Et Vénus, avec plus de succès :
Le pire avec les soviétiques, c'est qu'ils ont réussis à faire sur Venus ce qu'ils ont échoué à faire sur Mars
Bon la qualité HD n'était pas à l'ordre du jour et les sondes ne fonctionnaient que quelques dizaines de minutes avant de lâcher (127 minutes pour celle qui a survécu le plus longtemps). C'est comme les gosses en fait : toute cette préparation et des années d'ennuis pour seulement quelques minutes de bonheur
En même temps un voyage de plusieurs dizaines de millions de kilomètres, 460 degrés à la surface et une pression 92 fois supérieure à la terre, ça doit un peu accélérer le vieillissement [:cerveau zeusy]
http://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_Venera
|
Modérateurs: Modération Forum Loisirs, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 1 invité
Un forum dédié aux échanges sur : apprendre, se cultiver, des formations, etc...
Règles du forum
Merci de bien respecter la Charte HCFR, l'espace de loisirs proposé ici n'étant pas destiné à être un défouloir ou une foire d'empoigne.
Et pour mémoire, la Charte HCFR est directement consultable ici : Charte Forum HCFR
Il est aussi expressément à noter, que tout démarchage commercial - de quelque nature qu'il soit - n'est pas autorisé et sera modéré.
Merci de bien respecter la Charte HCFR, l'espace de loisirs proposé ici n'étant pas destiné à être un défouloir ou une foire d'empoigne.
Et pour mémoire, la Charte HCFR est directement consultable ici : Charte Forum HCFR
Il est aussi expressément à noter, que tout démarchage commercial - de quelque nature qu'il soit - n'est pas autorisé et sera modéré.
Le post des nouvelles des étoiles...
- tfpsly
- Messages: 2700
- Inscription Forum: 16 Jan 2004 2:05
- Localisation: FR @ Zurich
Un spationaute comique :
- tfpsly
- Messages: 2700
- Inscription Forum: 16 Jan 2004 2:05
- Localisation: FR @ Zurich
Vidéo de la surface de Mars reconstituée en 3D :
- tfpsly
- Messages: 2700
- Inscription Forum: 16 Jan 2004 2:05
- Localisation: FR @ Zurich
Une dernière série pour la route, toujours tirée du même forum (FHF pour les intimes)...
Vu que la série à plu, je me permet de refaire un dernier poste mais côté Russe cette fois. Les photos proviennent de Roscosmos, l'agence spatiale Russe.
Les photos sont très belles mais pas disponibles en hires hélas
Un levé de soleil sur la Terre
Une comète
Soyuz TMA-22, qui à permit d'amener à des astronautes à rejoindre l'ISS, il fut détaché en 2012 (avec du personnel à bord)
Soyuz TMA-22
Soyuz TMA-22
Atterrissage du Soyuz TMA-22 (au Kazakhstan)
Un ATV : automated transfer vehicle. Ce sont des modules destinés à apporter à l'ISS du carburant, de l'eau, de l'air, et des charges diverses.
l'ATV 3 en manoeuvre d'amarrage sur l'ISS
Vu que la série à plu, je me permet de refaire un dernier poste mais côté Russe cette fois. Les photos proviennent de Roscosmos, l'agence spatiale Russe.
Les photos sont très belles mais pas disponibles en hires hélas
Un levé de soleil sur la Terre
Une comète
Soyuz TMA-22, qui à permit d'amener à des astronautes à rejoindre l'ISS, il fut détaché en 2012 (avec du personnel à bord)
Soyuz TMA-22
Soyuz TMA-22
Atterrissage du Soyuz TMA-22 (au Kazakhstan)
Un ATV : automated transfer vehicle. Ce sont des modules destinés à apporter à l'ISS du carburant, de l'eau, de l'air, et des charges diverses.
l'ATV 3 en manoeuvre d'amarrage sur l'ISS
- tfpsly
- Messages: 2700
- Inscription Forum: 16 Jan 2004 2:05
- Localisation: FR @ Zurich
On continue? Précision : j'ai viré la moitié des smileys, il y en avait vraiment trop
Une autre histoire chez les Nippons
En mai 2003, la JAXA, agence spatiale japonnaise lance la sonde Hayabusa (mais sans Sangoku dessus)
L'objectif de la mission, c'est un peu de se la jouer Armageddon sorti 5 ans auparavant A savoir étudier un astéroïde de la forme d'une patate du doux nom d'Itokawa :
Ses dimensions : 607 m par 287 m 264 par mètres
Sa masse : 3,5*×1010kg ou 35 000 000 000 kg ou 35 000 000 tonnes, ouais, c'est balèze comme truc.
Il est nommé en référence à Hideo Itokawa, considéré comme le père fondateur de l'aventure spatiale japonnaise.
Rapidement la sonde :
Elle fait un peu plus de 500kg et mesure 1,5mx1,5mx1,05. Sa propulsion est composée de 4 propulseurs ionique de ce type :
heu.
non, comme ça en fait :
Du xénon ionisé est accéléré dans un champ magnétique puis ejecté par des tuyères.
ça pousse peu mais ça pousse longtemps. Le principe de l'action/réaction, t'avances quand je recule, comment veux-tu que j'te calcule ?
Il y a aussi 10 tuyères chimiques qui servent à changer l'orientation de la sonde parceque bordel, on est pas chez les russes on utilise un truc qui marche !
Il y a aussi 2 panneaux solaires qui assurent la fourniture d'électricité nécessaire. C'est pas parcequ'on bosse dans le spatial qu'on est pas des écolos
Elle est dotée de 3 instruments scientifiques :
Asteroid Multiband Imaging CAmera : pour faire de bien belles photos
X-Ray Fluorescence Spectrometer : pour étudier les bien beaux composants chimiques
Near-IR Spectrometer : pour regarder dans l'infrarouge, un peu comme instagram
Elle ressemble à ça :
Mais en plus, on lui ajoute Minerva, un mini atterrisseur de 600grammes équipé de 3 caméras CCD, des panneaux solaires pour l'électricité et un petit ordinateur de poche. En effet, pour se déplacer, pas question de rouler mais plutôt sauter ! Et comme la la gravité est très faible, il faut calculer les sauts pour ne pas s'envoler et rejoindre une des nombreuses missions russes qui traîne dans l'espace.
Une fois tout ce petit monde sous la coiffe, ce 9 mai 2003 à 13h29JTC ou 04h29 heure française, la fusée MV-5 décolle du Centre spatial de Uchinoura
Afin d'avoir une vitesse suffisante, et comme le chemin le plus court n'est pas forcément le plus rapide, la sonde est envoyée sur une trajectoire qui lui fera faire le tour du soleil puis qui reviendra vers la Terre afin de profiter du principe de fronde gravitationnelle.
En vert, l'orbite de la Terre autour du soleil
En pointillé bleu, l'orbite de l'astéroïde géocroiseur
En rouge, la trajectoire de la sonde qui part de la Terre, fait le tour du soleil, revient vers la Terre pour choper de l'élan et partir vers l'astéroïde.
Les moteurs ioniques poussent de manière plus ou moins continue. Malheureusement une tempête solaire endommage les panneaux solaires et la puissance électrique est réduite. Les moteurs ioniques poussent alors moins fort et le rendez-vous avec l'astéroïde est repoussé de plusieurs mois. Une des 4 roues à réactions tombe en panne, elles servent à orienter la sonde dans la position voulue.
le 12 septembre 2005, la sonde a consommé 22kg de xénon et se trouve à 20km de l'astéroïde. Elle effectue ses première mesures (champ gravitationnel, topographie, etc...). Elle se rapproche ensuite à 7km et perd une 2ème roue à réaction. Le 3 novembre, l'ordre est donné de venir à 3km puis de tenter un contact avec l'astéroïde. Comme la distance rend impossible la communication directe, un système automatique permet un abort si un soucis est détecté.
Forcément, c'est ce qui arrive à 1km et la sonde se met en mode sécurisé.
6 jours plus tard, elle descend à 70 mètres d'altitude et on voit 'achement bien le patatoïde :
Belle merde, hein ?
La sonde effectue plusieurs aller/retour pour répéter l'atterrisage final. Lors de cette dernière descente de répétition de descente de la sonde, Minerva doit être largué pour poursuive vers l'astéroïde avec une vitesse en direction de la sonde. Un ingénieur russe passant dans le coin a fait en sorte que le petit robot soit largué pendant une phase de remonté et donc OUI ! CE ROBOT A REJOINT LES DECHETS RUSSES DANS LE VIDE SIDERAL !
Tout ça pour ça....
Toujours est-il que la mission n'est pas finie hein
La sonde se rapproche ensuite du caca flottant, et même qu'il y projette son ombre :
Le 19 Novembre, la sonde doit toucher l'astéroïde et y prélever des échantillons. A 17 mètres d'altitude, plus de signal car l'antenne d'Hayabusa n'est plus dirigée vers la Terre suite à un obstacle détecté par la sonde. En même temps sur Terre, on change de station de réception. Bref c'est un grand moment de l'histoire du spatial "comme même" mais manque de bol on ne verra rien en direct (modula le temps le temps de transmission des données)
Le contact est repris peu de temps après on l'interroge (tu vas parler grosse salope !) : Elle s'est posée mais sur la tranche d'un panneau solaire et rien n'a pu prélevé. Elle a rebondi et est maintenant à 30 mètres au dessus du sol
Punie, elle est renvoyé à 100km de la.
Le 25 Novembre, on retente le coup. À 20h10, la sonde coupe ses communications pour effectuer une modif' de son orientation pour préparer son contact avec le sol. À 20h16, la communication reprend et à 20h20 TU la sonde indique qu'elle est en train de remonter. L'analyse de la télémétrie semble indiquer qu'elle a effectué un prélèvement et que deux projectiles ont été tirés (des projectiles ont été installés et seront tirés à une vitesse de 300 m/s pour générer un panache de particule qui seront récupéré par un cornet comme indiqué sur la photo ci-dessous)
malheureusement après analyses:
- des tuyères semblent mal en point
- Aucun projectile n'a été tiré
En tous cas, ça devait ressembler à ça :
Spa grave, on verra au retour sur Terre
Et ouais les mecs, c'est bien beau d'aller si loin si on revient les mains vides ou si on ne revient pas !
Le 26 Novembre 2005, une fuite de carburant est détectée et la sonde perd son orientation avec la Terre et on perd les communications. On reprend le contôle début 2006. Il n'y a plus de carburants pour les propulseurs chimiques et 1/3 de la batterie est HS mais RAB, on rentre.
Le temps de s'assurer que tout va bien, de refaire un plan de vol, le voyage vers la Terre débute en avril 2007 avec les moteurs ioniques et ils arrêtent de pousser en octobre 2007. Elle est foutue en hibernation jusqu'en février 2009.
Les ingénieurs font alors leur possible pour que la sonde soit mise sur une trajectoire de rencontre avec la Terre :
Vu que 2 roues à réactions sont inutilisables, ils jouent avec la poussée des moteurs ioniques et la pression de radiation sur les panneaux solaires pour orienter la sonde. La pression de radiation c'est la pression exercée par les photons sur la surface de la sonde. Si ça c'est pas couillu
En novembre 2009, ils en sont à 3 moteurs ioniques HS avec leur connerie mais ils parviennent à combiner les composants de deux propulseurs défectueux pour en former un nouveau en état de marche.
La sonde s'approche de la Terre et largue le petit récipient sensé contenir les échantillons.
La trajectoire a été calculée pour que la petite capsule d'échantillon atterrisse en australie (le japon, c'est surement trop petit à viser)
La sonde est détruite lors de sa rentrée dans l'atmosphère terrestre :
mais la capsule est récupérée :
Depuis, les scientifiques cherchent à la surface du gel de la capsule de micro particules pouvant venir de l'astéroïde :
Moi écrire ce post, ça me fait penser à Topper Harley qui rentre au port :
-merde j'ai perdu l'aile droite.
-c'est rien vas-y continue
-Putain l'aile gauche
-c'est bien,tu vas y arriver ,accroche toi.
-Et merde,le moteur vient de se barrer aussi
-tu y es presque encore un effort.
Une autre histoire chez les Nippons
En mai 2003, la JAXA, agence spatiale japonnaise lance la sonde Hayabusa (mais sans Sangoku dessus)
L'objectif de la mission, c'est un peu de se la jouer Armageddon sorti 5 ans auparavant A savoir étudier un astéroïde de la forme d'une patate du doux nom d'Itokawa :
Ses dimensions : 607 m par 287 m 264 par mètres
Sa masse : 3,5*×1010kg ou 35 000 000 000 kg ou 35 000 000 tonnes, ouais, c'est balèze comme truc.
Il est nommé en référence à Hideo Itokawa, considéré comme le père fondateur de l'aventure spatiale japonnaise.
Rapidement la sonde :
Elle fait un peu plus de 500kg et mesure 1,5mx1,5mx1,05. Sa propulsion est composée de 4 propulseurs ionique de ce type :
heu.
non, comme ça en fait :
Du xénon ionisé est accéléré dans un champ magnétique puis ejecté par des tuyères.
ça pousse peu mais ça pousse longtemps. Le principe de l'action/réaction, t'avances quand je recule, comment veux-tu que j'te calcule ?
Il y a aussi 10 tuyères chimiques qui servent à changer l'orientation de la sonde parceque bordel, on est pas chez les russes on utilise un truc qui marche !
Il y a aussi 2 panneaux solaires qui assurent la fourniture d'électricité nécessaire. C'est pas parcequ'on bosse dans le spatial qu'on est pas des écolos
Elle est dotée de 3 instruments scientifiques :
Asteroid Multiband Imaging CAmera : pour faire de bien belles photos
X-Ray Fluorescence Spectrometer : pour étudier les bien beaux composants chimiques
Near-IR Spectrometer : pour regarder dans l'infrarouge, un peu comme instagram
Elle ressemble à ça :
Mais en plus, on lui ajoute Minerva, un mini atterrisseur de 600grammes équipé de 3 caméras CCD, des panneaux solaires pour l'électricité et un petit ordinateur de poche. En effet, pour se déplacer, pas question de rouler mais plutôt sauter ! Et comme la la gravité est très faible, il faut calculer les sauts pour ne pas s'envoler et rejoindre une des nombreuses missions russes qui traîne dans l'espace.
Une fois tout ce petit monde sous la coiffe, ce 9 mai 2003 à 13h29JTC ou 04h29 heure française, la fusée MV-5 décolle du Centre spatial de Uchinoura
Afin d'avoir une vitesse suffisante, et comme le chemin le plus court n'est pas forcément le plus rapide, la sonde est envoyée sur une trajectoire qui lui fera faire le tour du soleil puis qui reviendra vers la Terre afin de profiter du principe de fronde gravitationnelle.
En vert, l'orbite de la Terre autour du soleil
En pointillé bleu, l'orbite de l'astéroïde géocroiseur
En rouge, la trajectoire de la sonde qui part de la Terre, fait le tour du soleil, revient vers la Terre pour choper de l'élan et partir vers l'astéroïde.
Les moteurs ioniques poussent de manière plus ou moins continue. Malheureusement une tempête solaire endommage les panneaux solaires et la puissance électrique est réduite. Les moteurs ioniques poussent alors moins fort et le rendez-vous avec l'astéroïde est repoussé de plusieurs mois. Une des 4 roues à réactions tombe en panne, elles servent à orienter la sonde dans la position voulue.
le 12 septembre 2005, la sonde a consommé 22kg de xénon et se trouve à 20km de l'astéroïde. Elle effectue ses première mesures (champ gravitationnel, topographie, etc...). Elle se rapproche ensuite à 7km et perd une 2ème roue à réaction. Le 3 novembre, l'ordre est donné de venir à 3km puis de tenter un contact avec l'astéroïde. Comme la distance rend impossible la communication directe, un système automatique permet un abort si un soucis est détecté.
Forcément, c'est ce qui arrive à 1km et la sonde se met en mode sécurisé.
6 jours plus tard, elle descend à 70 mètres d'altitude et on voit 'achement bien le patatoïde :
Belle merde, hein ?
La sonde effectue plusieurs aller/retour pour répéter l'atterrisage final. Lors de cette dernière descente de répétition de descente de la sonde, Minerva doit être largué pour poursuive vers l'astéroïde avec une vitesse en direction de la sonde. Un ingénieur russe passant dans le coin a fait en sorte que le petit robot soit largué pendant une phase de remonté et donc OUI ! CE ROBOT A REJOINT LES DECHETS RUSSES DANS LE VIDE SIDERAL !
Tout ça pour ça....
Toujours est-il que la mission n'est pas finie hein
La sonde se rapproche ensuite du caca flottant, et même qu'il y projette son ombre :
Le 19 Novembre, la sonde doit toucher l'astéroïde et y prélever des échantillons. A 17 mètres d'altitude, plus de signal car l'antenne d'Hayabusa n'est plus dirigée vers la Terre suite à un obstacle détecté par la sonde. En même temps sur Terre, on change de station de réception. Bref c'est un grand moment de l'histoire du spatial "comme même" mais manque de bol on ne verra rien en direct (modula le temps le temps de transmission des données)
Le contact est repris peu de temps après on l'interroge (tu vas parler grosse salope !) : Elle s'est posée mais sur la tranche d'un panneau solaire et rien n'a pu prélevé. Elle a rebondi et est maintenant à 30 mètres au dessus du sol
Punie, elle est renvoyé à 100km de la.
Le 25 Novembre, on retente le coup. À 20h10, la sonde coupe ses communications pour effectuer une modif' de son orientation pour préparer son contact avec le sol. À 20h16, la communication reprend et à 20h20 TU la sonde indique qu'elle est en train de remonter. L'analyse de la télémétrie semble indiquer qu'elle a effectué un prélèvement et que deux projectiles ont été tirés (des projectiles ont été installés et seront tirés à une vitesse de 300 m/s pour générer un panache de particule qui seront récupéré par un cornet comme indiqué sur la photo ci-dessous)
malheureusement après analyses:
- des tuyères semblent mal en point
- Aucun projectile n'a été tiré
En tous cas, ça devait ressembler à ça :
Spa grave, on verra au retour sur Terre
Et ouais les mecs, c'est bien beau d'aller si loin si on revient les mains vides ou si on ne revient pas !
Le 26 Novembre 2005, une fuite de carburant est détectée et la sonde perd son orientation avec la Terre et on perd les communications. On reprend le contôle début 2006. Il n'y a plus de carburants pour les propulseurs chimiques et 1/3 de la batterie est HS mais RAB, on rentre.
Le temps de s'assurer que tout va bien, de refaire un plan de vol, le voyage vers la Terre débute en avril 2007 avec les moteurs ioniques et ils arrêtent de pousser en octobre 2007. Elle est foutue en hibernation jusqu'en février 2009.
Les ingénieurs font alors leur possible pour que la sonde soit mise sur une trajectoire de rencontre avec la Terre :
Vu que 2 roues à réactions sont inutilisables, ils jouent avec la poussée des moteurs ioniques et la pression de radiation sur les panneaux solaires pour orienter la sonde. La pression de radiation c'est la pression exercée par les photons sur la surface de la sonde. Si ça c'est pas couillu
En novembre 2009, ils en sont à 3 moteurs ioniques HS avec leur connerie mais ils parviennent à combiner les composants de deux propulseurs défectueux pour en former un nouveau en état de marche.
JAXA has been studying the characteristics of the neutralizers and the ion sources. During the study, enough thrust is found available for the rest of the cruise, when the neutralizer of the engine-A is combined with the ion source of the engine-B.
La sonde s'approche de la Terre et largue le petit récipient sensé contenir les échantillons.
La trajectoire a été calculée pour que la petite capsule d'échantillon atterrisse en australie (le japon, c'est surement trop petit à viser)
La sonde est détruite lors de sa rentrée dans l'atmosphère terrestre :
mais la capsule est récupérée :
Depuis, les scientifiques cherchent à la surface du gel de la capsule de micro particules pouvant venir de l'astéroïde :
Moi écrire ce post, ça me fait penser à Topper Harley qui rentre au port :
-merde j'ai perdu l'aile droite.
-c'est rien vas-y continue
-Putain l'aile gauche
-c'est bien,tu vas y arriver ,accroche toi.
-Et merde,le moteur vient de se barrer aussi
-tu y es presque encore un effort.
- tfpsly
- Messages: 2700
- Inscription Forum: 16 Jan 2004 2:05
- Localisation: FR @ Zurich
superbes photos !
- baldabiou
- Messages: 1755
- Inscription Forum: 15 Mai 2011 4:38
- Localisation: choucroute / noix / cassoulet / pin o bè
je ne savais pas que les Russes c'étaient crashés sur Mars et posés sur Vénus
- baldabiou
- Messages: 1755
- Inscription Forum: 15 Mai 2011 4:38
- Localisation: choucroute / noix / cassoulet / pin o bè
baldabiou a écrit:je ne savais pas que les Russes c'étaient crashés sur Mars et posés sur Vénus
Le module atterrisseur de Mars-3 a été la première sonde à se poser avec succès le 28 mai 1971 (celui de Mars-2 s'est craché le 27 novembre 1971, premier objet humain à toucher Mars). Battant la sonde américaine Viking 1 de 7 ans (1978).
Manque de bol, Mars-3 est tombé sur une tempête de sable et a été détruite au bout de quelques dizaines de minutes. Mais c'est néanmoins un succès technique.
Lien wiki vers l'histoire des missions russes Mars et de toutes les missions vers Mars
Dernière édition par tfpsly le 30 Oct 2013 6:46, édité 1 fois.
- tfpsly
- Messages: 2700
- Inscription Forum: 16 Jan 2004 2:05
- Localisation: FR @ Zurich
baldabiou a écrit::ohmg: superbes photos !
Merci aux posteurs initiaux (topic images incroyables sur les forums hardware fr, un mélange de trucs incroyables, de posts fécaux et de nibards...). Je n'ai fait que reposter ces messages passionnants.
- tfpsly
- Messages: 2700
- Inscription Forum: 16 Jan 2004 2:05
- Localisation: FR @ Zurich
Dans les histoires sur Mars, tu oublies les 2 sondes destinées à aller sur phobos que les russes ont perdu.
Leur conquête de la lune est pas mal aussi...
Une fusée de test a satellisé pas mal de monde, dont pas mal de gros bonnets du parti communiste
http://fr.wikipedia.org/wiki/N-1_%28fus%C3%A9e%29
Leur conquête de la lune est pas mal aussi...
Une fusée de test a satellisé pas mal de monde, dont pas mal de gros bonnets du parti communiste
http://fr.wikipedia.org/wiki/N-1_%28fus%C3%A9e%29
1971, après deux an de travaux, la N1 6L est lancé du second pad avec au sommet une maquette du LOK et du LK. La monté est bonne jusqu'à 7 secondes puis, un roulis commence à détruire le second étage à la 48eme seconde. La vitesse augmente et l'angle atteint 200°, le système de correction éteint tous les moteurs laissant le lanceur retombé sur sa plateforme de tir.
La configuration dans mon profil
Très très près de la ville d'Hélène.
Perrichon et Annie Dingophobe.
Et tout le reste est la faute à Rousseau (Sardine de son prénom)
- beb
- Membre HCFR
- Messages: 10273
- Inscription Forum: 02 Mar 2002 2:00
- Localisation: retour à l'aube de la ville d'Hélène
Bon on remet ça? Toujours tiré de FHF :
Aujourd'hui, nous allons parler d'un BADASS qui en avait dans le calbutte , un dur, un vrai, un tatoué pondu par la sainte mère patrie soviétique ...
Nous allons parler d'Alexei Leonov.
Ce petit gars, de tout juste 30 ans , est monté, avec Pavel Beliaïev son commandant et de 9 ans son ainé, dans la capsule Voskhod 2 le 16 mars 1965 pour le 8 ème vol habité de la conquète spatiale.
Il faut savoir que c'est seulement le deuxième vol de la capsule, le premier vol en orbite de et pour les deux hommes, le tout à une altitude record de 475 km [:quineto]
La particularité de ce vol par rapport au précédent ?
Les responsables ont décidé d'effectuer la première EVA de l'histoire.
EVA étant l'accronyme pour "ExtraVehicular Activity", oui messieurs dame, notre petit gars va faire un tour dans l'espace à bord de sa combinaison BERKUT :
Bref, on décolle.
Une fois placé en orbite, Leonov et Beliaïev fixent le "sac à dos" spécial à la combinaison "Berkut" que porte Leonov dès le décollage.
Ce sac à dos fournit 45 minutes d'air et de climatisation au cosmonaute et est relié au vaisseau par un cable de 15,35 mètres assurant les communication et l'oxygènation.
Ensuite, Beliaïev met en place le sas gonflable "Volga", rendu indispensable car l'électronique
de la capsule ne peut fonctionner dans le vide.
Leonov prend alors place dans le sas en laissant Beliaïev à l'intérieur de Voskhod.
Ce dernier ferme le sas et le dépressurise à 8 h 28 mn.
A 8 h 32 mn, Leonov ouvre la trappe extérieure et s'extrait du sas, avec son cordon ombilical... et c'est parti !
Il se glisse dans le sas pour sortir dans le vide " comme un bouchon de sa bouteille " et devient pendant 12 mn, le 1° homme à marcher dans l’Espace.
Il voit la gigantesque courbure de la Terre et le signale à Belaïev : " Pavel ! Pavel ! Elle est ronde " .
Un rire étouffé lui répond.
De suite, il éprouve " un sentiment de légèreté, de liberté, rien que des sensations agréables ".
Belaïev doit lui répéter à deux reprises qu’il est temps de rentrer.
C'est à ce moment qu'il a l’impression que les doigts de ses mains et de ses pieds ont rétrécis, à l’intérieur de ses gants et de ses bottes :
il ne peut prendre les photos de la capsule Voskhod qui étaient prévues, car il ne peut plus atteindre le déclencheur situé sur sa poitrine.
Leonov constate alors que son scaphandre, au contact du vide, s’est dilaté et que, rigidifié, le moindre mouvement est devenu un véritable calvaire .
Il espère qu’il peut entrer dans le sas, par les pieds comme prévu.
Malheureusement, malgré ses efforts, il n’y arrive pas. Ses yeux sont remplis de sueur et la buée commence à recouvrir sa visière.
Engoncé dans son scaphandre bibendum , il ne parvient pas à se glisser dans l'écoutille les pieds les premiers, comme le prévoit la procédure.
Sans paniquer, il se retourne pour pénétrer la tête la première.
Ça rentre ! La première marche de l'homme dans l'espace a duré exactement douze minutes et neuf secondes.
Mais problème : les jambes restent coincées à l'extérieur du SAS
À l'envers, Leonov est incapable de fermer la trappe donnant sur le vide.
Il lui faut absolument se retourner.
Il s'y emploie de toutes ses forces, mais le voilà maintenant coincé .
Il prend la décision, nécessaire mais dangereuse, de baisser la pression, en manœuvrant une valve pour diminuer le volume de sa combinaison spatiale.
Elle descend de 0,40 à 0,25 atmosphère qui est la limite de sécurité, avant l’asphyxie.
Mais c’est encore insuffisant pour pénétrer dans le sas.
Selon les médecins de la mission, Leonov est alors au bord de la crise cardiaque, sa température corporelle
chute de 1,8°C en 20 minutes et il signale que sa combinaison est inondée de sueur jusqu'aux genoux...
Alors Leonov, grâce à sa force musculaire et sa détermination, va réussir l’impossible en se débattant.
Au prix d'un effort herculéen, il pivote suffisamment pour fermer la trappe.
Il retourne ensuite dans la cabine, littéralement épuisé, avec un cœur aux 143 battements par minute, une respiration deux fois plus élevée que la moyenne,
et une température remontant en très peu de temps à 38° C et un corps mouillé par la transpiration.
Une fois reposé, il immortalise sur son bloc de dessin et avec ses crayons, sa sortie dans l’Espace.
Une fois Leonov de retour sur sa couchette, Beliaïev largue le sas gonflable.
Il est a noter que Leonov portait avec lui une pilule de poison, au cas où il n'aurait pas pu retourner à l'intérieur de la capsule.
Voskhod retourne sur terre le 19 à 10 h 32 à 30 km de Perm, après une descente mouvementée réalisé manuellement (je ne détaille pas ici le nombre de galères qu'ils ont eu mais c'est un miracle qu'ils soit vivant )
Le vol a duré 26 h 02. L'équipage n'est récupéré que 24 heures plus tard.
Après avoir frôler le désastre le programme Voskhod est abandonné.
Petite vidéo de la sortie http://www.youtube.com/watch?v=Z91zYbHdL9E.
Et une archive de l'ina en français s'il vous plait (interessant au passage)
http://spacemedicineassociation.org/timeline/1965/1965/Voskhod%202/Alexi%20Leonov%20French.flv
Et bien entendu, le fait qu'on ai frôlé la catastrophe à été occulté par le polit buro
Aujourd'hui, nous allons parler d'un BADASS qui en avait dans le calbutte , un dur, un vrai, un tatoué pondu par la sainte mère patrie soviétique ...
Nous allons parler d'Alexei Leonov.
Ce petit gars, de tout juste 30 ans , est monté, avec Pavel Beliaïev son commandant et de 9 ans son ainé, dans la capsule Voskhod 2 le 16 mars 1965 pour le 8 ème vol habité de la conquète spatiale.
Il faut savoir que c'est seulement le deuxième vol de la capsule, le premier vol en orbite de et pour les deux hommes, le tout à une altitude record de 475 km [:quineto]
La particularité de ce vol par rapport au précédent ?
Les responsables ont décidé d'effectuer la première EVA de l'histoire.
EVA étant l'accronyme pour "ExtraVehicular Activity", oui messieurs dame, notre petit gars va faire un tour dans l'espace à bord de sa combinaison BERKUT :
Bref, on décolle.
Une fois placé en orbite, Leonov et Beliaïev fixent le "sac à dos" spécial à la combinaison "Berkut" que porte Leonov dès le décollage.
Ce sac à dos fournit 45 minutes d'air et de climatisation au cosmonaute et est relié au vaisseau par un cable de 15,35 mètres assurant les communication et l'oxygènation.
Ensuite, Beliaïev met en place le sas gonflable "Volga", rendu indispensable car l'électronique
de la capsule ne peut fonctionner dans le vide.
Leonov prend alors place dans le sas en laissant Beliaïev à l'intérieur de Voskhod.
Ce dernier ferme le sas et le dépressurise à 8 h 28 mn.
A 8 h 32 mn, Leonov ouvre la trappe extérieure et s'extrait du sas, avec son cordon ombilical... et c'est parti !
Il se glisse dans le sas pour sortir dans le vide " comme un bouchon de sa bouteille " et devient pendant 12 mn, le 1° homme à marcher dans l’Espace.
Il voit la gigantesque courbure de la Terre et le signale à Belaïev : " Pavel ! Pavel ! Elle est ronde " .
Un rire étouffé lui répond.
De suite, il éprouve " un sentiment de légèreté, de liberté, rien que des sensations agréables ".
Belaïev doit lui répéter à deux reprises qu’il est temps de rentrer.
C'est à ce moment qu'il a l’impression que les doigts de ses mains et de ses pieds ont rétrécis, à l’intérieur de ses gants et de ses bottes :
il ne peut prendre les photos de la capsule Voskhod qui étaient prévues, car il ne peut plus atteindre le déclencheur situé sur sa poitrine.
Leonov constate alors que son scaphandre, au contact du vide, s’est dilaté et que, rigidifié, le moindre mouvement est devenu un véritable calvaire .
Il espère qu’il peut entrer dans le sas, par les pieds comme prévu.
Malheureusement, malgré ses efforts, il n’y arrive pas. Ses yeux sont remplis de sueur et la buée commence à recouvrir sa visière.
Engoncé dans son scaphandre bibendum , il ne parvient pas à se glisser dans l'écoutille les pieds les premiers, comme le prévoit la procédure.
Sans paniquer, il se retourne pour pénétrer la tête la première.
Ça rentre ! La première marche de l'homme dans l'espace a duré exactement douze minutes et neuf secondes.
Mais problème : les jambes restent coincées à l'extérieur du SAS
À l'envers, Leonov est incapable de fermer la trappe donnant sur le vide.
Il lui faut absolument se retourner.
Il s'y emploie de toutes ses forces, mais le voilà maintenant coincé .
Il prend la décision, nécessaire mais dangereuse, de baisser la pression, en manœuvrant une valve pour diminuer le volume de sa combinaison spatiale.
Elle descend de 0,40 à 0,25 atmosphère qui est la limite de sécurité, avant l’asphyxie.
Mais c’est encore insuffisant pour pénétrer dans le sas.
Selon les médecins de la mission, Leonov est alors au bord de la crise cardiaque, sa température corporelle
chute de 1,8°C en 20 minutes et il signale que sa combinaison est inondée de sueur jusqu'aux genoux...
Alors Leonov, grâce à sa force musculaire et sa détermination, va réussir l’impossible en se débattant.
Au prix d'un effort herculéen, il pivote suffisamment pour fermer la trappe.
Il retourne ensuite dans la cabine, littéralement épuisé, avec un cœur aux 143 battements par minute, une respiration deux fois plus élevée que la moyenne,
et une température remontant en très peu de temps à 38° C et un corps mouillé par la transpiration.
Une fois reposé, il immortalise sur son bloc de dessin et avec ses crayons, sa sortie dans l’Espace.
Une fois Leonov de retour sur sa couchette, Beliaïev largue le sas gonflable.
Il est a noter que Leonov portait avec lui une pilule de poison, au cas où il n'aurait pas pu retourner à l'intérieur de la capsule.
Voskhod retourne sur terre le 19 à 10 h 32 à 30 km de Perm, après une descente mouvementée réalisé manuellement (je ne détaille pas ici le nombre de galères qu'ils ont eu mais c'est un miracle qu'ils soit vivant )
Le vol a duré 26 h 02. L'équipage n'est récupéré que 24 heures plus tard.
Après avoir frôler le désastre le programme Voskhod est abandonné.
Petite vidéo de la sortie http://www.youtube.com/watch?v=Z91zYbHdL9E.
Et une archive de l'ina en français s'il vous plait (interessant au passage)
http://spacemedicineassociation.org/timeline/1965/1965/Voskhod%202/Alexi%20Leonov%20French.flv
Et bien entendu, le fait qu'on ai frôlé la catastrophe à été occulté par le polit buro
- tfpsly
- Messages: 2700
- Inscription Forum: 16 Jan 2004 2:05
- Localisation: FR @ Zurich
C'est sérieusement une réussitte extraordinaire que d'avoir conçu une technologie permettant à l'homme de survivre dans l'espace.
Je me demande encore comment cela a été possible considérant les radiations, le vide, les amplitudes effrayantes de température...
Et non je vous vois venir, je ne suis pas complotiste : je pense que l'homme a vraiment été dans l'espace
Mais que nous en restions désormais aux vols non habités pour l'exploration spatiale ? Cela me semble vraiment sage en l'état actuel de notre technologie : les risques sont trop grands et nos machines suffisent bien pour nous témoigner de ce qui se trouve là-bas...
Je me demande encore comment cela a été possible considérant les radiations, le vide, les amplitudes effrayantes de température...
Et non je vous vois venir, je ne suis pas complotiste : je pense que l'homme a vraiment été dans l'espace
Mais que nous en restions désormais aux vols non habités pour l'exploration spatiale ? Cela me semble vraiment sage en l'état actuel de notre technologie : les risques sont trop grands et nos machines suffisent bien pour nous témoigner de ce qui se trouve là-bas...
- Boc21
- Messages: 1459
- Inscription Forum: 08 Avr 2010 22:14
Ca ne doit pas être si compliqué d'aller dans l'espace boc
N'oublions en effet pas que des chiens, des singes et même des chats y ont été avant nous
(c'es factuel, je n'y peux rien)
N'oublions en effet pas que des chiens, des singes et même des chats y ont été avant nous
(c'es factuel, je n'y peux rien)
La configuration dans mon profil
Attention, il se peut que ce post comporte des private joke navrantes, des poils de troll, voire des morceaux de boulets. Employé de l'année 2015. Aussi connu comme Admin dada. M'embêtez pas.
-
Betekaa - Membre d'Honneur
- Messages: 52122
- Inscription Forum: 15 Jan 2002 2:00
- Localisation: omnichiant
Y'a des types encore plus fous (ou passionnés?) que moi
Les gars ont loué un avion privé pour intercepter l'éclipse au dessus de l'Atlantique
http://spaceweathergallery.com/indiv_up ... d_id=88945
Les gars ont loué un avion privé pour intercepter l'éclipse au dessus de l'Atlantique
http://spaceweathergallery.com/indiv_up ... d_id=88945
- Kins
- Messages: 1363
- Inscription Forum: 01 Aoû 2011 14:19
Kins a écrit:Y'a des types encore plus fous (ou passionnés?) que moi
Les gars ont loué un avion privé pour intercepter l'éclipse au dessus de l'Atlantique
Il n'y a rien de fou, juste une possibilité que tu n'as pas encore envisagée car elle t'a toujours semblée impossible.
5-10 K l'heure de jet/bimoteur privé en passant par une agence, vous êtes 10 à partager la facture, sincèrement 1 K chacun pour 2 heures de vol, cela peut tout à fait valoir le coup et ne me semble pas délirant.
L'idéal restant tout de même de s'entendre à l'amiable avec un pilote qui a du mal à payer ses heures de vol pour remplir son carnet, mais rann t'en parlera mieux que moi.
- Boc21
- Messages: 1459
- Inscription Forum: 08 Avr 2010 22:14
|
Retourner vers Se cultiver_apprendre |