aucun des cas ne sera réellement adapté à la réalité d'une enceinte sans considérer d'une part le rayonnement du transducteur lui-même (impédance de rayonnement par prise en compte de la forme et du profil de cône ...) et d'autre part les diffractions successives (ordres) sur les arrêtes des différentes faces de l'enceinte. Pour la première part LEAP modélise le cône (plat, conique, dôme) par un réseau de "pseudo" sources ponctuelles agencées selon la géométrie du cône. Ces sources sont alimentées via des fonctions de transfert qui tiennent compte de la forme et du profil du cône. Pour la deuxième part, Leap reprend le modèle de diffraction par une arrête rigide issu des travaux de Biot-Tolstoy (arrête infinie) et discrétise l'arrête en autant d'éléments que nécessaire. La taille fini de chaque élément détermine la résolution des calculs (Fmax) et la convergence des calculs (en lien avec l'ordre de diffraction souhaité ...). Pour une boite parallélépipédique (6 faces) un ordre 4 suffit, au-delà la contribution dans la réponse globale est faible (il y a quand même dans ce cas un peu plus de 2400 trajets de diffraction à considérer ...) et un PC actuel prend à peu près 10s de temps calculFrancisbr a écrit:JIM a écrit:Le modèle que j'ai utilisé correspond à un comportement sur 2PI, en baffle infinie.
Mon doute concerne justement cette hypothèse...
En clair, je me demande si le modèle du piston à l'extrémité d'un tube n'est pas mieux adapté pour représenter la directivité d'une enceinte acoustique...
C'est un peu compliqué mais c'est le prix à payer pour représenter la directivité d'une enceinte acoustique ...
Je ferai quelques sim comparatives baffle infini, tube, enceinte