un pêtocask par semaine (au début, j’avais pensé à un par mois, mais c’était un peu trop frustrant): déjà, un, c’est pas mal — au-delà, c’est qu’on s’énerve pour rien ou qu’on fait semblant de s’extasier pour un rien
- enfin, si possible, le disque (fichier, DVD, etc. etc.) doit être récent, et être tagué “pêtocask nouveau” OU :
- si c’est un disque ancien, mais qu’on vient de le trouver ou de le découvrir, on doit le taguer “pêtocask de vieux”
Inutile de dire qu’il vaut mieux éviter les polémiques du genre: “je comprends pas qu’on puisse apprécier le rap microtonal”, ou: “ceux qui aiment le hard baroque sur instruments d’époque sont des Schtroumpfs”, ou encore: “l’opéra jazz bruital est un concept débile”…
Et, oui, j’oubliais presque l’essentiel — mais seulement presque: quel que soit la pièce, on indique le matériel employé, en particulier le couple casque/ampli, éventuellement quel casque (voire quel ampli) il vaut mieux éviter. Là encore, tous les matériels sont permis: des intras à l’électrostatique, en passant par toutes les techniques de transducteur, du DAP ou du smartphone au MA2 de chez Meitner ou à l’ordi + DAC “delamorkitû”, en passant par la platoche sympa et le lecteur universel de chez kilitou!
Cdlt
