lulumusique a écrit:albalkar a écrit:Il n'y a pas de confusions. Si le signal enregistré sur le support contient des composantes à plus de 20 kHz, il faut un support capable d'aller au delà. Il y a, le support, comment le signal y a été enregistré, et comment on le lit. Les limitations sur le vinyl sont fort probablement en début et en fin de chaine. Si on fait sauter une partie du verrou en fin de chaîne avec un capteur avec une BP plus large, il peut y avoir des surprises. Je vais tester tout ça avec des disques tests. Le vinyl n'est pas aussi limité que ça, en tout cas mes oreilles me disent le contraire. (Je vais bien voir si M.Placebo est passé par là )
Les limitations du vinyle sont la gravure et la reproduction. Le verrou de la gravure ne peut pas etre evite. Les inges sons sont oblige entre autres d'appliquer un passe bas assez bas en frequence (15-17kHz) et assez raide. Il n'y a pas de verrou a faire sauter au niveau de l'encodage car l'information n'est pas enregistree sur le support, elle ne peut donc pas etre recree.
Ajoutons-y la galvanoplastie et le pressage qui se situent entre la gravure et la reproduction... Mais bon, l'audiophilie a voulu mythifier le microsillon.
Voici ce que pense du microsillon l'un des plus grands restaurateurs d'enregistrement au monde : Lionel Risler qui a été assistant de prise de son avec André Charlin... Ce qu'il dit est partagé par l'immense majorité des preneurs de son dès lors qu'ils n'ont aucun intérêt dans le business qui suit leur travail.
http://www.youtube.com/watch?v=JiOAPm_X ... ure=relmfu