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Modérateurs: Modération Forum Installations, Modération Forum DIY, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 35 invités
Préampli DIY en 2018, où en est-on ?
Preamp en fonction, super agréable. J'ai trouvé les bons rotacteurs en Italie, mais ça a été un peu laborieux, première livraison : pas montables sur CI, deuxième livré des "shorting" au lieu de "non shorting", je l'ai pas vu de suite et ai même fait une carte en plus pour temporiser les commutations et éviter des sauts de volume indésirables...Carte absolument inutile avec des "non shorting". Je vais revoir le pas de réglage (actuellement réglage sur 6 bits, par pas de 2 et 16 dB). En pratique les premières positions ne servent à rien.
- tubenstock
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Salut, au besoin, j'ai toute la doc KTR.
- tombapic
- Messages: 1315
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- Localisation: Nord Finistère ,autour de Brest
Ouii, ça peut être intéressant pour comparer.
- tubenstock
- Membre HCFR
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- Localisation: Région parisienne
Bonjour
En 2018, les seuls préamplis nécessaires, sont des étages phonos, ou bien des streamer qui s'apparentent plus à une source.
Eventuellement un filtre actif dans le cadre d'une installe multi amplifiée, qui gère en outre le volume général et la sélection des sources.
En dehors de cela vu le niveau des sources actuel, et la sensibillité des amplis normaux, je trouves qu'atténuer à mort le signal pour le ré amplifier n'est pas une solution terrible.
En terme d'impédance pas ou peu de problème à entrevoir, non plus.
On ne fait que ramasser plus de disto et plus de bruit.
A ce compte la autant acheter une pédale multi effet, ou un émulateur d'ampli, non?
Si c'est pour tester du matos, Heu Joker.
David
En 2018, les seuls préamplis nécessaires, sont des étages phonos, ou bien des streamer qui s'apparentent plus à une source.
Eventuellement un filtre actif dans le cadre d'une installe multi amplifiée, qui gère en outre le volume général et la sélection des sources.
En dehors de cela vu le niveau des sources actuel, et la sensibillité des amplis normaux, je trouves qu'atténuer à mort le signal pour le ré amplifier n'est pas une solution terrible.
En terme d'impédance pas ou peu de problème à entrevoir, non plus.
On ne fait que ramasser plus de disto et plus de bruit.
A ce compte la autant acheter une pédale multi effet, ou un émulateur d'ampli, non?
Si c'est pour tester du matos, Heu Joker.
David
- dsdn
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- Inscription Forum: 29 Sep 2005 16:33
Et donc ?
- tubenstock
- Membre HCFR
- Messages: 1546
- Inscription Forum: 16 Nov 2003 19:13
- Localisation: Région parisienne
Une poignée de cinch, un contacteur double et un potard ( double aussi, voir motorisé si t'es feignasse) fixés sur un coffret suffisent amplement à faire un préampli transparent, confortable ( tu utilises sa plage sur une plus grande élongation) et utilisable en 2018.
Au pire si tu as un ampli avec une impédance d'entrée basse, un cathode follower doit faire le job, mais il faut vraiment se demmerder comme un manche à couilles pour choisir un amplis aussi particulier, soit une Ze inférieure à disons 1 ou 2 K ohms.
Lorsque je conçois un montage à tube, je fais en sorte que la sensibilité d'entrée soit aux alentours de 1 Volt Rms voir en dessous.
L'impédance d'entrée avoine les 100 K ohms avec des triodes, ou le 1M ohms avec des penthodes...
Les platines CD, DVD, K7, cartes sons et autres streamers font ça les doigts dans le nez.
Le préampli est donc un peu une boite à amplifier une tension copieusement atténuée ( au préalable souvent) avec un potentiomètre, qui permet de sélectionner tes sources...
Tu vires ton circuit actif, et ça marche au moins aussi bien...sans les défauts propres à toute électronique ( bande passante, DHt,signal bruit...)
David
Au pire si tu as un ampli avec une impédance d'entrée basse, un cathode follower doit faire le job, mais il faut vraiment se demmerder comme un manche à couilles pour choisir un amplis aussi particulier, soit une Ze inférieure à disons 1 ou 2 K ohms.
Lorsque je conçois un montage à tube, je fais en sorte que la sensibilité d'entrée soit aux alentours de 1 Volt Rms voir en dessous.
L'impédance d'entrée avoine les 100 K ohms avec des triodes, ou le 1M ohms avec des penthodes...
Les platines CD, DVD, K7, cartes sons et autres streamers font ça les doigts dans le nez.
Le préampli est donc un peu une boite à amplifier une tension copieusement atténuée ( au préalable souvent) avec un potentiomètre, qui permet de sélectionner tes sources...
Tu vires ton circuit actif, et ça marche au moins aussi bien...sans les défauts propres à toute électronique ( bande passante, DHt,signal bruit...)
David
- dsdn
- Messages: 397
- Inscription Forum: 29 Sep 2005 16:33
Mais pourquoi me suis je donc embêté ces quelques mois ?:
- J'ai un préampli phono à tubes qui a une impédance de sortie assez forte.
- je dois traiter des entrées haut niveau type CD et des entrées plus bas niveaux (AUX : 300 mVeff).
Ces deux points induisent :
- A cause du phono, d'avoir une adaptation d'impédance & amplification avant d'attaquer le réglage du volume (si on le fait pas, le potard aura une impédance trop forte qui va dégrader la bande passante. et la phase de façon différente suivant le réglage de volume choisi en créant un filtre avec la capa Miller de l'étage amplificateur à suivre)
- le fait d'avoir à traiter l'entrée Aux milite pour que cette adaptation d'impédance & amplification soit communalisée dans le préampli et pas accrochée à l'étage phono (on en économise une)
Après se pose la question de comment régler le volume.
Avec un potard pour le volume et la balance ?
Avec un potard gauche et droite ?
Avec un réseau commuté gauche et droit ?
La première solution crée une atténuation du signal plus forte que les deux suivantes et des besoins en amplification accrus.
Donc, deuxième ou troisième solution.
Le réseau commuté est plus confortable pour trouver le point milieu pour la balance et permet de présenter une impédance de charge constante, mais c'est plus cher...
J'ai choisi cette solution et puis c'est plus amusant que de monter un potentiomètre.
Après le dernier arbitrage est de savoir si on attaque l'ampli en direct ou avec un tampon (qui amplifie un peu). Le fait d'attaquer via un tampon permet de présenter toujours la même impédance à l'ampli, ce qui ne serait pas le cas en direct en fonction des réglages du volume avec des inconvénients potentiels sur la phase. J'ai préféré cette solution, tout en dimensionnant le réseau d'atténuation pour qu'il n'y ait pas de perturbations gênantes sur la phase et la BP dues à l'interaction avec le tampon.
Mais si je n'avais eu que des sources haut niveau à traiter, le commutateur rotatif et le potard auraient continué à faire l'affaire (j'étais monté comme ça).
- J'ai un préampli phono à tubes qui a une impédance de sortie assez forte.
- je dois traiter des entrées haut niveau type CD et des entrées plus bas niveaux (AUX : 300 mVeff).
Ces deux points induisent :
- A cause du phono, d'avoir une adaptation d'impédance & amplification avant d'attaquer le réglage du volume (si on le fait pas, le potard aura une impédance trop forte qui va dégrader la bande passante. et la phase de façon différente suivant le réglage de volume choisi en créant un filtre avec la capa Miller de l'étage amplificateur à suivre)
- le fait d'avoir à traiter l'entrée Aux milite pour que cette adaptation d'impédance & amplification soit communalisée dans le préampli et pas accrochée à l'étage phono (on en économise une)
Après se pose la question de comment régler le volume.
Avec un potard pour le volume et la balance ?
Avec un potard gauche et droite ?
Avec un réseau commuté gauche et droit ?
La première solution crée une atténuation du signal plus forte que les deux suivantes et des besoins en amplification accrus.
Donc, deuxième ou troisième solution.
Le réseau commuté est plus confortable pour trouver le point milieu pour la balance et permet de présenter une impédance de charge constante, mais c'est plus cher...
J'ai choisi cette solution et puis c'est plus amusant que de monter un potentiomètre.
Après le dernier arbitrage est de savoir si on attaque l'ampli en direct ou avec un tampon (qui amplifie un peu). Le fait d'attaquer via un tampon permet de présenter toujours la même impédance à l'ampli, ce qui ne serait pas le cas en direct en fonction des réglages du volume avec des inconvénients potentiels sur la phase. J'ai préféré cette solution, tout en dimensionnant le réseau d'atténuation pour qu'il n'y ait pas de perturbations gênantes sur la phase et la BP dues à l'interaction avec le tampon.
Mais si je n'avais eu que des sources haut niveau à traiter, le commutateur rotatif et le potard auraient continué à faire l'affaire (j'étais monté comme ça).
- tubenstock
- Membre HCFR
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- Inscription Forum: 16 Nov 2003 19:13
- Localisation: Région parisienne
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La technique au service du son et de l'image
- Dagda
- Membre HCFR
- Messages: 15244
- Inscription Forum: 22 Déc 2005 14:53
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