Au fait koji, ton Planar 8130 ne te manque pas trop ?
Si, j'ai commis une sacré erreur en le vendant avec du recul, mais l'an dernier je ne projetais plus du tout, plutot que de le laisser inutilisé j'avais choisi de m'en separer.
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Au fait koji, ton Planar 8130 ne te manque pas trop ?
kazuya a écrit:Must@ng a écrit:Oui c'est à dire ?
Je crois que tu aiguises notre curiosité là Kaz ....
En gros les JVC semblent avoir une sorte de gamma dynamique combiné à une tension dynamique des matrices.
Donc rien ne serait linéaire, au contraire du DLP.
kazuya a écrit:Propre à la technologie pas tout à fait puisque Sony n'use apparemment pas de ce procédé sur ses SXRD (ou moins), d'où la différence de contraste.
Lisible ne signifie pas que le résultat sera naturel, réaliste.
pando2 a écrit:kazuya a écrit:Propre à la technologie pas tout à fait puisque Sony n'use apparemment pas de ce procédé sur ses SXRD (ou moins), d'où la différence de contraste.
Lisible ne signifie pas que le résultat sera naturel, réaliste.
Ouai mais c'est là que j'aimerais comprendre. Qu'est ce qui détermine qu'elle est naturelle ou réaliste, notre œil ???
Parce que là j'ai la vague impression qu'il y aura autant de vérités que d'utilisateurs ..!!
Comment une aberration ou non-linéarité du gamma pourrait elle apparaitre à l’œil et pas sur les mesures ??
Peut être le projecteur n'applique pas le même gamma sur des mires et sur une image réelle ?? A cause de l'ansi moyen des Dila ??
Ça peut paraitre simpliste, mais le même gamma ( disons 2.22 ) donne un visuel très différent sur un JVC et un DLP. Moi la première cause qui me viens c'est le niveau de noir très différent. Le noir à 5% d'un DLP est équivalent au 15/20% d'un JVC. Rien que pour ça il me parais plus que normal qu'un ressemble à un 2.22 et l'autre à un 2.45 .
Si j'ai bien suivi la post-prod encode les film à 2.45. Ne serait ce pas en anticipation et pour compenser un noir "pas noir" des DLP et argentique des salles obscures ??
Car dans cette hypothèse on comprendrai aisément que ces derniers paraissent bouchés sur JVC.
La configuration dans mon profil
kazuya a écrit:pando2 a écrit:kazuya a écrit:Propre à la technologie pas tout à fait puisque Sony n'use apparemment pas de ce procédé sur ses SXRD (ou moins), d'où la différence de contraste.
Lisible ne signifie pas que le résultat sera naturel, réaliste.
Ouai mais c'est là que j'aimerais comprendre. Qu'est ce qui détermine qu'elle est naturelle ou réaliste, notre œil ???
Parce que là j'ai la vague impression qu'il y aura autant de vérités que d'utilisateurs ..!!
En gros, les normes de gamma et de couleurs ont été instituées à partir de ce que le plus grand nombre considère naturel.
Elles dépendent des caractéristiques de l’œil humain.
Le gamma en est l'élément le plus évident en fait, contrairement aux couleurs.
Exemple quand on regarde une image avec des noirs bouchés, il est peu probable de rencontrer qqun qui va te dire que non, lui voit des détails que tu ne vois pas.
Il en va de même pour le blanc et les intermédiaires.Comment une aberration ou non-linéarité du gamma pourrait elle apparaitre à l’œil et pas sur les mesures ??
Peut être le projecteur n'applique pas le même gamma sur des mires et sur une image réelle ?? A cause de l'ansi moyen des Dila ??
Là l'explication est simple : nos sondes qui mesurent des mires uniformes par alternance ne peuvent pas mesurer le gamma d'une image complexe.
Il faut un spectro Pro type Minolta qui, lui, peut mesurer une image complexe. Il pourrait mettre en évidence que le gamma évolue en fonction de la luminosité moyenne de l'image sur les JVC.
L'ANSI moyen c'est autre chose, car c'est une caractéristique fixe.
Fixe oui, mais absente dans la mesure de mire et de la calibration, alors que bien présente sur un film. Ce qui invalide ..+ ou - le résultat à l'image non ??
Mais ce qui ressort aussi c'est que la base noire de l'image évolue selon les scènes (à cause de la tension dynamique des matrices). Pour en être sûr c'est compliqué car il faudrait une salle sans aucune réflexion.
Il me semble que le noir d'une image à 30IRE en moyenne n'est pas du tout le même que celui d'une image à 5IRE, en tout cas avec un plus grand écart que celui des DLP (y a toujours des fuites optiques).Ça peut paraitre simpliste, mais le même gamma ( disons 2.22 ) donne un visuel très différent sur un JVC et un DLP. Moi la première cause qui me viens c'est le niveau de noir très différent. Le noir à 5% d'un DLP est équivalent au 15/20% d'un JVC. Rien que pour ça il me parais plus que normal qu'un ressemble à un 2.22 et l'autre à un 2.45 .
Si j'ai bien suivi la post-prod encode les film à 2.45. Ne serait ce pas en anticipation et pour compenser un noir "pas noir" des DLP et argentique des salles obscures ??
Car dans cette hypothèse on comprendrai aisément que ces derniers paraissent bouchés sur JVC.
p'tain abuse pas !
Le noir d'un bon DLP équivaut au 5% d'un JVC, voire peut-être moins si les noirs du JVC sont pas trop bouchés.
Edit : Ah tu parles du noir à 5%, ok. Je dirais que si la luminosité maximale est identique, les 10% de l'un et de l'autre sont à peu près équivalents. Donc la différence se crée en dessous.
Avec toi j'ai pas pu m'en empêcher ! Entre temps j'avais édité les 20%.
D'ailleurs en y réfléchissant, les 10% sont équivalents entre les deux puissent qu'ils sont calculés par rapport au 100% de blanc.
10IRE avec un gamma 2.2 = 0.60% de luminosité.
Donc avec 120lux, 10IRE = 0.72lux, peu importe le contraste natif.
La difficulté vient sous 10%, à cause de la résiduelle, de la technologie et de la sensibilité des sondes, notamment.
pando2 a écrit:L'ANSI moyen c'est autre chose, car c'est une caractéristique fixe.
Fixe oui, mais absente dans la mesure de mire et de la calibration, alors que bien présente sur un film. Ce qui invalide ..+ ou - le résultat à l'image non ??
Edit : Ah tu parles du noir à 5%, ok. Je dirais que si la luminosité maximale est identique, les 10% de l'un et de l'autre sont à peu près équivalents. Donc la différence se crée en dessous.[/b]
Avec toi j'ai pas pu m'en empêcher ! Entre temps j'avais édité les 20%.
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kazuya a écrit:Must@ng a écrit:Oui c'est à dire ?
Je crois que tu aiguises notre curiosité là Kaz ....
En gros les JVC semblent avoir une sorte de gamma dynamique combiné à une tension dynamique des matrices.
Donc rien ne serait linéaire, au contraire du DLP.
Emmanuel Piat a écrit:Une tension dynamique devrait se traduire par une élévation du bruit ds l'image au fur et à mesure qu'on descend ds les noirs : plus la tension de ref des panneaux descend et plus le rapport S/B du signal associé à chaque pixel se dégrade, d'où une élévation du bruit ds l'image...
J'aimerai vraiment connaître le CR on:off natif d'une matrice SXRD et DILA en absence de bidouille électronique. La dernière machine de Ciné 4K de Sony (SRX-R515) annonce fièrement un CR de 5000:1 pour une lum maxi de 15000 lumens (et au passage un rendement lumineux par Watt dépensé déplorable comme me l'a fait remarquer thxrd en PM). Apparemment Sony en est très fier puisqu'il parle d'un CR comme dans "la vrai vie" ("like in true life" si ma mémoire est bonne)...
Sachant que ces machines doivent être linéaire en échelle de gris, je me demande si la limite physique de ce type de panneau n'est pas ds ces eaux-là...
Pour le rendu qui semble différent entre JVC et les autres, je ne suis guère étonné. Des variations infimes du gamma ds les 1er IRE ainsi que des petites variations dans la répartition du gamma entre tons sombres, moyens et clairs peuvent influencer de manière énorme sur le rendu d'une image...
La question du gamma correspondant à une image naturelle est à mon avis de faible importance en image ciné... La question importante serait plutôt de savoir quel sont le CR on:off, le gamma, le réglage de la lum (BTB) et du contraste (WTW) et l'environnement utilisé (noir, pénombre, ...) par les pro pour faire l'étalonnage du film en post-prod. Ce réglage conditionne la sensation de contraste présent ds l'image. Une fois cela connu, la question qui se pose est alors comment sur un diffuseur avec des caract. différentes et un env. différent se rapprocher au mieux de la même sensation de contraste ... Donc l'image "naturelle" pour moi, c'est celle voulue par le réal lors de l'étalonnage. Si un diffuseur "sur-contraste" par exemple le choix de l'image voulue par le réal, on ne verra plus du tout la même image ... Et AMHA, on a vite fait de s'écarter si les diffuseurs utilisés pendant l'étalonnage et la proj chez soi sont différents...
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skate a écrit:Bonjour à tous,
En dehors de ce que l'on peut trouver sur les sites, il y en a t-il parmi vous qui on pu faire des tests comparatifs entre Optoma HD87 et Infocus SP8604, et me communiquer objectivement leurs résultats/impressions ?
Merci de vos réponses...
@+
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