JIM a écrit:En numérique, c'est plutôt la précision du calcul qui est à vérifier, le calcul doit se faire en 32 bits voir 64 bits.
Si on règle le volume en numérique, ça suppose qu'il y a un DAC qui attaque directement les blocs de puissances.
Dans cette condition, il faut viser un DAC avec une dynamique de 110-120dB.
En analogique, la difficulté sera de conserver un bon appairage entre les 2 canaux qui joue énormément sur la stéréo.
La précision d'un potentiomètre et la disparité entre pistes est médiocre.
Les meilleures performances sont atteintes avec des réseaux de résistances commutés mais ça revient très cher, c'est plutôt réservé au hdg.
La plupart des intégrés utilisent des circuits spécialisés qu'il faut plus ou moins la même chose mais miniaturisé.
Les performances sont légèrement moins bonnes en S/N mais ça évite les disparités des potentiomètres.
Bien sûr, il y a plein d'autres solution ou des mixs de solutions.
Sur un préampli comme sur un DAC, il est important d'utiliser la plage dynamique maximale.
La dynamique ne peut être que réduite après la source, il est donc important de partir par le meilleur capital.
Merci.
Cette problématique de volume numérique avait été abordée sur un fil consacré à un FDA, et c'est effectivement assez complexe dans le sens où on a pas toujours les détails de la gestion par les électroniques en numérique. Apparemment, à partir de 24, certains disaient que c'était suffisant pour ne pas poser de problème de bruit.
Mais tu nous renseigne sur la dynamique à joindre à cela, qui doit être haute, et c'est très intéressant car un choix minutieux du DAC est primordial dans ce cas. Ceci dit, je crois que beaucoup de DAC actuels sont à ce niveau de dynamique ou supérieur, n'est-ce pas?
Dans le cadre d'une gestion du volume en analogique, tu penses donc, qu'à moins d'être fortuné (Hélas ce n'est pas mon cas), une solution intégrée est préférable actuellement, c'est bien ça?