Keron a écrit:pas de hache dans l'avion :
....
Il y a longtemps que les avions ne chauffent plus au bois .
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Keron a écrit:pas de hache dans l'avion :
....
Robert64 a écrit:Joich a écrit::lol:
Êtes-vous un terroriste
...
Tu sais, sur la carte de débarquement que tu remplis quand tu vas aux US, la question y est bien.
A+
Keron a écrit:Question idiote.
Je comprends le principe de pouvoir condamner la porte de l'intérieur pour éviter à un terroriste d'obliger un membre d'équipage à donner le code.
Mais un gars qui veut vraiment faire ouvrir la porte ou planter l'appareil, ne doit pas manquer de moyens pour le faire ?
La technique de je tue un gars par min tant que la porte ne s'ouvre pas. Il va jouer avec les nerfs des pilotes.
Si la porte peut se défoncer à la hache (y'a une hache à bord et on fait chier les gens car on a un bonbon avec un bout d'alu autours au portique ????) le terroriste pourra entrer à un moment.
Pour faire planter un avion, on ouvre une porte de secours (si c'est possible en vol) ou on met le feu à bord dans les toilettes avec un court jus.
C'est assez étrange comme procédure. On fait en sorte qu'il y ai bien deux pilotes à bord au cas où un soit HS. Idem des repas qui ne sont jamais les mêmes. Et on laisse la possibilité pour qu'à un moment un pilote puisse se retrouver seul et bloqué dans la cabine. Il y a un trou dans la raquette là
Robert64 a écrit:Que celui qui n'est jamais resté comme un c... en dehors de sa voiture à cause d'une panne de commande centralisée lève le doigt .
jat.gab a écrit:Sinon en passant par la soute à bagage, y'a une petite trappe qui donne dans le cockpit , j'ai vu ça dans je sais plus quel film, mais bon faut pas trop l'ébruiter non plus... Si un terroriste me lit...
Robert64 a écrit:Keron a écrit:Question idiote.
Je comprends le principe de pouvoir condamner la porte de l'intérieur pour éviter à un terroriste d'obliger un membre d'équipage à donner le code.
Mais un gars qui veut vraiment faire ouvrir la porte ou planter l'appareil, ne doit pas manquer de moyens pour le faire ?
La technique de je tue un gars par min tant que la porte ne s'ouvre pas. Il va jouer avec les nerfs des pilotes.
Si la porte peut se défoncer à la hache (y'a une hache à bord et on fait chier les gens car on a un bonbon avec un bout d'alu autours au portique ????) le terroriste pourra entrer à un moment.
Pour faire planter un avion, on ouvre une porte de secours (si c'est possible en vol) ou on met le feu à bord dans les toilettes avec un court jus.
C'est assez étrange comme procédure. On fait en sorte qu'il y ai bien deux pilotes à bord au cas où un soit HS. Idem des repas qui ne sont jamais les mêmes. Et on laisse la possibilité pour qu'à un moment un pilote puisse se retrouver seul et bloqué dans la cabine. Il y a un trou dans la raquette là
Ce genre de mesure a été mise place sur les avions d' El Al, bien avant le 11 septembre (eux c'était Septembre Noir )
Et le problème qui c'est produit est marrant (car ça s'est bien terminé)
Suite à de nombreux détournements des palestiniens , la compagnie El Al a blindé les portes et fait en sorte que les passagers ne puissent plus accéder au poste.
Un passager ayant vu quelquechose qui lui paraissait anormal, l'hotesse appelle le cdb, qui envoie le co pilote voir ce dont il s'agit.
Le gars, perplexe ou qui ne veut pas se mouiller, demande l'avis du cdb qui quitte son cockpit et vient voir, en laissant la porte entre ouverte.
Finalement, rien d'inquiétant et ils retournent en direction de leur place. Et ce devait arriver arrive: une petite turbulence et la porte claque!
Heureusement, il y avait une hache et ils ont entrepris devant les passagers un peu inquiets de défoncer la porte.
Ils ont galéré un bon moment et y sont enfin parvenus.
Depuis, je pense que le système a été perfectionné.
A+
Chez Lufthansa, la maison-mère de Germanwings, on confirme que l'ouverture de la porte du cockpit est commandée par un code et que son déverrouillage ne peut cependant être "autorisé que de l'intérieur du cockpit en appuyant sur un bouton."
TELLOUCK a écrit:
A sa décharge, nous voulons des infos le plus rapidement possible et pas evident de tout vérifier avant de faire la moindre annonce.adpcol a écrit:
Sauf que lui il bosse pas pour BFM ou I-Tele ...
Phil
syber a écrit:
Je n'y connais rien en suicide, mais tout de même qu'elle étrange idée de se suicider en emmenant 150 personnes avec soi. Il me semble que dans ce cas de figure, en plus du suicide qui est me semble t-il une affaire personnelle, on veut faire part d'une revendication quelle qu'elle soit. Conjectures de ma part.
Amok (ethnologie)
L'amok désigne un comportement meurtrier, toujours individuel, observé en de nombreux endroits du monde par l'ethnographie, puis théorisé à partir de sa forme institutionnalisée en Malaisie.
Ethnologie : définition et causes
L'amok est le fait d'une personne agissant seule. C'est un accès subit de violence meurtrière qui prend fin par la mise à mort de l'individu après que ce dernier a lui-même atteint un nombre plus ou moins considérable de personnes. Cette forme de l'amok observée par des voyageurs et des ethnologues notamment en Malaisie, Inde, Philippines, Polynésie, Terre de feu, Caraïbes, Région arctique ou Sibérie est un comportement exclusivement masculin.
Si les causes du déclenchement sont socialement déterminées et de l'ordre des frustrations importantes (humiliations, échecs en publics) induisant un désir de vengeance, le mécanisme est celui de la décompensation brutale. Parfois simplement qualifiée de « folie meurtrière », la course d'amok est assimilée à une forme de suicide. Bien qu'elle soit ordinairement perpétrée à l'arme blanche dans les sociétés traditionnelles, on peut en trouver un équivalent dans le monde contemporain avec certaines des tueries massives par arme à feu perpétrées par un individu seul, s'achevant par sa capture ou sa mort concrète parfois même auto-administrée, ou bien par sa mort sociale volontaire quand l'auteur de la tuerie se rend à la justice pour y être condamné ce qui dans certains cas le conduit à l'exécution. Le schéma central est alors similaire : forme de suicide accompagnée d'une libération des pulsions homicides.
On trouve également le récit de décompensations correspondant à cette définition, dans des journaux personnels rédigés par des soldats dans les tranchées lors de la Grande Guerre. Dans de telles scènes l'auteur raconte comment un de ses camarades, de façon imprévisible, se dirige seul spontanément jusqu'à la tranchée ennemie dans l'intention d'en finir lui-même tout en supprimant autant d'ennemis qu'il lui sera possible. En correspondance avec la typologie des suicides établie par Durkheim, cette forme de la décompensation sous contrainte d'engagement patriotique est au comportement criminel ce que le suicide altruiste ou fataliste est au suicide égoïste.
Étymologie
Introduit dans la langue française vers 1830, le terme « amok » provient du mot malais amuk qui signifie « rage incontrôlable » pouvant désigner aussi bien la personne atteinte que l'accès lui-même.
Le mot a été utilisé par les Britanniques pour décrire un comportement meurtrier sans discernement. Il a ensuite été utilisé en Inde pendant l'Empire britannique, pour décrire un éléphant devenu incontrôlable et causant des dégâts importants dans sa fureur. Le mot a été rendu populaire par les récits coloniaux de Rudyard Kipling. Mais il est aussi usuellement utilisé en anglais pour désigner les comportements animaux insensés et destructeurs, même ceux des animaux domestiques. Le mot est toujours usité aujourd'hui, dans l'expression "to run amok", décrivant de manière plus large un comportement ou une situation devenant hors de contrôle.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Amok_%28ethnologie%29
Denis31 a écrit:J'ai l'impression que c'est pas exactement ça.
Ils ont montré hier soir au journal un simu A320; Il y a dans le cockpit un bouton 3 positions fixes:
- unlock: la porte n'est pas verrouillée
- normal: la porte est verrouillée mais s'ouvre avec le code, a priori sans action de l’intérieur -> ça doit être la position nominale pendant un vol (j'imagine...)
- lock: la porte est verrouillée pour de bon -> le copil a du pousser le bouton sur cette position.
Robert64 a écrit:
@bpm92
Tout à fait d'accord. Mais il aurait du employer le conditionnel et émettre beaucoup de réserves. Il n'y a pas de déshonneur à dire qu'on ne sait pas.
Robert64 a écrit:
Les gens (ou les média) veulent des certitudes? Aujourd'hui, il n'y en a pas.
Faudra attendre les conclusions des enquêteurs.
A+
Robert64 a écrit:
Ou le bouton était en position "normal" et le système de codage a merdé. ça plante jamais l'info ?
D'ailleurs s'il passe par ici un expert, je serais curieux de savoir avec quel niveau de sécurité c'est codé, ce genre de fonction.
A+
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