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Films (débats, critiques), personnalités (acteurs, réalisateurs), prochaines sorties, les salles, la presse spécialisée...

► CRITIQUES des derniers films vus

Message » 21 Nov 2018 22:47

BIRDMAN (2015) de Alejandro González Iñárritu

Image


Comme The Lobster Je n'avais aucune idée de ce que j'allais voir en l'empruntant à la médiathèque
et je n'ai pas été déçu :lol:

L'Homme Oiseau est une belle mise en abyme de la carrière de l’interprète principal Michael Keaton
la réalisation d'Inarittu est stupéfiante de fluidité 8)

et Broadway sujet du film et son univers impitoyable ont l'air tout aussi dur et cynique qu'Hollywood :lol:

J'ai passé un excellent moment :P
menthalo
 
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Message » 21 Nov 2018 23:11

menthalo a écrit:THE LOBSTER (2015) de Yorgos Lanthimos

Image

récompensé à Cannes en 2015

Je n'avais aucune idée de ce que j'allais voir en l'empruntant à la médiathèque
et je n'ai pas été déçu :lol:

Un film d'anticipation dystopique
Hollywood en produit à la tonne depuis plusieurs années mais ici

il s'agit d'un fable grincante et dérangeante sur la vie en société et du couple 8)

Le réalisateur dirige cette oeuvre dans une veine tragico-comique servi par un casting d'acteurs impeccable ! :P

Si vous avez apprécié Mother ! de Darren Aronofsky

tentez l'expérience du visionnage du Homard
:wink:



Justement je voulais en parler, un film qui promet pour décevoir par la suite...

Yórgos Lánthimos se prend plutôt pour David Lynch mais ça tourne vite court, car tout est dans forme et quasiment rien dans le fond, contrairement ce que croit voir les critiques.

Il faudra qu'on m'explique vu qu'il quitte sa compagne au début, elle est devenue célibataire aussi, pourquoi elle n'a pas a subir ce que lui va subir? :hein:

Car surement que le personnage ne l’intéressait pas..

Bref on comprendra vite que le réalisateur fait ce qu'il veux de son histoire en oubliant la logique, et son film suivant la Mise à mort du cerf sacré va aller encore plus loin dans son manque de logique basique.

Au début ça joue sur une relation équivoque,Que fait cet adulte avec cet Ados sans intéret :hein:


Ça commence par des dialogues d'une banalité rare, il est évident que c'est voulu mais ça gonfle vite vu que ça dure, dure, dure ....

Barry Keoghan qui joue un ados a une vrai tête a claque a mâchouiller ses dialogues, est ce voulu ?

Nicole Kidman deviens sans raison un personnage désagréable, et comme dans Le lobSter Colin Farrell donne un peu d’intérêt et surtout un peu d'humanité dans un film qui en manque beaucoup, tout est artificiel ça se veux surement "Style"

Le réalisateur ne se donne même la peine de donner un semblant d' explication a une histoire de malédiction vraiment stupide ...

Je préfère le Lobster de très loin.

Il y aussi surtout dans ces 2 films de la misogynie latente, personnages féminins antipathiques , manipulateurs , tout les personnages Féminins ne sont pas, mais elles sont plus chargées que les hommes, c'est assez déplaisant .

Dans Le cerf ..il aime que sa femme
fasse la morte
ce qui est plus que parlant, la fille est quelque peu manipulatrice ....
jhudson
 
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Message » 25 Nov 2018 19:28

Au hazard Balthazar de Robert Bresson, soit disant un chef d'oeuvre par 95% de personnes qui l'ont surement entendu par d'autres et qui ne se posent pas de question...

Le sujet aurait pu été intéréssant vu que c'est un âne le centre du film .

Bresson en avait marre des acteurs qui leur reproche je ne sais quoi et il décide de prendre des amateurs , ils jouent tous comme dans les Sitcoms AB mais en pire, ça récite en essayant d’être dans le ton et parfois raide comme un piqué, beaucoup de plan embarrassants...


Un critique s'étonne que la plupart n'ont pas fait carriére par la suite , l'article dit que surement ces acteurs ont tout donné au début de leur carriére, si d'autres réalisateurs ont encensé ce film a sa sortie peu ont repris les acteurs par la suite, car un acteur qui récite son texte c'est pas vraiment pas recherché...

De plus Bresson ne tourne pas en son direct et demander a un amateur de se doubler par la suite est la pire des choses a faire, surement une des raisons que les dialogues sonnent parfois très faux , même pour un acteur se doubler soit même n'est pas évident

Enfin si c'était le seul problème car les personnages sont caricaturaux, des clichés, il faut voir les bad boys, vraiment méchants la preuve ils battent l' âne sans défense ( le seul a être naturel dans le film) en blouson de cuir en vélo et mobylette :o , a un moment ils ont même une radio portative diffusant la soupe du moment ,un des pires clichés du cinema réactionnaire..
La fille qui se nomme Marie (comme la vierge vu le titre ont fait vite le rapprochement) , une sainte qui deviens par la suite une fille facile, la aussi un cliché encore plus décrié car très réducteur sur les femmes , le père a un sens de la morale tellement stupide qu'il va tout perdre , l’alcoolo de service un peu clodo (un de rares "acteurs" un peu convaincant ) .....

Les réalisateurs qui se croient tellement bons qu'ils n'ont pas besoin de vrais acteurs, Bresson aura ouvert la voie dans le mainstream , dans le film fauché ça se faisait depuis longtemps.

Il est évident qu'en 1966 , être un réalisateur reconnu et sortir un film avec des amateurs ayant un non jeu, ça a du impressionner la profession, et ça l'est encore avec un Bruno Dumont un fan du film apparemment, un acteur amateur n'est qu'une marionnette entre leurs mains, un acteur pro ça pose des questions sans arrêt, ça peux avoir un avis différent sur son rôle, bref c'est pénible et en plus ca coute cher, tout cela est évacué avec un amateur qui va faire ce qu'on lui dit sans poser de questions.

Que ce soit surtout des réalisateurs qui est encensés ce film est assez révélateur ..
jhudson
 
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Message » 25 Nov 2018 20:49

jhudson a écrit:Au hazard Balthazar

Que ce soit surtout des réalisateurs qui est encensés ce film est assez révélateur ..


J'avoue que j'ai eu le même étonnement que toi après le visionnage des Dames du Bois de Boulogne, le seul film de Bresson que j'ai vu.

Je n'ai pas compris :o l'engouement pour ce film basique en termes de mise en scène et d'interprétation.

De la même période (1945), il y a eu beaucoup plus intéressant et des oeuvres qui ont largement mieux vieillies
menthalo
 
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Message » 25 Nov 2018 21:12

Pour une fois, je suis entièrement d'accord avec vous. Lorsque j'étais au lycée, c'était un "must" d'aller voir un film de Robert Bresson.
Je me suis toujours ennuyé à mourir avec les films d'icelui.

Mais il fallait... Après, il y a eu Godard...
tupeutla
 
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Message » 25 Nov 2018 21:12

menthalo a écrit:
jhudson a écrit:Au hazard Balthazar

Que ce soit surtout des réalisateurs qui est encensés ce film est assez révélateur ..


J'avoue que j'ai eu le même étonnement que toi après le visionnage des Dames du Bois de Boulogne, le seul film de Bresson que j'ai vu.

Je n'ai pas compris :o l'engouement pour ce film basique en termes de mise en scène et d'interprétation.

De la même période (1945), il y a eu beaucoup plus intéressant et des œuvres qui ont largement mieux vieillies


Et encore pour ce film et ceux qui vont suivre ce sont des acteurs professionnels ou débutants

Dames du Bois de Boulogne a un certain charme comme Un condamné à mort s'est échappé ou Journal d'un curé de campagne ( ça fait un moment que je les ai vu il faut dire) l'acting n'est pas un probléme, ce qui ne sera pas les cas des films suivants, surement ses films les plus" tout public"

Il y a un certain jeu des acteurs dans ces films voulu par Bresson et surement qu'ils étaient réticents et qu'il avait du mal a l'obtenir .

Dans Pickpocket 1959, ça commence avec des acteurs au jeu pas terrible, surement ce qu'il voulait encore plus un non jeu, qui doit confondre avec mal jouer, ce qui n'a rien avoir.

Dans le suivant Procès de Jeanne d'Arc que je n'ai pas vu ça doit être pire, aucun acteur ou presque n'a continué, les acteurs d'un seul film .
Dernière édition par jhudson le 25 Nov 2018 21:27, édité 1 fois.
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Message » 25 Nov 2018 21:18

tupeutla a écrit:Pour une fois, je suis entièrement d'accord avec vous. Lorsque j'étais au lycée, c'était un "must" d'aller voir un film de Robert Bresson.
Je me suis toujours ennuyé à mourir avec les films d'icelui.

Mais il fallait... Après, il y a eu Godard...


Et pourtant les films de Bresson dépassent rarement 1h 15 a partir de Pickpocket et jusqu'a Mouchette

C'est un cinema volontairement austère...

Il y est beaucoup question de religion (un film sur les nonnes, un autre sur un curé après c'est Jeanne d'arc) de sainte et de prostitués, et pourtant les critiques ne semblent pas s'en rendre contre, vu qu'ils ne parlent plus de la forme que du fond.
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Message » 26 Nov 2018 6:28

C'est comme Le tombeau hindou et Le tigre des indes qui sont d'un ennui mortel alors que ca se veux être des films d'aventure simplistes.

Des acteurs sans saveur et inconnus, une camera fixe, une action qui se traine, franchement si ces films n'étaient pas réalisés par Fritz Lang, personne en parlerait encore.

Il parait que des gens riaient dans la salle , c'est dire qu' ils ont été mal reçu a l'époque mais comme c'est Lang c'est forcément bien , mais rien dans ces films ne fait pensser a Lang, c'est totalement impersonnel .

Ce qui est resté c'est la danse de Debra Paget, ce que raconte l'histoire on l'a oublié...

L'attaque d'un tigre est un des SFX du film, un homme recouvert d'une peau de tigre , c'est dire l'ambition ...

Il y a aussi le remake Us d'une Bête humaine, un film très embarrassant, car pas question de faire du rôle principal ce que Gabin a joué repris par Glenn Ford, donc le scénario est forcément remanié a cause de la censure US, au final ça donne un film immoral ou
le meurtrier s'en tire
:hein:
Dernière édition par jhudson le 03 Déc 2018 19:14, édité 2 fois.
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Message » 03 Déc 2018 18:37

Assez loin de Bresson (quoi que... :roll: ) j'ai vu en replay "Suspiria", un film de Dario Argento de 1977, désormais un classique de l'horreur fantastique parait-il. Le plus extraordinaire est l'usage incroyable des couleurs et des décors, absolument extravagants, avec une esthétique "Art Nouveau" assumée et des lumières saturées en permanence. Ce parti pris esthétique est nettement plus remarquable que le scénario, assez faiblard à mon humble avis, et les acteurs passables sans plus.

J'ai noté de splendides traveling dans les couloirs de l'école de danse qui sert de décor permanent au film, qui préfigurent ceux de "Shining", 3 ans plus tard, en imaginant mais cela va de soi vu son coté maniaque que Kubrick avait regardé ce qui se faisait de mieux dans le genre.

L'anecdote étonnante: Dario Argenta a convaincu Joan Bennett, star vieillissante d'Hollywood qui connut la gloire dans les années 40, de jouer dans son film qui fut son dernier. Le role titre échoit a Jessica Harper (un peu plus tard chez Woody Allen dans "stardust memories" son plus grand role), en jeune oie blanche maigrichonne, en permanence sous le coup de remontrances de la part du personnage joué par Alida Valli (elle aussi star déchue du cinéma italien) qui est parfaite en "maitresse" ultra rigide limite SM, à tel point qu'on se demande régulièrement pendant le film si la jeune Jessica va finir seins nus fouettée par... Ah non, c'est pas ce film me dit-on. :oops: Je me suis égaré, sorry.

A voir pour l'esthétique extravagante du film, à montrer dans toutes les écoles de cinéma !

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Message » 03 Déc 2018 19:19

Les travellings arrières de Kubrick dans des couloirs (si c'est ce genre de travelling dont du parle, les gens marchent et la camera recule ) ça date des sentiers de la gloire de 1957 dans les tranchées , et repris dans la plupart de ses films suivants : 2001 , Orange Mécanique...

Ce travelling c'est quasiment sa signature .

Les meilleurs rôles de Jessica Harper ont été Phantom of the Paradise (1974) et Gros plan (1975), après Suspiria elle n'a plus eu grand chose comme rôles importants a part le film d'Allen.
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Message » 06 Déc 2018 19:53

THE SPACEWALKER (VOD)

Synopsis : Histoire vraie (bien que probablement romancée au niveau des multiples suspenses !) du premier "marcheur de l'espace", soit la première sortie spatiale réalisée à l'aide d'un vaisseau soviétique, dont le lancement et le fonctionnement était pourtant très, très risqués !


On passe un excellent moment à suivre l'aventure de deux cosmonautes et des équipes de techniciens, la construction difficile de leur amitié, le fonctionnement de l'administration de la conquête spatiale soviétique, pendant la guerre froide, l'aventure en elle-même, très détaillée, véridique et vraiment spectaculaire, notablement aidé par des FX tout à fait convaincants. On sourira simplement devant les nombreux paroxysmes d'un culte du héro qui semble fortement attaché à la culture slave.

16/20
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Message » 06 Déc 2018 21:32

alcatol a écrit:THE SPACEWALKER (VOD)

Synopsis : Histoire vraie (bien que probablement romancée au niveau des multiples suspenses !) du premier "marcheur de l'espace", soit la première sortie spatiale réalisée à l'aide d'un vaisseau soviétique, dont le lancement et le fonctionnement était pourtant très, très risqués !


On passe un excellent moment à suivre l'aventure de deux cosmonautes et des équipes de techniciens, la construction difficile de leur amitié, le fonctionnement de l'administration de la conquête spatiale soviétique, pendant la guerre froide, l'aventure en elle-même, très détaillée, véridique et vraiment spectaculaire, notablement aidé par des FX tout à fait convaincants. On sourira simplement devant les nombreux paroxysmes d'un culte du héro qui semble fortement attaché à la culture slave.

16/20


Je crois que j'en avais parlé ici.

Le film a le mérité d’être honnéte , j'ai trouvé que ce n'était pas si nationaliste que cela (il y a 2 a 3 moments qui le sont comme imposés mais le reste ne l'est pas du tout, pendant la guerre froide le nationalisme Russe a repris le dessus, ce n'était guère mieux aux USA) , un des 2 astronautes est un issue d'une famille de paria par le régime.

Il montre la parano des gens de l'époque,que sans l’initiative du directeur
ils seraient tout les 2 morts
, il n'a pas suivi les règles, et les règles en Russie on les suit aveuglément, je crois qu'a un autre moment un astronaute aussi n'a pas suivi non plus les règles.

Vraiment un bon film, a mon avis supérieur a Apollon 13 qui raconte une histoire proche, mais avec un budget assez réduit.
jhudson
 
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Message » 25 Déc 2018 7:20

P'tain ils vont m'attendre pour déballer les cadeaux :lol:
J'ai commencé par la vie est belle de Capra...on ne le présentera plus, c'est un des meilleurs films de l'histoire du cinéma, suivi de l'énième version du meurtre de l'orient express par et avec l'ami Kenneth dans le rôle du détective Poirot. Une version qui anticipe le Poirot du "Poirot quitte la scène" à savoir le dernier opus de ses aventures. Je me suis fini avec un genre que je déteste, celui des films avec des personnages qui chantent encore et encore et se mettent à danser à savoir "the greatest showman". Le message est simple mais au moins il est assez crystalin...et je l'ai regardé jusqu'au bout, ce qui est en fait une première pour moi avec ce genre de film, il doit donc être particulièrement bon si vous aimez les comédies musicales.
Par contre, si à vos yeux Hugh Jackman c'est juste Logan ça va pas le faire :lol:
Boc21
 
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Message » 25 Déc 2018 8:14

Boc21 a écrit:P'tain ils vont m'attendre pour déballer les cadeaux :lol:
J'ai commencé par la vie est belle de Capra...on ne le présentera plus, c'est un des meilleurs films de l'histoire du cinéma, suivi de l'énième version du meurtre de l'orient express par et avec l'ami Kenneth dans le rôle du détective Poirot. Une version qui anticipe le Poirot du "Poirot quitte la scène" à savoir le dernier opus de ses aventures. Je me suis fini avec un genre que je déteste, celui des films avec des personnages qui chantent encore et encore et se mettent à danser à savoir "the greatest showman". Le message est simple mais au moins il est assez crystalin...et je l'ai regardé jusqu'au bout, ce qui est en fait une première pour moi avec ce genre de film, il doit donc être particulièrement bon si vous aimez les comédies musicales.
Par contre, si à vos yeux Hugh Jackman c'est juste Logan ça va pas le faire :lol:



Réf:La vie est belle

C'est un des films le plus diffusé aux USA pendant les fêtes de fin d'année ...

Il y a des films ou les chants ont de l’intérêt et d'autres ou les chansons sont juste gonflants, comme Valley of the Dolls 1967 ou ça ralentit une histoire déjà pas hyper passionnant.
jhudson
 
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Message » 27 Déc 2018 17:03

jhudson a écrit:La résistance de l'air

Il n'y a que le titre de bien, ça deviens vite n'importe quoi, le personnage principal ne semble pas trop se poser de question quand on lui propose d’être
un tueur a gage, vu que qu'il fait du tir de compétition, subtile ....
pour régler ses problémes financier

Et puis on lui demande plusieurs fois dans le film (voir le spoiler) sans aucune raison , une c'était déjà de trop mais 3 a 4 fois , le film veux surement sa rubrique dans Nanarland!!

Tu baises?


Cher jhudson,
On pourrait sans doute trouver des angles critiques à ce film mais s'agissant de savoir s'il est pertinent de demander au personnage s'il baise ou non est un point central du film. A partir de ce moment là, difficile d'accrocher.
Unjeff
 
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