Très bonne année 2017 à tous !
Santé, réussite dans tout ce que vous souhaitez et entreprendrez, bonheur(s). Ainsi que de très belles et nombreuses séances d'écoute de musique que vous ne manquerez pas de nous faire partager.
Au soleil, à la plage, à la neige, à table : très bonne première journée de janvier*.
André.
* le mode aléatoire du baladeur de la salle de bain m'a proposé Diana Krall (Love scenes) puis Patricia Barber (White world/Mythologies) pour débuter l'année. Dernier titre qui m'a évidemment fait immédiatement penser aux poèmes du monde blanc de l'écossais Kenneth White, dont évidemment - White world - :
That world of white trees look ; it is here before me
birch woodin frost, naked
present, alive and definite
only fire can write on such
ultimate fact, I ask fire
Fire to destroy and create
Fire to burn the inessential
Fire to write in this whiteness
Mais, surtout aux vers d'un autre poème tiré du même recueil :
Holding the highway, an upland man
singing loud in the barbary tongue
through the Winter to the early Spring
no false knowledge in the Brain
no contrivance in the heart
The hills are still the same remember
and the rivers and the winds
give yourself room for a real biginning
the man who works in a narrow space
builds no more than prison or grave.
Happy new Year !
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