syber a écrit:Je comprends donc que la cabine et la soute seraient des volumes non étanches l'un par rapport à l'autre et que l'on ne peux pas dépressuriser la seule soute ?
oui exactement.
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syber a écrit:Je comprends donc que la cabine et la soute seraient des volumes non étanches l'un par rapport à l'autre et que l'on ne peux pas dépressuriser la seule soute ?
tfpsly a écrit:
Il y a une chose de bizarre avec les théories du suicide : pourquoi faire tout ce détour, alors qu'il suffit de plonger plein pot?
Avion de Malaysia Airlines disparu : une technique de recherche inédite employée
La découverte du crash de l'avion a été rendue possible par l'utilisation par les experts britanniques d'une toute nouvelle méthode de calcul, basée sur une série de bips recueillie par le satellite Inmarsat. Cette méthode inédite a permis de déterminer que l'avion se situait au large de Perth (Australie), à la limite de ce que ses réserves de carburant permettaient.
Source : RTL - 25/03/2014
Les recherches pour tenter de retrouver l'épave de l'avion ont été suspendues ce mardi du fait de mauvaises conditions météorologiques.
Source : 7sur7.be - 25/03/14
Les quarantièmes rugissants (Roaring Forties en anglais) est le nom qui a été donné par les marins aux latitudes situées entre les 40e et 50e parallèles dans l'hémisphère Sud, appelées ainsi en raison des vents forts établis, venant majoritairement de l'ouest. Parce qu'il y a moins de masses de terre pour casser la mer et les ralentir, les vents sont particulièrement violents et la mer formée, notamment dans le sud de l'océan Indien, qui est aujourd'hui inclus dans ce qui est connu comme l'océan Austral.
syber a écrit:Ecoute, franchement j'osais pas émettre cette hypothèse car tu as certifié que le cockpit était inexpugnable si les pilotes le décident, mais pour moi ça tombait sous le sens.
De deux choses l'une, un suicide ne dure pas 7 heures*. En 7 heures de vol d'une part, le candidat au suicide fini par cogiter et quand on cogite, on hésite. D'autre part, les passagers ne vont pas rester assis à regarder la porte, il vont au moins faire un barouf d'enfer qui va encore plus faire cogiter le pilote, voire ils vont finir par ouvrir la porte du cokpit et reprendre le contrôle de l'avion (qu'en faire si il n'y a pas de pilote parmi les passagers ?). Sauf si ils sont tous morts durant les 7 heures finales du vol.
Si le candidat au suicide cogite et hésite pouf finalement aire plonger son zinc dans l'eau, c'est peut-être par remord d'avoir mourru 250 personnes.
La question est donc : si il s'agit d'un suicide d'un des deux pilotes, comment fait-il pour tuer l'ensemble des personnes embarquées ? Ou a tout le moins car je ne voudrais pas te mettre dans la position de devoir révéler des "trucs" de pros , est-ce possible ?
Sur la Sabena, il aurait suffit de dire que c'était journée portes ouvertes
* je précise que je suis aussi compétent en suicide que je ne le suis en pilotage de Boeing, alors ne prenez pas mes déductions au pied de la lettre
Talon Karrde a écrit:la montée à 45000 pieds est difficile à expliquer :
- pour étouffer un feu cabine en dépressurisant , ca va pas avoir beaucoup plus d'efficacité qu'à 41000 pieds et c'est un peu loufoque comme méthode
La configuration dans mon profil
Juju320 a écrit:
Malgré tout, je trouve ça toujours trop théorique pour être réalisé ! Peut-être qu'à une autre époque ou bien sur d'autres avions (que des avions de ligne), certains ont tenté une telle manoeuvre, mais personnellement je la trouve toujours "counter-airmanship" et plus proche du scénario d'un téléfilm américain ! Je me trompe peut-être...
Juju320 a écrit:
Autre chose, les masques oxygène des pax fournissent un mélange d'oxygène et d'air de la cabine (leur role est de pallier à une dépressurisation : oxygène de subsistance) et donc si la fumée s'est propagée dans la cabine, cela ne les empêchera pas d'être intoxiqués... raison de plus qui fait que je ne crois vraiment pas à cette hypothèse "d'étouffement du feu"
Talon Karrde a écrit:
la montée à 45000 pieds est difficile à expliquer :
- pour étouffer un feu cabine en dépressurisant , ca va pas avoir beaucoup plus d'efficacité qu'à 41000 pieds et c'est un peu loufoque comme méthode .
bref là c'est bizarre à part une reprise en manuel d'un des deux pilotes avec "freeze" du cerveau jusqu'à ce qu'il réalise sa connerie . et la redescente à 23000 pieds ensuite pas mieux à moins d'avoir besoin de rallumer un moteur ou d'un support elec-bleed de l'apu mais là je ne connais pas les limitations du 777 dans ce domaine.
bpm92 a écrit:
Toujours officieusement (...) Les changements d'altitude constatés pourraient être dû à une erreur lors de la reprise des commandes de l'appareil... ( vs pilotage automatique )
Radar signals recorded by the Malaysian military appeared to show that the missing airliner climbed to 45,000 feet, above the approved altitude limit for a Boeing 777-200, soon after it disappeared from civilian radar and turned sharply to the west, according to a preliminary assessment by a person familiar with the data.
The radar track, which the Malaysian government has not released but says it has provided to the United States and China, showed that the plane then descended unevenly to 23,000 feet, below normal cruising levels, as it approached the densely populated island of Penang.
There, officials believe, the plane turned from a southwest-bound course, climbed to a higher altitude and flew northwest over the Strait of Malacca toward the Indian Ocean.
http://www.nytimes.com/2014/03/15/world ... .html?_r=1
A partir de 02 h 15
Un avion, inconnu dans un premier temps puis identifié comme étant le vol MH370, volant vers l'ouest (Pékin se situe au nord-est), est détecté par les radars militaires malaisiens. Il monte à 45 000 pieds (plus de 13,7 km), au-delà de ce qui est recommandé pour un Boeing 777, puis descend de manière irrégulière à 23 000 pieds (7 km) et se met à survoler l'océan Indien.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/ar ... _3216.html
bpm92 a écrit:Juju320 a écrit:
Malgré tout, je trouve ça toujours trop théorique pour être réalisé ! Peut-être qu'à une autre époque ou bien sur d'autres avions (que des avions de ligne), certains ont tenté une telle manoeuvre, mais personnellement je la trouve toujours "counter-airmanship" et plus proche du scénario d'un téléfilm américain ! Je me trompe peut-être...Juju320 a écrit:
Autre chose, les masques oxygène des pax fournissent un mélange d'oxygène et d'air de la cabine (leur role est de pallier à une dépressurisation : oxygène de subsistance) et donc si la fumée s'est propagée dans la cabine, cela ne les empêchera pas d'être intoxiqués... raison de plus qui fait que je ne crois vraiment pas à cette hypothèse "d'étouffement du feu"Talon Karrde a écrit:
la montée à 45000 pieds est difficile à expliquer :
- pour étouffer un feu cabine en dépressurisant , ca va pas avoir beaucoup plus d'efficacité qu'à 41000 pieds et c'est un peu loufoque comme méthode .
bref là c'est bizarre à part une reprise en manuel d'un des deux pilotes avec "freeze" du cerveau jusqu'à ce qu'il réalise sa connerie . et la redescente à 23000 pieds ensuite pas mieux à moins d'avoir besoin de rallumer un moteur ou d'un support elec-bleed de l'apu mais là je ne connais pas les limitations du 777 dans ce domaine.bpm92 a écrit:
Toujours officieusement (...) Les changements d'altitude constatés pourraient être dû à une erreur lors de la reprise des commandes de l'appareil... ( vs pilotage automatique )
La configuration dans mon profil
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