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Lecteurs Blu-Ray
[BD_3D] [upscal 4K] Pioneer BDP-LX88
c'est une blague ce podcast ou quoi ? pourquoi les voix sont-elle pitchées dans l'aigu ? bref, très pénible à écouter. j'avoue que j'aimerais savoir à quel endroit on parle du LX88 dans ce podcast parce que 1h13 de voix façon Bugs Bunny, c'est sans moi...
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Hi-Fi: Marantz SA-14S1 SE - ampli Denon PMA-2000AE - HP Davis Cesar
HC: blu-ray Panasonic UB820 - VP Optoma UHZ65 / Optoma HD143X (3D) + écran Vividstorm Obsidian 100"- ampli Marantz SR6014 - HP Davis Cesar (5.0) + Dali Alteco x2 (Atmos)
- misterme
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C'est à partir de 55:40.
Par contre, désolé d'apprendre que tu trouves le son naze. Perso, dans mon casque, ça marche plutôt bien
Par contre, désolé d'apprendre que tu trouves le son naze. Perso, dans mon casque, ça marche plutôt bien
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SnipizZ - Membre d'Honneur
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Oui moi aussi, pas de problème de son.
- fredz1432
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- wool
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Et on apprends quelque chose dans ce podcast, ou rien de plus que les annonces officielles ?
- Frenshprince
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Frenshprince a écrit:Et on apprends quelque chose dans ce podcast, ou rien de plus que les annonces officielles ?
Pas beaucoup plus. On fait un brin d'historique et on rappelle les éléments importants du produit.
Mais c'est la suite qui est intéressante, puisque on parle du bluray 4k (celui qu'on attend tous ^^) et qui se fait attendre...
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SnipizZ - Membre d'Honneur
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- Inscription Forum: 04 Déc 2005 13:07
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En fait, l'ordi sur lequel j'ai voulu lire le podcast hier m'a sorti un son avec des voix dont le timbre était modifié d'une à deux octaves dans l'aigu. Je pensais qu'il avait été enregistré comme ça. Ce matin à la maison je ré-écoute et les voix sont normales. Donc le problème venait de l'ordi de mon boulot. Désolé donc d'avoir mis en doute la qualité de l’enregistrement, je ne sais pas ce qu'il s'est passé...
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- misterme
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misterme a écrit:En fait, l'ordi sur lequel j'ai voulu lire le podcast hier m'a sorti un son avec des voix dont le timbre était modifié d'une à deux octaves dans l'aigu. Je pensais qu'il avait été enregistré comme ça. Ce matin à la maison je ré-écoute et les voix sont normales. Donc le problème venait de l'ordi de mon boulot. Désolé donc d'avoir mis en doute la qualité de l’enregistrement, je ne sais pas ce qu'il s'est passé...
Pas de souci, bien au contraire, tu me rassures là
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SnipizZ - Membre d'Honneur
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- Inscription Forum: 04 Déc 2005 13:07
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merci en tout cas pour le podcast qui permet de se rendre compte que ce LX88 restera probablement une valeur sûre un certain temps, vu que les futurs lecteurs 4K de qualité et probants semblent encore très loin d'arriver dans nos salons...
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- misterme
- Membre HCFR
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- Inscription Forum: 06 Sep 2007 13:20
- Localisation: Val d'Oise
L’âge d’or du home cinéma parait bien loin quand on arpente les rayons des magasins dits spécialisés. Bien sûr certaines boutiques indépendantes réputées continuent à servir de références mais elles sont de moins en moins nombreuses et nous n’avons pas tous la chance d’habiter à côté.
Bien sur la crise est passée par là, la vente sur le net aussi mais je ne pense pas que les consommateurs et la frange des passionnés se soient détournés uniquement pour ces deux raisons. Je pense aussi que l’évolution technologique n’a cessé de perdre les homecinéphiles tout au long du chemin. Petit coup d’œil dans le rétro. Au milieu des années 90 avec l’arrivée des magnétoscopes hifi stéréo et des premiers amplis dolby prologic, toute une génération de cinéphiles découvrait le plaisir du « cinéma à domicile ». Beaucoup rêvaient du laserdisc mais ce fut l’avènement du DVD qui fut un formidable catalyseur de ce nouveau loisir. L’arrivée de la vidéo en numérique bouscula les habitudes comme le CD supplanta le vinyle. Dans le cas du home cinéma, le DVD fut une révolution immédiate tant le réel gain qualitatif vidéo et audio sut convaincre la planète entière. Derrière cette locomotive se sont accrochés des wagons d’amplificateurs, d’enceintes puis d’écrans avec la seconde révolution de cet univers, celle des écrans plats. Ainsi l’expérience cinéma à domicile est devenue toujours plus immersive. Les revues spécialisées se sont multipliées et les marques ont rivalisé de produits avec des gammes structurées et lisibles jusqu’à ce que les grandes enseignes et la grande distribution s’en mêlent. Les rayons ont vu fleurir des solutions tout en un peu cher et tout aussi peu performante dont l’effet à moyen terme fut double, décevoir les consommateurs de ce concept du home cinéma et détourner les marques d’électroniques du marché de moyen de gamme pour se recentrer sur le bas de gamme peu performant vendu en masse et le très haut de gamme élitiste.
En parallèle de cette mauvaise stratégie qui consistait à générer du volume de vente à court terme, le développement d’internet et l’accélération de la dématerialisation des supports ont englouti les repères et les fondamentaux des premiers homecinéphiles. Bien sur la gabegie du piratage avec l’hypocrisie qu’ainsi l’accès au contenu devenait gratuit a favorisé l’émergence de format audio et vidéo de moins bonne qualité détournant aussi les gens de l’intérêt d’avoir du matériel de qualité pour consommer du support dégradé. Peu importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse. Ce n’est pas le passage de la SD à la HD qui a permis de corriger le tir, le public se contente toujours majoritairement de la SD et la stratégie des industriels d’utiliser la taille des fichiers HD pour freiner le piratage et encourager la VOD n’a pas encore porté ses fruits, si ce n’est de réduire l’offre des produits électroniques home cinéma à des lecteurs informatiques multitâches reliés à des écrans au rendu parfois hasardeux.
Les gadgets comme la 3D, la multiplication des canaux (et des enceintes) et maintenant le dolby atmos sont des artifices pour tenir à bouts de bras un marché de l’électronique qui peine à retrouver de l’intérêt auprès du public. D’ailleurs le nombre de titres de la presse spécialisée a fondu, n’importe quel forumeur se transformant désormais en journaliste essayeur. En ça, la disparition de titre comme La Nouvelle Revue de l’Image et du Son est symptomatique d’une substitution de l’informatique en lieu et place d’électroniques dédiées décortiquées par des journalistes compétents et passionnés. Les appareils dédiés ont laissé place à la quête d’une forme de Graal qui serait un couteau Suisse du multimédia miniature et hyperconnecté, une véritable tour de contrôle qui parle toutes les langues informatiques et partagent sur tous les écrans de la famille toute forme de contenu. Certains appellent ça le progrès, d’autres la convergence des médias, peut être s’en trouvent-ils comme moi, qui observent cette évolution avec mélancolie et la nostalgie de l’époque où nous allions rêver devant les électroniques et discuter avec les revendeurs dans les boutiques proches de chez nous. Le Home cinéma est redevenu ce qu’il était il y a 20 ans, un marché de niche. Pourrait-il s’inspirer de l’équilibre trouvé par la Hifi entre son conservatisme et son adoption maîtrisée et mesurée des nouvelles technologies ? J’en doute car le home cinéma ne semble pas disposer de gardiens de « l’esprit du temple » comme la hifi plus ancienne. Il aurait fallu que les majors soignent davantage leurs contenus en les vendant à un prix plus raisonnable. Ainsi, avec une image de qualité et un encodage audio performant, l’installation d’enceintes, d’amplis, de lecteurs et de câbles dans une pièce à vivre aurait trouvé un sens. Un bon 5.1 aurait valu tous les médiocres 7, 9 ou maintenant 11. quelque chose.
Aujourd’hui, le public regarde une grande image pas toujours de qualité avec un son souvent plus mauvais que du temps des tubes cathodiques ou de la simple stéréo. On nous parle 4K, cloud et Netflix, le tout sur notre smartphone dernière génération en wifi ou 4g…Réels faux progrès ou vrais arguments marketing ? C’est peut être en ça que la LX-91 a su représenter depuis cinq ans, un vestige de l’état d’esprit des passionnés, qui résistent et conservent soigneusement leurs galettes et leurs matériels performants sans laisser forcément le vent du discours creux des fabricants souffler dans les voiles de leur bon sens. En tout cas, il est loin le temps où nous guettions la sortie du DVD Matrix dans les linéaires d’une FNAC, c’était en 1999, dans le précédent millénaire…
Bien sur la crise est passée par là, la vente sur le net aussi mais je ne pense pas que les consommateurs et la frange des passionnés se soient détournés uniquement pour ces deux raisons. Je pense aussi que l’évolution technologique n’a cessé de perdre les homecinéphiles tout au long du chemin. Petit coup d’œil dans le rétro. Au milieu des années 90 avec l’arrivée des magnétoscopes hifi stéréo et des premiers amplis dolby prologic, toute une génération de cinéphiles découvrait le plaisir du « cinéma à domicile ». Beaucoup rêvaient du laserdisc mais ce fut l’avènement du DVD qui fut un formidable catalyseur de ce nouveau loisir. L’arrivée de la vidéo en numérique bouscula les habitudes comme le CD supplanta le vinyle. Dans le cas du home cinéma, le DVD fut une révolution immédiate tant le réel gain qualitatif vidéo et audio sut convaincre la planète entière. Derrière cette locomotive se sont accrochés des wagons d’amplificateurs, d’enceintes puis d’écrans avec la seconde révolution de cet univers, celle des écrans plats. Ainsi l’expérience cinéma à domicile est devenue toujours plus immersive. Les revues spécialisées se sont multipliées et les marques ont rivalisé de produits avec des gammes structurées et lisibles jusqu’à ce que les grandes enseignes et la grande distribution s’en mêlent. Les rayons ont vu fleurir des solutions tout en un peu cher et tout aussi peu performante dont l’effet à moyen terme fut double, décevoir les consommateurs de ce concept du home cinéma et détourner les marques d’électroniques du marché de moyen de gamme pour se recentrer sur le bas de gamme peu performant vendu en masse et le très haut de gamme élitiste.
En parallèle de cette mauvaise stratégie qui consistait à générer du volume de vente à court terme, le développement d’internet et l’accélération de la dématerialisation des supports ont englouti les repères et les fondamentaux des premiers homecinéphiles. Bien sur la gabegie du piratage avec l’hypocrisie qu’ainsi l’accès au contenu devenait gratuit a favorisé l’émergence de format audio et vidéo de moins bonne qualité détournant aussi les gens de l’intérêt d’avoir du matériel de qualité pour consommer du support dégradé. Peu importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse. Ce n’est pas le passage de la SD à la HD qui a permis de corriger le tir, le public se contente toujours majoritairement de la SD et la stratégie des industriels d’utiliser la taille des fichiers HD pour freiner le piratage et encourager la VOD n’a pas encore porté ses fruits, si ce n’est de réduire l’offre des produits électroniques home cinéma à des lecteurs informatiques multitâches reliés à des écrans au rendu parfois hasardeux.
Les gadgets comme la 3D, la multiplication des canaux (et des enceintes) et maintenant le dolby atmos sont des artifices pour tenir à bouts de bras un marché de l’électronique qui peine à retrouver de l’intérêt auprès du public. D’ailleurs le nombre de titres de la presse spécialisée a fondu, n’importe quel forumeur se transformant désormais en journaliste essayeur. En ça, la disparition de titre comme La Nouvelle Revue de l’Image et du Son est symptomatique d’une substitution de l’informatique en lieu et place d’électroniques dédiées décortiquées par des journalistes compétents et passionnés. Les appareils dédiés ont laissé place à la quête d’une forme de Graal qui serait un couteau Suisse du multimédia miniature et hyperconnecté, une véritable tour de contrôle qui parle toutes les langues informatiques et partagent sur tous les écrans de la famille toute forme de contenu. Certains appellent ça le progrès, d’autres la convergence des médias, peut être s’en trouvent-ils comme moi, qui observent cette évolution avec mélancolie et la nostalgie de l’époque où nous allions rêver devant les électroniques et discuter avec les revendeurs dans les boutiques proches de chez nous. Le Home cinéma est redevenu ce qu’il était il y a 20 ans, un marché de niche. Pourrait-il s’inspirer de l’équilibre trouvé par la Hifi entre son conservatisme et son adoption maîtrisée et mesurée des nouvelles technologies ? J’en doute car le home cinéma ne semble pas disposer de gardiens de « l’esprit du temple » comme la hifi plus ancienne. Il aurait fallu que les majors soignent davantage leurs contenus en les vendant à un prix plus raisonnable. Ainsi, avec une image de qualité et un encodage audio performant, l’installation d’enceintes, d’amplis, de lecteurs et de câbles dans une pièce à vivre aurait trouvé un sens. Un bon 5.1 aurait valu tous les médiocres 7, 9 ou maintenant 11. quelque chose.
Aujourd’hui, le public regarde une grande image pas toujours de qualité avec un son souvent plus mauvais que du temps des tubes cathodiques ou de la simple stéréo. On nous parle 4K, cloud et Netflix, le tout sur notre smartphone dernière génération en wifi ou 4g…Réels faux progrès ou vrais arguments marketing ? C’est peut être en ça que la LX-91 a su représenter depuis cinq ans, un vestige de l’état d’esprit des passionnés, qui résistent et conservent soigneusement leurs galettes et leurs matériels performants sans laisser forcément le vent du discours creux des fabricants souffler dans les voiles de leur bon sens. En tout cas, il est loin le temps où nous guettions la sortie du DVD Matrix dans les linéaires d’une FNAC, c’était en 1999, dans le précédent millénaire…
- precigou
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J'aimerais bien te lire, mais il me faudra quelques séparations entre les (petits) paragraphes pour y arriver.
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SYLEX - Membre HCFR Contributeur
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Le cyclisme n'a vu aucune évolution technique réelle durant 1 siècle, jusqu'à ce que le triathlon n'arrive... En HiFi, il reste effectivement beaucoup de réfractaires aux bonnes pratiques* introduites par le HC. Mais on peut quand même espérer que la HiFi progresse, non ?precigou a écrit:Le Home cinéma est redevenu ce qu’il était il y a 20 ans, un marché de niche. Pourrait-il s’inspirer de l’équilibre trouvé par la Hifi entre son conservatisme et son adoption maîtrisée et mesurée des nouvelles technologies ? J’en doute car le home cinéma ne semble pas disposer de gardiens de « l’esprit du temple » comme la hifi plus ancienne.
* Traitement acoustique passif, correction acoustique active, filtrage actif, utilisation de caissons de basse, dématérialisation, etc.
Disons que j'ai mis un mode "Provoc On". Mais même pas vraiment...
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SYLEX - Membre HCFR Contributeur
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Très bonne analyse
- Frenshprince
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Pour moi la 3D et le dolby atmos ne sont pas des artifices mais une évolution logique comme l'ont été l'apparition de la couleur et du parlant.
Le problème pour moi de ces évolutions, est qu'elles n'arrivent pas forcément dans le bon ordre. Par exemple, ils n'auraient jamais dû sortir la 3D avant de trouver comment la voir sans lunettes.
Vouloir implanter aujourd'hui le 4K, c'est mettre la charrue avant les bœufs. On veut plutôt des images aux mouvements fluides qui trancheraient avec le bon vieux 24 (ou 25 ou 30) images par seconde. ça, on ne sait toujours pas le faire. On voudrait des vidéoprojecteurs avec des noirs, des contrastes parfaits et 100% silencieux. ça, on ne sait toujours pas le faire. Alors on mise tout sur la résolution. C'est à mon avis une erreur.
Un BDP-LX88 qui miserait sur ce qu'on sait déjà faire correctement ? Oui, au fond, l'idée me séduit (il est urgent d'attendre). Mais la bécane a intérêt à sortir le grand jeu...
Le problème pour moi de ces évolutions, est qu'elles n'arrivent pas forcément dans le bon ordre. Par exemple, ils n'auraient jamais dû sortir la 3D avant de trouver comment la voir sans lunettes.
Vouloir implanter aujourd'hui le 4K, c'est mettre la charrue avant les bœufs. On veut plutôt des images aux mouvements fluides qui trancheraient avec le bon vieux 24 (ou 25 ou 30) images par seconde. ça, on ne sait toujours pas le faire. On voudrait des vidéoprojecteurs avec des noirs, des contrastes parfaits et 100% silencieux. ça, on ne sait toujours pas le faire. Alors on mise tout sur la résolution. C'est à mon avis une erreur.
Un BDP-LX88 qui miserait sur ce qu'on sait déjà faire correctement ? Oui, au fond, l'idée me séduit (il est urgent d'attendre). Mais la bécane a intérêt à sortir le grand jeu...
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- misterme
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Moi je ne suis pas convaincu que Pioneer ait encore la "force" technique et marketing pour sortir le grand jeu... Pas plus qu'une autre marque d'ailleurs ! Ca donne l'impression d'un gros et ultime chalenge pour eux... de prendre le marché du HDG et d'OPPO... Mais la crise est là et qui va dépenser 1.490€ juste pour voir ? Quelques uns quand même car la crise n'est pas pour tout le monde... mais de là à viser un mass market avec cette platine... Il ont en effet intérêt à ne pas se louper et à l'avoir réussi cette platine, si non elle va vitre rejoindre les KURO... au cimetière des éléphants.
SYLEX, je kiff ton mode "Provoc On" tout en finesse comme tu sais le faire, je suis adepte également !
PS: Je suis assez d'accord avec Precigou, en résumé et pour faire plus court , il y a une telle fuite en avant des nouveautés parfois inutiles, que l'on n'arrive même plus à apprécier ce que l'on possède déjà !
SYLEX, je kiff ton mode "Provoc On" tout en finesse comme tu sais le faire, je suis adepte également !
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Solitaire555 - Membre HCFR
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