En outre, sans les contraintes de prix de revient, de miniaturisation et de dissipation thermique, dont ne se soucient guère les audiophiles, je ne suis pas sûr que leur recherche aurait abouti au même type de circuits.
Tout dépend du point de vue, mais un ampli reste un ampli.
Ce que l'on remarque dans tous les domaines en électronique, c'est une diminution de la consommation électrique. Et l'on ne peut que saluer les efforts faits dans le domaines par les constructeurs de composants.
Dans beaucoup de domaines, des lois apparaissent pour fixer ces consommations. Il est fort à parier que la Hi-Fi sera aussi un jour soumise des réglementations.
Si l'on regarde chez TI, les circuits pour faire des amplis A et AB de haut niveaux sont obsolètes.
Ils ont sortis il y pas mal d'années déjà, une première version de FDA.
La seconde étant un petit retour en arrière en remettant une contre réaction et donc de l'analogique en interne.
Depuis, il existe l'un ou l'autre ampli avec DAC intégré et les derniers sortis en analogique avec entrées différentielles pouvant être attaquées par un DAC ayant lui des sorties différentielles.
Ce qui continuera certainement dans les développement, c'est toujours l'amélioration de la qualité des amplis classe-D avec toujours plus de rendement et de tailles plus petites.
Du non-PWM, pourquoi pas, mais peut-être beaucoup de complications pour pas grand chose. Il faut tout de même rappeler que cela fait bien longtemps que l'on sait faire des amplis dont les défauts sont presque négligeables par rapport aux défauts des HP.