jhudson a écrit:Ce n'est pas ce qui manque les films en cinemascope et en N/B , par contre j'en ai jamais vu qui soit aussi en stéréo.
Le bal des maudits
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jhudson a écrit:Ce n'est pas ce qui manque les films en cinemascope et en N/B , par contre j'en ai jamais vu qui soit aussi en stéréo.
tupeutla a écrit:jhudson a écrit:Ce n'est pas ce qui manque les films en cinemascope et en N/B , par contre j'en ai jamais vu qui soit aussi en stéréo.
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Vrai tire-larmes, "Zaytoun" multiplie les séquences émotion et manie lourdement le symbole. Eran Riklis, dont on avait jadis apprécié la finesse, semble avoir décidé de vendre de l'humanisme en sirop. Dépolitisé jusqu'à la caricature, le récit devient creux.
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autrichon gris a écrit:menthalo a écrit:BILLY BUDD de Peter Ustinov (1962)
C'est la 1ère fois que je vois un film en format Cinemascope mais tourné en Noir et blanc
1er rôle je crois de l'acteur Terence Stamp incarnant le désarmant et naif matelot Billy Budd qui sera aux prises avec le Code de la Royal Navy en temps de guerre.
Le film est adapté de la pièce de théatre, elle-même tirée du roman d'Herman Melville.
Il trouve le ton juste entre scènes d'actions et l'étude psychologique des personnages.
Brillante étude de moeurs interprétée avec beaucoup de justesse par l'ensemble du casting
qui mérite un visionnage !
Terence Stamp... J'ai découvert ici son film "the collector" de 1965, un des films testament de William Wyler (qui était alsacien d'origine comme chacun sait), film assez effrayant finalement. Excellent acteur, so british !
jhudson a écrit:M le maudit en HD dans une version qui se veux complète de 111 Minutes sur Arte, ca sera rediffusé le vendredi 04.12 à 1h20
autrichon gris a écrit:M le Maudit est un chef-d'oeuvre de l'histoire du cinéma epicétou !
Peter Lorre est y visqueux comme jamais, formidable. 1932: une grande année pour Fritz Lang, qu'il complète avec le Testament du Dr Mabuse, film qui fiche encore la trouille aujourd'hui !
rann a écrit:
suffit de lire la critique des intellos de
télérama pour avoir envie de le voir ... ils n'ont pas compris que ce film n'avait rien de politique , juste symboliqueVrai tire-larmes, "Zaytoun" multiplie les séquences émotion et manie lourdement le symbole. Eran Riklis, dont on avait jadis apprécié la finesse, semble avoir décidé de vendre de l'humanisme en sirop. Dépolitisé jusqu'à la caricature, le récit devient creux.
les inrock
idem critique aussi intellectualisée
le film n'est d'ailleurs pas tire larme , juste ma femme mais elle pleure pour un rien
le retour de ses enfants par exemple ,qu'elle n'a pas vu depuis 10 ans, suffit à la faire pleurer
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autrichon gris a écrit:rann a écrit:
suffit de lire la critique des intellos de
télérama pour avoir envie de le voir ... ils n'ont pas compris que ce film n'avait rien de politique , juste symbolique
les inrock
idem critique aussi intellectualisée
le film n'est d'ailleurs pas tire larme , juste ma femme mais elle pleure pour un rien
le retour de ses enfants par exemple ,qu'elle n'a pas vu depuis 10 ans, suffit à la faire pleurer
De mon coté une critique qui se contente de raconter le film et de conclure par j'aime ou j'aime pas (genre Première si ça existe encore), ça m'intéresse pas.
On a la chance dans ce pays d'avoir les critiques de cinéma les plus pointus du monde, jusqu'à la caricature je l'admets, mais bon si on peut me citer un pays ou les critiques ont lancé un mouvement cinématographique à eux seuls, comme la Nouvelle Vague en France, (Truffaut...) ben qu'on me le dise.
Donc vive la critique intello.
autrichon gris a écrit:rann a écrit:
suffit de lire la critique des intellos de
télérama pour avoir envie de le voir ... ils n'ont pas compris que ce film n'avait rien de politique , juste symbolique
les inrock
idem critique aussi intellectualisée
le film n'est d'ailleurs pas tire larme , juste ma femme mais elle pleure pour un rien
le retour de ses enfants par exemple ,qu'elle n'a pas vu depuis 10 ans, suffit à la faire pleurer
De mon coté une critique qui se contente de raconter le film et de conclure par j'aime ou j'aime pas (genre Première si ça existe encore), ça m'intéresse pas.
On a la chance dans ce pays d'avoir les critiques de cinéma les plus pointus du monde, jusqu'à la caricature je l'admets, mais bon si on peut me citer un pays ou les critiques ont lancé un mouvement cinématographique à eux seuls, comme la Nouvelle Vague en France, (Truffaut...) ben qu'on me le dise.
Donc vive la critique intello.
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rann a écrit:autrichon gris a écrit:
De mon coté une critique qui se contente de raconter le film et de conclure par j'aime ou j'aime pas (genre Première si ça existe encore), ça m'intéresse pas.
On a la chance dans ce pays d'avoir les critiques de cinéma les plus pointus du monde, jusqu'à la caricature je l'admets, mais bon si on peut me citer un pays ou les critiques ont lancé un mouvement cinématographique à eux seuls, comme la Nouvelle Vague en France, (Truffaut...) ben qu'on me le dise.
Donc vive la critique intello.
Oui mais parfois à chercher les poux on passe à côté du film et on est un mauvais guide ce qui est contre-productif pour le cinéma du plus grand nombre
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autrichon gris a écrit:Ouf, jhudson tu balayes large dans tes derniers posts. Relax...
Je veux bien que tu critiques l'Histoire, mais bon elle est passée par la sans nous.
Truffaut est passé aux élèves dans les écoles de la République, Godard a réalisé 2 ou 3 des films les plus marquants du 20è siècle occidental selon à peu près tous les les critiques/classements/ouvrages du cinéma y compris US (au moins le Mépris et A bout de souffle) et Tavernier a une carrière qui le met hors d'atteinte de la critique...et même un Oscar. D'ailleurs très bon copain avec Scorcese parait il, Tavernier.
Alors, bon, c'est sur ils étaient un peu nombrilistes. C'est sur, les 60s en Occident c'était la révolution individualiste par excellence, le cinéma n'y a pas échappé.
Quelle soirée sur arte oui!
Le 2eme film Ministry of fear vaut aussi le détour pour les amateurs de films noir.
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