► CRITIQUES des derniers films vus

[alcatol]

LES FLINGUEUSES (THE HEAT BD)

Synopsis : Une agent du FBI, imbuvable quarantenaire célibataire, un poil psychorigide, doit pour gagner une promotion dénouer une affaire crapuleuse avec l'aide d'une inspectrice de police, qui se révèle son exact opposé : TRES familière, bonne vivante, débrouillarde en diable ... Le clash est inévitable, mais l'affaire qui dégénère en vient à impliquer les proches : Il faut agir !

Pas si mal : Sandra Bullock se débrouille plutôt bien dans ce rôle taillé pour elle, et on sourit souvent devant les nombreuses situations burlesques, bien appuyées par un language (Version originale ST obligatoire !) plutôt fleuri ... Au final un assez bon moment de détente, même si le scénario, la construction et le dénouement ne sont pas originaux en diable.

12/20

[Salvor Hardin]

Last passenger : Canal+ hd

Suspens sans grande prétention mais sans grands attraits

8/20

[tupeutla]

Mon oncle d'Amérique, hier soir sur Arte.

Excellent "docu-film" qui fait exploser le talent et l'originalité de feu Alain Resnais.

[Salvor Hardin]

The GranMaster : canal+ hd

Pour les fans d'arts martiaux, très belle esthétique, quelques beaux combats et une histoire....

10/20

[marck5]

LA BELLE ET LA BETE

une reprise de la belle et la bete joliment contée qui montre une fois de plus la qualité narrative de gans.l'approche de l'auteur fait montre d'une belle ambition sur la forme autant que sur le fond et il est bien dommage que gans n'ait pas reussit à trouver l'alchimie qui aurait transcendé ce tout qui etait fort interessant.sa tentative de lien entre le passé de la bete et la psychée de belle pour tisser les emotions etait une fort belle approche amenant parfois au porte de la magie mais si timidement que l'on se prend à rever à ce qui aurait pu exister au bout de cette voie pas assez explorée.

7/10

[marck5]

revu recemment the grandmaster,cette fois ci version 130 mn.
que dire sinon que la poesie de l'ensemble pour toucher l'essence de l'art martial art de vie est captivante.
le travail de wong kar wai sur la forme pour nourrir pleinement son propos est remarquable.le centrage durant la 1ere scene de combat pour depasser ce que l'on peut voir pour aller vers ce que l'on peut ressentir et aller donc vers l'essentiel donnera le ton de toute l'oeuvre de l'auteur.tout ce qui ne sera pas essentiel à son propos,à ce qu'il veut dire,sera evanescent quand cela existera,tel ce qui est perçu en dehors de ce qui requiert notre attention,ou lorsque l'on reve.l'hommage appuyé à une autre fresque,meme si legerement genant dans un souci d'immersion, faisant echo à cette forme de wong kar wai ainsi qu'au passé et ce qu'en dit le vieux maitre gong baosen pour l'essence de l'art.
le tissage de la toile aux bords etherés ne se concentrant que sur ce qui fait la force de cette approche par ce que transmettent tous les personnages centraux est un bien bel hommage à yip man et à son disciple bruce lee qui aurait certainement aimé voir que l'on ne se concentre pas sur son doigt pour contempler toute la magnificence de la lune.

[lag@uffre]

Douglass Trumbull, le roi de la prise de vue, qui s'attaque à un sujet déroutant et incongru, ça ne se refuse pas.
On croit d'abord assister à une des plus grandes injustice du box office. Le film avance sereinement et orchestre savamment sa lente progression vers la pure sf, celle qui entraîne ses personnages dans les méandres de leurs découvertes. On devient aussi passionnés qu'eux, avides de découvertes et de nouvelles expériences. Une ambiance proche du documentaire luxueux, des choix de narration fort (4/3 vs Super Panavision+ Omnivsion, réel vs bande qui peu à peu déteint sur la réalité)... Et là encore le film passe la vitesse au-dessus avec une incroyable scène de Louise Fletcher qui fout définitivement le bronx. Royal.

Il faut aussi savoir que Trumbull cherchait à tout prix à filmer tout le métrage en Showscan, du 70mm en 60 images par secondes. Il en a longtemps été question mais le procédé, beaucoup trop cher pour pouvoir être exploité, et malgré des retours enthousiastes (on imagine sans mal!!) fût abandonné. En cela, le film est forcément une analogie du travail de Trumbull, motiver des investisseurs pour financer une nouvelle technologie de l'image et ainsi éveiller de nouvelles sensations chez le spectateur.

C'est malheureusement à cet instant que le scénario de ne tient pas toutes ses promesses. Difficile de savoir à quel point la mort prématurée de Nathalie Wood à pu handicaper le film (les studio voulaient arrêter la production pour récupérer l'assurance, Trumbull s'y opposa, condamnant ainsi sa carrière), mais j'ai trouvé un dernier tiers saugrenu, qui basculait dans le techno/polar sans prévenir, et surtout sans crédibilité. On bascule presque dans le burlesque. Au final, le choix thématique n'est pas fait (que montre cette bande, quelle révélation va vivre le personnage, était-ce à faire,...)et la conclusion est loin d'être aussi franche et aussi forte que cela qu'on aurait pu espérer en regard de la première moitié.

Quel dommage car ce film datant de 1983 attaquait déjà l'ultime barrière, ce que Strange Days n'a jamais osé faire.

J'ai tout de même passé un moment assez ahurissant de par la folie du projet. A voir.

13/20

[jhudson]

The GranMaster : canal+ hd

Pour les fans d'arts martiaux, très belle esthétique, quelques beaux combats et une histoire....

10/20

Les vrais fans d'art martiaux veulent de vrais artistes martiaux ,ce que ne sont pas malheureusement les acteurs principaux ,même s'ils en ont bavé sur le tournage.

Je vais regarder le film car ça passe sur Canal mais a reculons ,car l’esthétisme artificiel (et ces ralentis un peu crispant a la longue) de Wong kar wai est a mon avis loin de valoir celle d'un Zhang Yimou ,ce qui est étrange car ceux qui encensent Wong Kai wai , reprochent justement l'esthétisme de Yimou!

Son Flowers of wars (avec Christan Bale ) est encore inédit en France et c'est tout bonnement scandaleux !

[jhudson]

Mon oncle d'Amérique, hier soir sur Arte.

Excellent "docu-film" qui fait exploser le talent et l'originalité de feu Alain Resnais.

Plutôt un film un thèse ,vu que le film est basé sur les travaux sur le comportement humain de Henri Laborit ....

[jhudson]

Douglass Trumbull, le roi de la prise de vue, qui s'attaque à un sujet déroutant et incongru, ça ne se refuse pas.
On croit d'abord assister à une des plus grandes injustice du box office. Le film avance sereinement et orchestre savamment sa lente progression vers la pure sf, celle qui entraîne ses personnages dans les méandres de leurs découvertes. On devient aussi passionnés qu'eux, avides de découvertes et de nouvelles expériences. Une ambiance proche du documentaire luxueux, des choix de narration fort (4/3 vs Super Panavision+ Omnivsion, réel vs bande qui peu à peu déteint sur la réalité)... Et là encore le film passe la vitesse au-dessus avec une incroyable scène de Louise Fletcher qui fout définitivement le bronx. Royal.

Il faut aussi savoir que Trumbull cherchait à tout prix à filmer tout le métrage en Showscan, du 70mm en 60 images par secondes. Il en a longtemps été question mais le procédé, beaucoup trop cher pour pouvoir être exploité, et malgré des retours enthousiastes (on imagine sans mal!!) fût abandonné. En cela, le film est forcément une analogie du travail de Trumbull, motiver des investisseurs pour financer une nouvelle technologie de l'image et ainsi éveiller de nouvelles sensations chez le spectateur.

C'est malheureusement à cet instant que le scénario de ne tient pas toutes ses promesses. Difficile de savoir à quel point la mort prématurée de Nathalie Wood à pu handicaper le film (les studio voulaient arrêter la production pour récupérer l'assurance, Trumbull s'y opposa, condamnant ainsi sa carrière), mais j'ai trouvé un dernier tiers saugrenu, qui basculait dans le techno/polar sans prévenir, et surtout sans crédibilité. On bascule presque dans le burlesque. Au final, le choix thématique n'est pas fait (que montre cette bande, quelle révélation va vivre le personnage, était-ce à faire,...)et la conclusion est loin d'être aussi franche et aussi forte que cela qu'on aurait pu espérer en regard de la première moitié.

Quel dommage car ce film datant de 1983 attaquait déjà l'ultime barrière, ce que Strange Days n'a jamais osé faire.

J'ai tout de même passé un moment assez ahurissant de par la folie du projet. A voir.

13/20

Vu il y a un moment, ça frise le ridicule vers la fin, avec des sortes d'anges après la mort alors qu'on s'entend a de l'inédit , oui grosse déception ,son Silent Running était autrement plus intérressant

L'expérience interdite surfait sur la même idée, et le message était qu'il ne fallait pas aller a l'encontre de dieu sous peine d'en payer le prix (oui mourir et en revenir ce n'était pas dans l'ordre des choses ,quand on est mort on y reste ), des films hyper conservateurs qui par leur message simplistes en tuaient tout l’intérêt !

[Boc21]

+1 avec vous deux...
Un excellent film qui se termine hélas d'une manière fort décevante (et c'est peu de le dire).

[lag@uffre]

A cela près que le discours n'est pas le même que L'expérience Interdite, même si j'ai été déçu de la vision enfer/anges. Car les petites bulles de souvenirs qui se mélangent en constellations, c'était pas mal.

[Guillom]

About time.

Un jeune homme découvre qu'il a le pouvoir, comme tous les hommes de la famille, de remonter le temps.
Malgré le talent des acteurs, on s'ennuie ferme dans cette comédie guimauvée qui se veut douce amère, sur la transmission père fils, mais qui n'est au final que le portrait d'un égoïste tricheur.

Pas vu ce film, a sa sortie la critique a été des plus mauvaises , le pitch rappelle de nombreux film ,comme L'effet papillon dont j'ai acheté le blu ray ,car il parait que la version longue est encore meilleure, mais elle était trop noire pour la version cinema.

Tiens, moi j'ai bien aimé. C'est un film léger où le voyage dans le temps n'est qu'un accessoire. Ca n'essaie pas d'aller beaucoup plus loin qu'un "4 mariages et un enterrement". On reste dans la comédie romantique optimiste. Bref un film qui plait à Madame sans me gonfler.

15/20 (dans le genre)

Assez d'accord avec toi. C'est pas le film de l'année, mais pour une comédie romantique, madame aime bien et pour moi ca se laisse regarder.
Ce film a des défaults c'est sur, mais franchement pas déplaisant.

13/20

[Salvor Hardin]

Sea, no sex and sun : canal+ hd

Trop gentillet

6/20

[Salvor Hardin]

Happiness Therapy : canal+ hd

Comédie romantique sympa

13/20