C'est dumb&dumberesque !
J'ai donc aimé...
16/20
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Modérateurs: Modération Forum Oeuvres & Multimédia, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: derffred et 115 invités
Films (débats, critiques), personnalités (acteurs, réalisateurs), prochaines sorties, les salles, la presse spécialisée...
► CRITIQUES des derniers films vus
- tupeutla
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Ca passe vraiment bien, notamment parce que le film a cette fois la bonne idée de ne durer qu'1h30.
Sinon je ne comprends pas pourquoi ceux qui ont aimé le premier volet n'aimeraient pas le second. C'est vraiment fait dans le même moule.
Sinon je ne comprends pas pourquoi ceux qui ont aimé le premier volet n'aimeraient pas le second. C'est vraiment fait dans le même moule.
- poilau
- Messages: 4099
- Inscription Forum: 06 Avr 2003 22:20
- Localisation: 92200
LE MUSEE DES MERVEILLES (CINE)
Synopsis : Nous suivons les aventures parallèles, dans deux époques différentes, de deux enfants à la recherche d'un parent manquant. Leur quête les attire tous deux dans New-York, dans le Museum d'histoire naturelle.
Sympa, bien fait, notamment la reconstitution de quartiers de New-York à différentes époques ... Mais sans plus, on regarde sa montre au bout d'une heure, malgré les louanges rapportées par un très bon ami.
Et toujours ce léger énervement qui m'avait déjà pollué le visionnage de "Hugo Cabret" (que j'ai détesté aussi pour d'autres raisons). Cet entêtement de l'auteur Brian Selznick (également auteur de l'histoire originale H. Cabret) à vouloir nous persuader que, grâce à son génie littéraire, il va arriver à nous faire fantasmer à partir d'une histoire simple ... Simplement prétentieux !
13/20
Synopsis : Nous suivons les aventures parallèles, dans deux époques différentes, de deux enfants à la recherche d'un parent manquant. Leur quête les attire tous deux dans New-York, dans le Museum d'histoire naturelle.
Sympa, bien fait, notamment la reconstitution de quartiers de New-York à différentes époques ... Mais sans plus, on regarde sa montre au bout d'une heure, malgré les louanges rapportées par un très bon ami.
Et toujours ce léger énervement qui m'avait déjà pollué le visionnage de "Hugo Cabret" (que j'ai détesté aussi pour d'autres raisons). Cet entêtement de l'auteur Brian Selznick (également auteur de l'histoire originale H. Cabret) à vouloir nous persuader que, grâce à son génie littéraire, il va arriver à nous faire fantasmer à partir d'une histoire simple ... Simplement prétentieux !
13/20
- alcatol
- Messages: 3647
- Inscription Forum: 14 Fév 2002 2:00
- Localisation: 78
Pas fan non plus d'Hugo Cabret, un manque de rythme évident et le film oublie tout simplement qu'il s’adresse avant tout a des enfants, alors les clins d'oeuil au cinema d'avant la 2iéme guerre ça leur passe au dessus de la tête.
Mais il suffit de dire que c'est un film de Scorsese pour que tout le monde trouve le film génial !!!
Gods of Egypt (2016) d'Alex Proyas , le film s'est fait proprement dézingué alors je m'attendais au pire, en faite c'est sympa a regarder, les acteurs assurent quasiment tous.
Pour éviter la censure (a mon avis), il est dit que les dieux ont de l'or dans le sang, du moment que ce n'est plus rouge, plus de probléme pour que les combats soit bien saignant !!
Le film est assez violent ça deviens rare sur du PG 13 , et Courtney Eaton a des robes un peu trop décolletées que ça deviens un peu voyant !
Bien sur le film est clinquant mais c'est évidemment voulu, en faite le monde qu'on nous notre n'est pas le notre, la terre est plate et dans le ciel Ra combat un monstre chaque soir pour l’empêcher de détruire cette terre.
Le personnage humain qui sert au spectateur a s' identifier est un voleur , on fait remarqué dans le film qu'il a une chance qui dépasse entendement pour rester en vie !
Le film ne se prend pas au sérieux, il y a quelques blague mais sans devenir envahissent !
Je me demande que ceux qui ont vu le film ont bien compris, que c'était Gods of Egypt vu par un artiste de comic books et de ce coté le film est cohérent !
Mais il suffit de dire que c'est un film de Scorsese pour que tout le monde trouve le film génial !!!
Gods of Egypt (2016) d'Alex Proyas , le film s'est fait proprement dézingué alors je m'attendais au pire, en faite c'est sympa a regarder, les acteurs assurent quasiment tous.
Pour éviter la censure (a mon avis), il est dit que les dieux ont de l'or dans le sang, du moment que ce n'est plus rouge, plus de probléme pour que les combats soit bien saignant !!
Le film est assez violent ça deviens rare sur du PG 13 , et Courtney Eaton a des robes un peu trop décolletées que ça deviens un peu voyant !
Bien sur le film est clinquant mais c'est évidemment voulu, en faite le monde qu'on nous notre n'est pas le notre, la terre est plate et dans le ciel Ra combat un monstre chaque soir pour l’empêcher de détruire cette terre.
Le personnage humain qui sert au spectateur a s' identifier est un voleur , on fait remarqué dans le film qu'il a une chance qui dépasse entendement pour rester en vie !
Le film ne se prend pas au sérieux, il y a quelques blague mais sans devenir envahissent !
Je me demande que ceux qui ont vu le film ont bien compris, que c'était Gods of Egypt vu par un artiste de comic books et de ce coté le film est cohérent !
- jhudson
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- Inscription Forum: 27 Mar 2006 15:52
Star Wars : Les derniers Jedi
3/5
Fans de Star Wars, préparez vous à être déçus !
Dans cet épisode, on voit clairement que Disney a pris la main sur cette licence lucrative qu'est Star Wars (je ne parle même pas des bestioles genre chapoté, créées uniquement pour vendre des peluches et accrocher des "cro-mimi") .
Ainsi, Star Wars, gage à ses origines d'innovation, n'est plus qu'on bonbon.
On en mange, même si on sait que ce n'est pas si bon que ça pour nous.
On retrouve ici un catalogue Pop des films ayant le plus marqué ces dernières décennies :
Matrix, Harry Potter, Top Gun, Games of Thrones...
Autant le 7 était critiqué pour sa ressemblance avec l'épisode IV (personnellement j'avais trouvé que c'était un bon compromis des deux trilogies : entre Famille/amis et politique/manipulation) autant dans celui-ci on voit clairement les traces de l'épisode V, aussi bien dans la trame, que dans certains paysages/scènes.
Alors après avec le budget investi dur de faire un film foncièrement mauvais, notamment niveau photographie et effets spéciaux, d'où ma note de 3/5
En tant que cinéphile, j'espère vraiment que le Deal Disney/Fox va capoter... même si ça n'en prend pas le chemin...
3/5
Fans de Star Wars, préparez vous à être déçus !
Dans cet épisode, on voit clairement que Disney a pris la main sur cette licence lucrative qu'est Star Wars (je ne parle même pas des bestioles genre chapoté, créées uniquement pour vendre des peluches et accrocher des "cro-mimi") .
Ainsi, Star Wars, gage à ses origines d'innovation, n'est plus qu'on bonbon.
On en mange, même si on sait que ce n'est pas si bon que ça pour nous.
On retrouve ici un catalogue Pop des films ayant le plus marqué ces dernières décennies :
Matrix, Harry Potter, Top Gun, Games of Thrones...
Autant le 7 était critiqué pour sa ressemblance avec l'épisode IV (personnellement j'avais trouvé que c'était un bon compromis des deux trilogies : entre Famille/amis et politique/manipulation) autant dans celui-ci on voit clairement les traces de l'épisode V, aussi bien dans la trame, que dans certains paysages/scènes.
Alors après avec le budget investi dur de faire un film foncièrement mauvais, notamment niveau photographie et effets spéciaux, d'où ma note de 3/5
En tant que cinéphile, j'espère vraiment que le Deal Disney/Fox va capoter... même si ça n'en prend pas le chemin...
- sokh1985
- Messages: 3663
- Inscription Forum: 30 Sep 2004 17:38
- Localisation: Angers, France
Fox n'a pas besoin de Disney pour faire de mauvais films, ils l'ont pourtant bien démontrer avec la licence Xmen , sans parler du choix ultra douteux de certains réalisateurs car ils sont avant tout de bon yes man et que cette personne était douteuse moralement ne leur posait aucun probléme !
Si le deal passe ,ça aura forcé Fox a virer un réalisateur et son studio de production que le studio avait trop protégé !
Tout les studios nivellent par le bas et a divers degrés, les réalisateurs virés en court et en fin de tournage est chose courante, c'est devenu un cinema de producteurs qui n'ont souvent que faire de raconter une histoire et ne pense qu'a retour sur investissement !
Il est prévu du Star wars a chaque années fiscales et sur les 20 prochaines années au moins !
Ceux qui disaient que Lucas avait surexploité Star wars, vont comprendre ce que le mot veux vraiment dire !
Si le deal passe ,ça aura forcé Fox a virer un réalisateur et son studio de production que le studio avait trop protégé !
Tout les studios nivellent par le bas et a divers degrés, les réalisateurs virés en court et en fin de tournage est chose courante, c'est devenu un cinema de producteurs qui n'ont souvent que faire de raconter une histoire et ne pense qu'a retour sur investissement !
Il est prévu du Star wars a chaque années fiscales et sur les 20 prochaines années au moins !
Ceux qui disaient que Lucas avait surexploité Star wars, vont comprendre ce que le mot veux vraiment dire !
- jhudson
- Messages: 14156
- Inscription Forum: 27 Mar 2006 15:52
Ça c'est ton avis. J'ai trouvé le dernier Logan très bien par exemple. Même si il prend des libertés avec le comic paraît iljhudson a écrit:Fox n'a pas besoin de Disney pour faire de mauvais films, ils l'ont pourtant bien démontrer avec la licence Xmen , sans parler du choix ultra douteux de certains réalisateurs car ils sont avant tout de bon yes man et que cette personne était douteuse moralement ne leur posait aucun probléme !
Si le deal passe ,ça aura forcé Fox a virer un réalisateur et son studio de production que le studio avait trop protégé !
Tout les studios nivellent par le bas et a divers degrés, les réalisateurs virés en court et en fin de tournage est chose courante, c'est devenu un cinema de producteurs qui n'ont souvent que faire de raconter une histoire et ne pense qu'a retour sur investissement !
Il est prévu du Star wars a chaque années fiscales et sur les 20 prochaines années au moins !
Ceux qui disaient que Lucas avait surexploité Star wars, vont comprendre ce que le mot veux vraiment dire !
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- sokh1985
- Messages: 3663
- Inscription Forum: 30 Sep 2004 17:38
- Localisation: Angers, France
sokh1985 a écrit:Ça c'est ton avis. J'ai trouvé le dernier Logan très bien par exemple. Même si il prend des libertés avec le comic paraît iljhudson a écrit:Fox n'a pas besoin de Disney pour faire de mauvais films, ils l'ont pourtant bien démontrer avec la licence Xmen , sans parler du choix ultra douteux de certains réalisateurs car ils sont avant tout de bon yes man et que cette personne était douteuse moralement ne leur posait aucun probléme !
Si le deal passe ,ça aura forcé Fox a virer un réalisateur et son studio de production que le studio avait trop protégé !
Tout les studios nivellent par le bas et a divers degrés, les réalisateurs virés en court et en fin de tournage est chose courante, c'est devenu un cinema de producteurs qui n'ont souvent que faire de raconter une histoire et ne pense qu'a retour sur investissement !
Il est prévu du Star wars a chaque années fiscales et sur les 20 prochaines années au moins !
Ceux qui disaient que Lucas avait surexploité Star wars, vont comprendre ce que le mot veux vraiment dire !
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Logan et Deadpool sont des films produits sans que Fox n'est eu beaucoup de mot a dire (carte blanche aux réalisateurs ou presque) , car étant R rated avec un budget limité, a mon avis absolument pas représentatif de ce qu'ils ont fait avec la licence Xmen sur les autres films !
Deadpool était un film que FOX ne voulait absolument pas dans sa forme prévue a l'origine,Tim Miller aidé de Ryan Reynolds ont du bataillé ferme pour que le film reste tel qu'il devait être , Fox n'y croyait pas et ne leur a donné que 58 M$ de budget et c'est pourtant le film qui leur a rapporter le plus...
Ils ont donc donné un peu plus de latitude pour Logan car Deadpool tout en étant R rated avait été un succès, mais pas beaucoup plus d'argent que pour Deadpool: 97 M$.
X-Men:Apocalypse budget de 178 M$ et la c'est un pur film Fox , avec une production contrôlée du début a la fin !
- jhudson
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LA VILLA (CINE)
Synopsis : Un vieil homme, sur la terrasse de sa villa d'une minuscule calanque Marseillaise, regarde son panorama et marmonne ... "Tant pis". Quelques minutes après, il est terrassé par un AVC. Sa descendance, diversement cabossée par la vie, se retrouve au même endroit pour raisons notariales. Les souvenirs, les convictions et les vieilles colères renaissent à l'occasion. L'actualité s'invite aussi à leur porte.
Notre Kent Loach Marseillais (Robert Guédiguian) nous gratifie probablement là d'une de ses meilleures créations. Il ose encore et toujours et prend le temps de planter des situations (un peu) idéales pour nous rappeler ce que "dignité humaine" veut dire, à vivre au quotidien. Tout fonctionne, grâce au talent et à la complicité de ses acteurs de toujours. La mise en scène, la bande son sont remarquables, soutenant le fil de l'histoire et notre attention, favorisant une belle immersion dans ce moment de vie. Très émouvant donc, avec quelques moments de grâce, notamment le (probable) "déterrage idéal" de très vieux "rush" ...
18/20 (Note totalement subjective mais la perception de notre vie est-elle faite d'autre chose ?)
Synopsis : Un vieil homme, sur la terrasse de sa villa d'une minuscule calanque Marseillaise, regarde son panorama et marmonne ... "Tant pis". Quelques minutes après, il est terrassé par un AVC. Sa descendance, diversement cabossée par la vie, se retrouve au même endroit pour raisons notariales. Les souvenirs, les convictions et les vieilles colères renaissent à l'occasion. L'actualité s'invite aussi à leur porte.
Notre Kent Loach Marseillais (Robert Guédiguian) nous gratifie probablement là d'une de ses meilleures créations. Il ose encore et toujours et prend le temps de planter des situations (un peu) idéales pour nous rappeler ce que "dignité humaine" veut dire, à vivre au quotidien. Tout fonctionne, grâce au talent et à la complicité de ses acteurs de toujours. La mise en scène, la bande son sont remarquables, soutenant le fil de l'histoire et notre attention, favorisant une belle immersion dans ce moment de vie. Très émouvant donc, avec quelques moments de grâce, notamment le (probable) "déterrage idéal" de très vieux "rush" ...
18/20 (Note totalement subjective mais la perception de notre vie est-elle faite d'autre chose ?)
- alcatol
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Dalida : 9/20
Si la reconstitution est plutôt bien faite, alors là le film a cassé mon mythe . Déjà la narration est beaucoup trop heurtée, et ne met absolument pas l'accent sur sa carrière et ses relations avec son public. Mais surtout, et là je ne sais pas si c'est voulu, le film donne une image malheureusement bien dégradante de l'idole, qui commence par tromper son mari quelques jours après son mariage. On nous a toujours présenté Dalida comme étant une femme éternellement malchanceuse dans sa vie privée, alors que justement si elle a bien été malheureuse, c'est surtout parce qu'elle a toujours été pathologiquement attiré par des blaireaux antipathiques, et beaucoup trop narcissiques pour rendre heureux qui que ce soit, la chance n'avait rien à voir la dedans.
Le film est sauvé du naufrage par l'actrice principale, Sveva Alviti, l'une des femmes les plus vidéogéniques que j'ai jamais vue . Avec son allure assurée, sa grande silhouette androgyne et son visage anguleux, elle est la parfaite réincarnation des canons esthétiques des années 70.
Si la reconstitution est plutôt bien faite, alors là le film a cassé mon mythe . Déjà la narration est beaucoup trop heurtée, et ne met absolument pas l'accent sur sa carrière et ses relations avec son public. Mais surtout, et là je ne sais pas si c'est voulu, le film donne une image malheureusement bien dégradante de l'idole, qui commence par tromper son mari quelques jours après son mariage. On nous a toujours présenté Dalida comme étant une femme éternellement malchanceuse dans sa vie privée, alors que justement si elle a bien été malheureuse, c'est surtout parce qu'elle a toujours été pathologiquement attiré par des blaireaux antipathiques, et beaucoup trop narcissiques pour rendre heureux qui que ce soit, la chance n'avait rien à voir la dedans.
Le film est sauvé du naufrage par l'actrice principale, Sveva Alviti, l'une des femmes les plus vidéogéniques que j'ai jamais vue . Avec son allure assurée, sa grande silhouette androgyne et son visage anguleux, elle est la parfaite réincarnation des canons esthétiques des années 70.
- poilau
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Rose Ville (2013) j'ai perdu 2 heures de ma vie a regarder ce truc qui voulait faire peur, alors que c'est du grand n'importe quoi pris un peu partout ailleurs avec une musique omniprésente pour faire inquiétant .
On se demande que viens faire un personnages US dans un film Bulgare, si c'est pour faire parler anglais pendant une grande partie du film et pouvoir plus facilement le vendre a l'étranger
Ca n'a ni queue ni tête et surtout on s'ennuie ferme devant !
NUL !!!
On se demande que viens faire un personnages US dans un film Bulgare, si c'est pour faire parler anglais pendant une grande partie du film et pouvoir plus facilement le vendre a l'étranger
Ca n'a ni queue ni tête et surtout on s'ennuie ferme devant !
NUL !!!
- jhudson
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jhudson a écrit:Rose Ville (2013) j'ai perdu 2 heures de ma vie a regarder ce truc qui voulait faire peur, alors que c'est du grand n'importe quoi pris un peu partout ailleurs avec une musique omniprésente pour faire inquiétant .
On se demande que viens faire un personnages US dans un film Bulgare, si c'est pour faire parler anglais pendant une grande partie du film et pouvoir plus facilement le vendre a l'étranger
Ca n'a ni queue ni tête et surtout on s'ennuie ferme devant !
NUL !!!
En plus, c'est loooong et inintéressant. Je crois que c'est le pire film du genre que j'ai vu cette année !
- tupeutla
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tupeutla a écrit:jhudson a écrit:Rose Ville (2013) j'ai perdu 2 heures de ma vie a regarder ce truc qui voulait faire peur, alors que c'est du grand n'importe quoi pris un peu partout ailleurs avec une musique omniprésente pour faire inquiétant .
On se demande que viens faire un personnages US dans un film Bulgare, si c'est pour faire parler anglais pendant une grande partie du film et pouvoir plus facilement le vendre a l'étranger
Ca n'a ni queue ni tête et surtout on s'ennuie ferme devant !
NUL !!!
En plus, c'est loooong et inintéressant. Je crois que c'est le pire film du genre que j'ai vu cette année !
Oui je le pense aussi (et j'en ai vu des trucs pas possible) , il n'y a rien de cohérent , ils auraient pu couper une bonne demi heure sans probléme !
Il y a petit trouvaille a la fin tourné en Vidéo, mais ça a déjà été vu ailleurs.
Sur Imdb c'est noté 6.2
Par contre je vous conseille Krampus (genre conte de noël qui tourne mal )
Je n' entendais rien d'un film d’horreur PG13, alors qu'il y a des passages délirant, digne des Gremlins et de certains films de Raimi !
Ce n'est pas un chef d'oeuvre mais on ne s'ennuie pas et les acteurs assurent en incarnant des personnages pittoresques et/ou attachant !
Et le twist final est intélligent et cohérent avec le reste, alors que souvent c'est juste gratuit, juste pour faire un twist !
- jhudson
- Messages: 14156
- Inscription Forum: 27 Mar 2006 15:52
En marge du topic sur les top des films sortis en salles/DTV en 2017, voici les quelques titres que je retiens à propos des découvertes de films récents vus en 2017 :
-Le Retour (2003)
Un film magistral, où l'image et le son, dans la grande tradition du cinéma russe, disent bien plus que les mots. Puissant dans son sens de l'épure et de la gestion des espaces presque mystiques. En quelques actes, le récit touchant et difficile d'enfants qui ne le seront plus.
-My name is Emily (2015)
Une rareté de festival, très peu diffusé, et avec un background concernant sa production à la hauteur du résultat beau et touchant. Comment réapprendre à aimer et se relier avec l'autre. Une très belle découverte.
-Refroidis (2014)
Traitement résolument "Europe du Nord" dans l'humour et le sens de l'expéditif. Délicieusement noir et drôle, un drame aux paysages magnifiques servis par des acteurs de grand talent. Une très belle surprise !
-Schneider VS Bax (2015)
La même chose qu'au dessus ou presque. Film caractéristique bien typique du sens de l'absurde de mes "cousins" néerlandais : humour noir, saugrenuité et déroulé implacable parfaitement maîtrisé. Un tout petit flottement de rythme en deuxième partie, mais l'ensemble reste vraiment impressionnant en termes de mécanique narrative.
-Demotion (2015)
Propos peu novateur mais traitement ultra efficace, bien mis en scène et servi par des acteurs de premier plan. Un film dense et beau.
-Tsar (2009)
Après un film qui transpire d'une mystique à même le sol de la Karélie - "L'île 2006", Pavel Louguine accouche d'un film fort et remarquable porté par le grand acteur Piotr Mamonov. Le rôle démesuré de Ivan IV lui est taillé sur mesure. Grandiloquent et chaotique.
-Sin Nombre & Beasts of No Nation (2009 et 2015).
Même auteur, même démarche qui se refuse le misérabilisme et l'approche documentariste-vérité d'autres films de ce type. La mise en scène atmosphérique (très bien servi par la BO) ne dessert en rien le propos. Beaucoup d'humanité et de nuances dans ces portraits de peuples et d'individus qui se déchirent.
-Asura (2016) Le film qui a généré un cult-following en Corée au point que des tas de fans se font appeler "Asurians". Film de gangsters et politicards corrompus dans la grande tradition des films coréens du genre. Avec la folie en prime et l'excessif tous azimuts, le film est la quintessence de l’exutoire fantasmatique et transgressif d'une société coréenne bien sage et normée dans son quotidien.
-A Girl walks home alone at night (2014)
Pari audacieux de recréer une sorte de western vampirique perdu au fond d'un univers inconnu - à consonance iranienne. Destruction et retrouvailles sentimentales autour d'une figure dont le voile noire - vampirique - est perdue dans le dédale des codes de la société. Quelques scènes particulièrement magnifiques en termes de composition et de sensations. Un beau projet personnel.
-Men & Chicken (2015)
Fresque délirante, incongrue et caustique sur la monstruosité et/de la famille. Direction artistique de haute volée, interprétation au diapason. Excellent.
Et puis, quelques autres également :
-Suburra (2015)
-Tout en haut du monde (2016)
-Traque à Boston (2017)
-The Witch (2016)
-Anomalisa (2015)
-Leviathan (2014)
-Le juge (2014)
-Mc Laren (2017)
-Roaring current - The admiral (2014)
-New World (2013)
-Alleluia (2014)
-A perfect day (2015)
-Wakefield (2016)
-Le Retour (2003)
Un film magistral, où l'image et le son, dans la grande tradition du cinéma russe, disent bien plus que les mots. Puissant dans son sens de l'épure et de la gestion des espaces presque mystiques. En quelques actes, le récit touchant et difficile d'enfants qui ne le seront plus.
-My name is Emily (2015)
Une rareté de festival, très peu diffusé, et avec un background concernant sa production à la hauteur du résultat beau et touchant. Comment réapprendre à aimer et se relier avec l'autre. Une très belle découverte.
-Refroidis (2014)
Traitement résolument "Europe du Nord" dans l'humour et le sens de l'expéditif. Délicieusement noir et drôle, un drame aux paysages magnifiques servis par des acteurs de grand talent. Une très belle surprise !
-Schneider VS Bax (2015)
La même chose qu'au dessus ou presque. Film caractéristique bien typique du sens de l'absurde de mes "cousins" néerlandais : humour noir, saugrenuité et déroulé implacable parfaitement maîtrisé. Un tout petit flottement de rythme en deuxième partie, mais l'ensemble reste vraiment impressionnant en termes de mécanique narrative.
-Demotion (2015)
Propos peu novateur mais traitement ultra efficace, bien mis en scène et servi par des acteurs de premier plan. Un film dense et beau.
-Tsar (2009)
Après un film qui transpire d'une mystique à même le sol de la Karélie - "L'île 2006", Pavel Louguine accouche d'un film fort et remarquable porté par le grand acteur Piotr Mamonov. Le rôle démesuré de Ivan IV lui est taillé sur mesure. Grandiloquent et chaotique.
-Sin Nombre & Beasts of No Nation (2009 et 2015).
Même auteur, même démarche qui se refuse le misérabilisme et l'approche documentariste-vérité d'autres films de ce type. La mise en scène atmosphérique (très bien servi par la BO) ne dessert en rien le propos. Beaucoup d'humanité et de nuances dans ces portraits de peuples et d'individus qui se déchirent.
-Asura (2016) Le film qui a généré un cult-following en Corée au point que des tas de fans se font appeler "Asurians". Film de gangsters et politicards corrompus dans la grande tradition des films coréens du genre. Avec la folie en prime et l'excessif tous azimuts, le film est la quintessence de l’exutoire fantasmatique et transgressif d'une société coréenne bien sage et normée dans son quotidien.
-A Girl walks home alone at night (2014)
Pari audacieux de recréer une sorte de western vampirique perdu au fond d'un univers inconnu - à consonance iranienne. Destruction et retrouvailles sentimentales autour d'une figure dont le voile noire - vampirique - est perdue dans le dédale des codes de la société. Quelques scènes particulièrement magnifiques en termes de composition et de sensations. Un beau projet personnel.
-Men & Chicken (2015)
Fresque délirante, incongrue et caustique sur la monstruosité et/de la famille. Direction artistique de haute volée, interprétation au diapason. Excellent.
Et puis, quelques autres également :
-Suburra (2015)
-Tout en haut du monde (2016)
-Traque à Boston (2017)
-The Witch (2016)
-Anomalisa (2015)
-Leviathan (2014)
-Le juge (2014)
-Mc Laren (2017)
-Roaring current - The admiral (2014)
-New World (2013)
-Alleluia (2014)
-A perfect day (2015)
-Wakefield (2016)
- Coxwell
- Messages: 3912
- Inscription Forum: 19 Mar 2002 2:00
Fresh 1994 de Boaz Yakin, qui est surtout connu pour son scénario du Punisher version Dolph Lundgren .
J'ai du le voir la premiére fois a la fin des années 90 et il m'avait bien marqué , je l'ai revu il y a peu , ce film est toujours aussi bon, avec son jeune héro vendeur de drogue qui va jouer au échec avec des pièces humaine, si j'en dis plus je spoile le film .
Avec en guest star Samuel L. Jackson & Giancarlo Esposito.
J'ai du le voir la premiére fois a la fin des années 90 et il m'avait bien marqué , je l'ai revu il y a peu , ce film est toujours aussi bon, avec son jeune héro vendeur de drogue qui va jouer au échec avec des pièces humaine, si j'en dis plus je spoile le film .
Avec en guest star Samuel L. Jackson & Giancarlo Esposito.
- jhudson
- Messages: 14156
- Inscription Forum: 27 Mar 2006 15:52
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