bon....
c'est d'humeur batifoleuse que j'ai abordé cet Everest cinématographique après un bon repas concocté de mes petites mains.
pas mal d'arguments sur le papier en faveur de cette "oeuvre". et ces arguments tiennent sur une seule et meme personne: Sofia!
et puis la bande annonce est assez réjouissante pour qui aime les nanars de nos vidéos clubs, et dieu sais si le miens en regorge....
Fils se proposais de me soutenir dans la vision du film et en patientant j'ai ragardé le suplément...
et deja j'aurais du me mefier car on y vois la réalisatrice a l'oeuvre et, comment dire.....
bon, il en faut plus pour me decourager et c'est la poire bien en pogne que j'appuie sur play!
le debut est assez réjouissant quoique la whitherspoon soit horripilante d'emblée....ca flingue, sofia est resplendissante et en pleines formes, y a des stiletos pleines de strass, et c'est partis pour un road movie. sauf que rapidement j'ai une envie grandissante de tuer quelqu'un pour recouvrer mon etat mental tant la reese est mauvaise comme un cochon et horripilante. les tentatives de sofia n'y font rien et meme le gymic sur son age tombent a plat. accablé par tant de mediocrité, fils me lache a la moitie du film, juste apres un bon passage avec un redneck qui se flingue lui meme la main en tentant de se suicider devant tant de betise filmée. je reste, c'est dur mais je m'accroche...et je fait bien car l'avant derniere scene vaux le detour pour une sofia epoustouflante en robe du soir noir ains que la derniere pour une sofia en tenue orange de prisonniere qui semble cousue sur elle....
epuisé de mes 80 minutes de vision du néant, je file me coucher et vous me voyez rediger mon cr seulement maintenant, la faculté m'ayant ordonné de garder la chambre pour m'en remettre.