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Films (débats, critiques), personnalités (acteurs, réalisateurs), prochaines sorties, les salles, la presse spécialisée...

Ce 007, est-il ?:

Le meilleur de tous les 007 (5/5)
15
23%
Un excellent 007 (4/5)
25
38%
Une bonne cuvée (3/5)
9
14%
Un 007 moyen (2/5)
9
14%
Un 007 décevant (1/5)
2
3%
C'est pas un 007 !!! (0/5)
6
9%
Obiwan n'est pas une James Bond girl !
0
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Skyfall (Bond 23) [Sondage]

Message » 04 Mar 2013 21:59

"Je suis resté sur ma faim après avoir vu ce dernier film de Bond. Surtout si l'on compare aux deux précédents épisodes explosifs.

Et surtout si l'on compare à ce qui se fait aujourd'hui par ailleurs, notamment sur Mission Impossible. "

Ou comment perdre toute crédibilité en 2 phrases.
Et ça ressemble justement pas en terme de style à Bourne ou 24h chrono. C'est là l'avantage (à contrario du précédent). On est à des années lumière de ça. Je crois que Keron a vu un autre film ou il a revu Quantum of solace sans le savoir.
Nikolai
 
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Message » 04 Mar 2013 22:41

Nikolai a écrit:"Je suis resté sur ma faim après avoir vu ce dernier film de Bond. Surtout si l'on compare aux deux précédents épisodes explosifs.

Et surtout si l'on compare à ce qui se fait aujourd'hui par ailleurs, notamment sur Mission Impossible. "

Ou comment perdre toute crédibilité en 2 phrases.
Et ça ressemble justement pas en terme de style à Bourne ou 24h chrono. C'est là l'avantage (à contrario du précédent). On est à des années lumière de ça. Je crois que Keron a vu un autre film ou il a revu Quantum of solace sans le savoir.


Bravo pour ton commentaire très éclairé qui illumine le forum ! :roll:


:mdr:
Keron
 
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Message » 04 Mar 2013 23:14

Pour t'aider un peu Nikolaï et trouver des références entre Skyfall et Jason Bourne :

Première :
Depuis 50 ans, la raison d’être de Bond se pose : qu’est-ce qui justifie la pérennité d’un personnage créé au milieu du siècle dernier pour consoler les Anglais de la chute de leur empire ? Aujourd’hui, l’ennemi communiste a été remplacé par un terrorisme international protéiforme. C’est pourquoi les héros de films d’espionnage (comme Jason Bourne : l’héritage, qui ressemble beaucoup à Skyfall) passent plus de temps à se poser des questions sur eux-mêmes qu’à remplir leurs missions, quand ils en ont.


Menly :
L’agent 007 peut-il réellement rivaliser face à Jason Bourne et sa clique ? Et s’il ne devait en rester qu’un ? Alors que 007 était jusqu’ici la référence des espions, l’arrivée de Jason Bourne l’a d’abord ringardisé… avant de l’obliger à se réinventer.

Avant, le seul tourment dont souffrait 007 était de trouver un barman servant la vodka-martini au shaker et non à la cuillère, et une fille à honorer dans sa suite de luxe du Palm Beach de Monte Carlo le soir même. Mais ça, c’était avant. L’époque bénie de la guerre froide, des gadgets et des traits d’humour balancés avec nonchalance, un pistolet sur la tempe. L’époque de l’inimitable Sean Connery, du cynique Roger Moore et du falot Thimothy Dalton…

Depuis, Jason Bourne est passé par là. Bien qu’ils aient fait moins d’entrées et rapporté moins de pognon à l’exploitation, les 4 films de la saga développée à partir des bouquins de Robert Ludlum ont bouleversé la donne des films d’action/espionnage et instauré de nouveaux standards. Et c’est une ré-vo-lu-tion ! Jusqu’à 2002 et malgré quelques tentatives de glisser des concurrents (Bryan Mills dans Taken), 007 demeurait la référence, celui dont on s’inspirait. L’arrivée fracassante de Matt Damon a tout changé.

Torturé, mélancolique et hanté par un passé dont il ne souvient pas, Bourne est un anti-héros auquel il est facile de s’identifier. Difficile d’en faire autant avec un type qui passe son temps dans les suites de luxe en smoking, ou à rouler en Aston Martin. Sans aller jusqu’à faire de Bond un type lambda, on sent désormais chez les responsables de la franchise bondienne une volonté d’inscrire leur héros dans l’air du temps en modernisant les aspects surannés qui ont fait sa légende, tout en jonglant avec les contraintes dictées par les fans hardcore de 007, qui avaient déjà soulevé un tollé au moment de la nomination de Daniel Craig (« Un blond aux yeux bleus ? WTF ?« )


Et les références sont nombreuses sur le net. Références que je n'avais pas lues avant de donner mon opinion sur ce point.
Keron
 
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Message » 05 Mar 2013 0:05

Si vous prenez la peine de lire les bouquins de Flemming, et de re-regarder les 1er films, étrangement le personnage de Bond et de Bourne ne sont pas dissemblable, tous les 2 écorchés, rebelles du système, mais avec un grand sens du devoir.
L'arrivée de Bourne n'a fait qu'obliger les producteurs de Bond à revenir aux basiques, en oubliant ceux qui avait donné le "la" (Moore et Brosnan) du dandy dragueur qui fait faire le boulot par les gadgets.
wookie
 
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Message » 05 Mar 2013 11:33

Hello,

Casino Royal est de mon point de vue et globalement, plus efficace, plus épuré et finalement, d'une certaine manière, plus implacable, que Skyfall. Je n'évoque même pas QoS qui n'est pas un sujet :hehe: .

Par contre pour la photo, faut pas déconner, Skyfall se balade tout seul.

D'autre part, ce dernier est également beaucoup plus ambitieux.

En tant que film anniversaire, l'exercice était assurément bien plus périlleux qu'un Casino Royal.
J'ai un peu de mal à comprendre qu'on le trouve creux, tant le retour dans l'œuf préalable à la renaissance de la franchise au 21 ième siècle, est opéré avec maestria que ce soit visuellement ou scénaristiquement.
Ce film revisite, critique, glorifie la franchise, ses enjeux et son histoire pour entériner ce qui in fine l'ancre dans le présent (il y a une thèse à faire sur ce film...). Réaliser ça tout en offrant un spectacle de cette qualité, c'est à dire, tentant au maximum d'établir 2 niveaux de lecture qui s'enrichissent sans surtout se nuire, est un tour de force qui personnellement m'a scotché.
Le seul bémol, c'est une trame dramatique un peu gênée aux entournures se traduisant par quelques grossièretés évènementielles. C’est pour cela, que Casino Royal est un film plus efficace. Mais personnellement, je lui préfère la rareté de l’intention si brillement mise en œuvre de Skyfall.
Dernière édition par Unjeff le 09 Nov 2015 10:53, édité 2 fois.
Unjeff
 
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Re:

Message » 05 Mar 2013 12:04

wookie a écrit:Si vous prenez la peine de lire les bouquins de Flemming, et de re-regarder les 1er films, étrangement le personnage de Bond et de Bourne ne sont pas dissemblable, tous les 2 écorchés, rebelles du système, mais avec un grand sens du devoir.
L'arrivée de Bourne n'a fait qu'obliger les producteurs de Bond à revenir aux basiques, en oubliant ceux qui avait donné le "la" (Moore et Brosnan) du dandy dragueur qui fait faire le boulot par les gadgets.



Même au lit, il fait faire le boulot par des gadgets ? :wtf:

Sinon, mon souci avec ce Bond, c'est Sam Mendes. C'est poseur, creux, vide, sans matière hormis des traumas de comptoir et dans ce rôle Craig et la direction d'acteur de Mendes montrent vite leurs limites. Mais bon pas étonnant quand on voit les films du sieur, hormis American Beauty qui tient surtout sur le scénario d'Alan Ball et Jarhead, plutôt réussi sans être un chef d'œuvre.
sopor
 
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Message » 05 Mar 2013 12:14

Trauma de comptoir, c'était plutôt Casino Royale avec son histoire d'amour à deux balles...
Arsenic
 
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Message » 05 Mar 2013 12:24

Concernant Miss Moneypenny, vous avez une explication sur cette fin de film ?

Car cette dame a toujours été la secrétaire de M. Or ici on a le sentiment qu'elle débarque à la fin du film et se donne ce nom et ce poste.
Je suis passé à côté d'un détail ?
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Message » 05 Mar 2013 12:53

Le texte de Menly sur les parallèles entre Jason Bourne et James Bond perd déjà toute crédibilité quand il parle du "cynique Roger Moore". S'il y a bien un truc où Moore n'était pas crédible face à Connery, c'était côté cynisme. La différence essentielle dans le jeu des deux c'est que Roger Moore semblait mal à l'aise dans ses premiers films quand il devait brutaliser quelqu'un pour obtenir des informations, là où Sean Connery distribuait les baffes et les coups sans complexe, et justement avec cynisme. Au moment de L'Espion qui m'aimait, les scénaristes ont compris qu'ils devaient plutôt utiliser ça à leur avantage plutôt que d'imiter le personnage joué par Connery et ils ont fait de James Bond un type qui ne tue presque que quand il y est obligé. Après, il blague ou il ironise mais c'est plus pour dédramatiser la chose que parce qu'il a plaisir à le faire. Quant au "falot Timothy Dalton", je dirais que côté expressivité Brosnan était bien pire, alors qu'il est bien meilleur acteur sur ses autres films.

De même que les Jason Bourne aient eu une influence sur les premiers Daniel Craig (surtout Quantum, où on a repris le monteur qui bosse avec Paul Greengrass) n'est pas si choquant que ça. Les films ont louché vers la blaxploitation, le kung-fu, Star Wars, Indiana Jones, Miami Vice, les Luc Besson au cours de leur histoire. Les aventures d'Harry Palmer (produites par Harry Saltzman dans les années 60) et la mode des cuts brusques ont influencé Au service secret de sa majesté. Alors autant s'inspirer (sans repomper) des idées d'une des rares tentatives valables de film d'espionnage contemporain.

Sinon, les objectifs de Casino Royale (avec un E à la fin du titre français, dans le roman, c'est le Casino de Royale-les-Eaux, en France) étaient de refonder la série après les fiascos critiques de Le Monde ne suffit pas et surtout de Meurs un autre jour, phagocyté par les images de synthèse, des rebondissements abracadabrants et les références aux films précédents (histoire de marquer le 20ème film de la série).
James Bond était surtout devenu un héros d'aventures prétexte à des cascades impossibles, des décors exotiques, des gadgets, des blagues lestes, des scènes comiques avec Moneypenny et des rituels (Shaken, not stirred, "Rendez-le moi en bon état"...) à peu près aussi attendus que les étapes d'une séance du Rocky Horror Picture Show. Du coup, les scénarios se répétaient. Il y avait forcément le méchant mégalo, la base secrète avec plein de sous-fifres, la fille à protéger qui repoussait Bond puis finissait par être conquise, une deuxième James Bond Girl méchante ou ambiguë, le second du méchant qui affronte Bond en corps à corps, etc.
C'est dommage parce qu'il y avait parfois de bons éléments au début des films, des variations valables, mais on retombait beaucoup trop vite dans la formule. Et Judi Dench était bien plus intéressante que les précédents M.

Avec Casino Royale, l'objectif était de rompre avec le folklore et les à-côtés et de se recentrer sur le personnage pour le rendre à nouveau intéressant, plutôt que complètement prévisible. Pour moi, le moment marquant du film c'est cette petite scène où on lui demande s'il veut sa vodka au shaker ou à la cuillère et où il montre bien qu'il s'en cogne encore royalement. Au delà du style plus réaliste, il y a cette volonté de ne plus tout tenir pour acquis. Et de montrer l'évolution de Bond entre le début et la fin, entre le moment où il est encore un simple agent inexpérimenté et risque-tout et celui où il est un type brisé par la mort d'une femme qu'il aimait sincèrement, qui va désormais masquer ses sentiments sous une pointe de cynisme et de dandysme. Exactement comme dans le roman de Fleming.

La grosse erreur de Quantum of Solace, c'est d'avoir encore plus dépouillé Bond de ses traits caractéristiques, au point que ça n'est plus qu'un médiocre film d'espionnage trop repompé du style des Bourne de Paul Greengrass avec simplement Daniel Craig dans le rôle principal et une organisation nébuleuse qui fait fatalement penser à SPECTRE (mais faut pas prononcer le nom, sinon procès).

Ce que fait Skyfall, c'est ce que Quantum of Solace aurait dû faire. De même qu'on avait mieux exploité le potentiel de James Bond dès Casino Royale (et je pense que Craig joue un grand rôle là-dessus, c'est le genre de type qui fait des suggestions constructives concernant son personnage dans ses scènes), on réintroduit un M, un Q ou une Moneypenny qui peuvent avoir d'autres facettes, sans être non plus en porte-à-faux avec la tradition des aventures précédentes.
Il y a aussi plein d'allusions (discrètes) sur l'âge de la série, au travers du fait que le personnage principal serait usé ou inadapté au service, mais le boulot qui est très bien fait, c'est pour remotiver la présence d'un type comme James Bond dans les services secrets, face à des menaces terroristes qui n'ont plus de visage facile à identifier. Là, la scène qui résume tout, c'est la rencontre entre 007 et Q à la National Gallery, où Bond réplique face à la vantardise un peu puérile de Q qu'on aura toujours besoin d'un type pour décider s'il faut appuyer sur la gâchette et qu'il vaut mieux que ce soit lui.
Et on a un coup d'œil sur ses valeurs, déterminées par la fidélité au souvenir de quelques personnes (Vesper, l'ancienne M) et une certaine idée des traditions britanniques chahutées par la modernité (le coup du bouledogue en porcelaine qui a survécu à tout). Sans qu'il soit pour autant passéiste ou réac.
Du coup, la scène où il révèle qu'il a LA DB5 de Goldfinger et Opération Tonnerre dans son garage (et pas simplement une DB5 vintage, gagnée au jeu comme dans Casino Royale) m'a fait vraiment plaisir parce que, à ce stade du film, j'estimais qu'il avait gagné le droit de puiser dans la tradition des films précédents, sans que ça soit pour autant une resucée de ces films. Et c'est d'ailleurs à ce moment qu'on entend pour la première fois le thème de Monty Norman. C'est surtout à ce moment que les producteurs et les auteurs du film assument après deux films de "reboot" quasi-complet que Skyfall est bien le 23ème film d'une série cinquantenaire et que ça ne leur pèse plus pour autant. Ils en reprendront d'autres éléments ça et là sans essayer pour autant de faire les films précédents avec plus de moyens et en moins bien.
Sledge Hammer
 
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Message » 05 Mar 2013 14:09

Non mais moi je parle en terme de style et de mise en scène, le Skyfall n'a rien à voir avec Jason Bourne.
Comme il n'a rien à voir avec le style de Nolan quand on compare Skyfall et Batman. Même si le méchant et l'ambiance peuvent parfois rappeler justement cela.
La comparaison est totalement caduque, et tes quotes Neron en montrent encore plus l'absurdité.

Sinon préférer les 2 précédents à celui-là, pour moi c'est simplement faire preuve un peu de mauvais goût. Casino Royale est correct, mais ça n'a rien à voir en terme de cinéma avec Skyfall, où au moins là justement les images ont de la matière, du style. Le scénario est pas génial mais c'est contrebalancer par des séquences qui moi m'ont foutu par terre. Comme la séquence de siège à la fin en écosse. Une tuerie qui vaut toutes les scènes de quantum et de casino réunies.
Nikolai
 
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Re:

Message » 05 Mar 2013 16:41

Keron a écrit:Concernant Miss Moneypenny, vous avez une explication sur cette fin de film ?

Car cette dame a toujours été la secrétaire de M. Or ici on a le sentiment qu'elle débarque à la fin du film et se donne ce nom et ce poste.
Je suis passé à côté d'un détail ?


Non pas de détails. Dans Casino Royale et QoS, pas de Moneypenny. Par contre, il y a Tanner. On peut donc supposer un léger départ de la franchise qui profite de ce James Bond Begins pour introduire Moneypenny.

Elle débarque donc bel et bien à la fin du film, son nom de famille ayant été conservé inconnu jusqu'à la fin du film (il me semble d'ailleurs que même son prénom n'est pas prononcé jusque là).
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Message » 05 Mar 2013 17:39

tenia54 a écrit:
Keron a écrit:Concernant Miss Moneypenny, vous avez une explication sur cette fin de film ?

Car cette dame a toujours été la secrétaire de M. Or ici on a le sentiment qu'elle débarque à la fin du film et se donne ce nom et ce poste.
Je suis passé à côté d'un détail ?


Non pas de détails. Dans Casino Royale et QoS, pas de Moneypenny. Par contre, il y a Tanner. On peut donc supposer un léger départ de la franchise qui profite de ce James Bond Begins pour introduire Moneypenny.

Elle débarque donc bel et bien à la fin du film, son nom de famille ayant été conservé inconnu jusqu'à la fin du film (il me semble d'ailleurs que même son prénom n'est pas prononcé jusque là).


oui et c'est d'ailleurs un gros gap du scénario, elle et bond bosse ensemble mais il ne la connait pas , meme de prénom ...
wookie
 
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Message » 05 Mar 2013 18:06

wookie a écrit:oui et c'est d'ailleurs un gros gap du scénario, elle et bond bosse ensemble mais il ne la connait pas , meme de prénom ...


Pire encore, c'est quand même elle qui lui met une bastos et tout. Et un mois plus tard "au fait, tu t'appelles ?" :mdr:
tenia54
 
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Message » 05 Mar 2013 18:22

tenia54 a écrit:
wookie a écrit:oui et c'est d'ailleurs un gros gap du scénario, elle et bond bosse ensemble mais il ne la connait pas , meme de prénom ...


Pire encore, c'est quand même elle qui lui met une bastos et tout. Et un mois plus tard "au fait, tu t'appelles ?" :mdr:


D'autant qu'il a couché avec alors que la vraie miss a toujours eu une relation équivoque avec Bond. Enfin il me semble.
Keron
 
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Message » 05 Mar 2013 18:27

Keron a écrit:
tenia54 a écrit:
wookie a écrit:oui et c'est d'ailleurs un gros gap du scénario, elle et bond bosse ensemble mais il ne la connait pas , meme de prénom ...


Pire encore, c'est quand même elle qui lui met une bastos et tout. Et un mois plus tard "au fait, tu t'appelles ?" :mdr:


D'autant qu'il a couché avec alors que la vraie miss a toujours eu une relation équivoque avec Bond. Enfin il me semble.


tu confonds, elle le "touche" (la scene est d'ailleurs assez sympa) mais ca reste equivoque, ils ne s'embrassent meme pas.
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