Hello
Tentative de réponses un peu en vrac .
J'apprécie le terme "fou" pour de bon!!
Je ne suis pas Thierry Martin, mais Thierry Nkaoua, tous mes articles sont signés, alors pas de raisons de se cacher.
Ton smsl et ton FX, ils avaient quoi en amont ?
Avec un DAC et un pré devant, ce n'est plus vraiment pareil.
Je ne prétends évidemment ni avoir la science infuse, ni des oreilles bioniques ou étalons. Les comparaisons sont faites à pièce/enceintes identiques, et correction active basée sur une mesure faite pour chaque matériel. Je pense que le matériel dans ma signature permet d'évaluer mes "attentes" et niveau d'exigences.
Après, chacun juge selon ses propres critères et attentes.
Avec le D802 ou le V200, la qualité du drive numérique en amont est cruciale. Mais c'est aussi vrai pour toute la "demat", en tous cas selon mon expérience, sans forcément comprendre le pourquoi du comment. Les choses m'ont vraiment "énervé" quand selon l'OS, le logiciel et le cable USB, les différences étaient énormes. Pas du genre "fusible audiophile"
L'Amethyste je m'en sers de la manière suivante.
Drive réseau UPNP avec un pont optique (isolation galvanique) sur son entrée ethernet RJ45
Serveur upnp Jriver ou Minimserver
Correction acoustique, correction réponse en fréquence "plate" avec augmentation des dB minimale (trop d'albums sont enregistrés proche de 0dB sans le headroom de 6 dB pourtant à peu près normé, et cela évite les distorsions numériques), correction de phase, correction en réponse impulsionnelle, "relocalisation 3D" des enceintes.
Bi amplification...sans aucun filtre, passive, l'ensemble du signal est envoyé aux deux amplis sur 2 sorties numériques spdif sur RCA (certainement pas optimal, on verra plus tard si des appareils avec entrée AES voient le jour)
Un d802 est branché sur les entrées basses des TAD, le second sur les entrées hautes.
Le volume est géré simultanément sur les 2 amplis par la même télécommande, c'est pas terrible, il faut se lever pour vérifier et corriger
Il n'y a pas de "conversion" DAC au sens classique. Conversion numérique spdif/PCM vers PWM suivie de l'amplification où les transistors fonctionnent en mode bloqué 0 ou plein pot, un filtre permettant in fine de générer le signal analogique vers les enceintes.
C'est du classe D "classique", mais où le signal n'a PAS d'abord été traité DA par un DAC en amont, suivi d'un AD en entrée des amplis classe D peut-être plus courants.
Si l'on part d'une piste numérique PCM, en jetant un coup d'oeil dans le rétroviseur, on peut se demander d'où vient la nécessité de repartir en analogique avant l'amplification.
Le fonctionnement de la Classe D étant tellement (tellement) proche de celui d'un DAC delta-sigma, décimation: PCM/PWM , transistors de puissance, puis filtre.
Amitiés