Minuit à Paris de Woody Allen en Blu-Ray
Résumé : Un jeune couple d’américains dont le mariage est prévu à l’automne se rend pour quelques jours à Paris. La magie de la capitale ne tarde pas à opérer, tout particulièrement sur le jeune homme amoureux de la Ville-lumière et qui aspire à une autre vie que la sienne.
Vu ce jour. Amusant mais j'aurai aimé que le rėalisateur soit plus critique envers le mode de vie des riches. Entre les chaises à 20000 dollars et les repas ėtoilés à la va vite (comme un macdo) .... J'ai du mal. Ce Paris superbe me gêne en temps de crise. Je sais que ma critique est à côté de la plaque, mais les films avec des gens beaux et riches, en ce moment ça me gonfle.
4/10.
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Films (débats, critiques), personnalités (acteurs, réalisateurs), prochaines sorties, les salles, la presse spécialisée...
vddan a écrit:Et non Une fille sur le topic suffit.....de plus Belge
Et tu lui reproches quoi à la fille belge du topic?
- Fabi
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Pièce montée
Fabi67 a écrit:Pièce Montée
Je viens de revoir ce film. Cela doit faire la 3ème fois.
D'accord, ce n'est pas du cinéma de haute volée... mais je trouve qu'il trimballe pas mal d'émotions et moi, je le trouve touchant.
Danielle Darrieux et Jean-Pierre Marielle qui sont passés à côté de leur vie, ça donne à réfléchir sur les choix qu'on ne fait pas.
Quel couple tendre et magnifique!
8/10
J'adore définitivement ce film sans âge, tellement peu à la mode qu'il ne sera jamais démodé, contrairement à la grande majorité des comédies qui se sentent obligées de coller à l'air du temps.
Du cinéma de papa, des situations trop énormes, un scénario proche de celui du théâtre de boulevard, un alliage improbable de comédiens.
Un mélange assez effrayant, n'est-ce-pas ? Et le résultat est : un pur bijou de comédie, de tendresse, d'émotion, des comédiens magnifiquement dirigés (dont un des couples les plus émouvants vu depuis longtemps dans le cinéma français : Darrieux-Marielle). Un miracle tout simplement. Attention, je sais que ce film risque de laisser à la porte un paquet de monde.
Note : 8/10
Ah, les fameux choix qu'on ne fait pas...
- takeshi29
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jacko a écrit:vddan a écrit:PS : d'ailleurs tu as ma photo sur mon blog............................oui je sais cela fait peur !
On dirait trop George Lucas !
Bof..........à part la barbe
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vddan - Membre HCFR
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Fabi67 a écrit:vddan a écrit:Et non Une fille sur le topic suffit.....de plus Belge
Et tu lui reproches quoi à la fille belge du topic?
Mais rien, mais rien...................
D'ailleurs, bon choix pour PIECE MONTEE !!
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vddan - Membre HCFR
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vddan a écrit:jacko a écrit:vddan a écrit:PS : d'ailleurs tu as ma photo sur mon blog............................oui je sais cela fait peur !
On dirait trop George Lucas !
Bof..........à part la barbe
Tu n'as plus ta barbouze ?
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Tout peut se mesurer et se calibrer du moment qu'on dispose des bons outils.
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jacko - Membre d'Honneur - Contributeur & Délégué
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Si bien sur !! surement jusqu'à la fin
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vddan - Membre HCFR
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- Localisation: saone et loire
Rammbock: Berlin Undead
de Marvin Kren
Avec Sebastian Achilles, Melanie Berke, Emily Cox...
Alors que Michael arrive à Berlin pour rendre visite à Gabi, son ex-petite amie adorée, un terrible virus – transformant le commun des mortels en tueur sanguinaire – se propage rapidement à travers la ville. Michael, s’inquiètant de ne pas trouver Gabi chez elle, fait la rencontre d’Harper, un jeune apprenti plombier qui effectue des travaux dans l’immeuble. Ensemble, ils parviennent à se barricader tandis que des hordes contaminées par le virus envahissent les lieux. Cernés par ces zombies assoiffés, Michael et Harper doivent combattre pour défendre leur vie et il leur faudra user de toute leur ingéniosité pour survivre et retrouver Gabi.
Ça n'a l'air de rien comme ça, en lisant le scénario, mais ça prouve qu'avec des bouts de ficelle on peut arriver à construire un petit film (1 h 01 mn au compteur) d'horreur, pas trop gore et pas trop bête. Tourné en décors naturels, sur les lieux même de l'action, j'ai l'impression que certains figurants étaient des locataires de l'immeuble...
Vite fait, bien fait.
14/20
de Marvin Kren
Avec Sebastian Achilles, Melanie Berke, Emily Cox...
Alors que Michael arrive à Berlin pour rendre visite à Gabi, son ex-petite amie adorée, un terrible virus – transformant le commun des mortels en tueur sanguinaire – se propage rapidement à travers la ville. Michael, s’inquiètant de ne pas trouver Gabi chez elle, fait la rencontre d’Harper, un jeune apprenti plombier qui effectue des travaux dans l’immeuble. Ensemble, ils parviennent à se barricader tandis que des hordes contaminées par le virus envahissent les lieux. Cernés par ces zombies assoiffés, Michael et Harper doivent combattre pour défendre leur vie et il leur faudra user de toute leur ingéniosité pour survivre et retrouver Gabi.
Ça n'a l'air de rien comme ça, en lisant le scénario, mais ça prouve qu'avec des bouts de ficelle on peut arriver à construire un petit film (1 h 01 mn au compteur) d'horreur, pas trop gore et pas trop bête. Tourné en décors naturels, sur les lieux même de l'action, j'ai l'impression que certains figurants étaient des locataires de l'immeuble...
Vite fait, bien fait.
14/20
- tupeutla
- Messages: 5381
- Inscription Forum: 02 Oct 2000 2:00
- Localisation: Meudon
Brokeback Mountain : Arte HD
Une pu.tain de belle histoire d'amour au pays des cow-boys ! Paysages et interprétation remarquable
19/20
Une pu.tain de belle histoire d'amour au pays des cow-boys ! Paysages et interprétation remarquable
19/20
- Salvor Hardin
- Messages: 23714
- Inscription Forum: 27 Oct 2004 11:21
- Localisation: A droite en sortant du frigo...
Salvor Hardin a écrit:Brokeback Mountain : Arte HD
Une pu.tain de belle histoire d'amour au pays des cow-boys ! Paysages et interprétation remarquable
19/20
Beurk !
- tupeutla
- Messages: 5381
- Inscription Forum: 02 Oct 2000 2:00
- Localisation: Meudon
tupeutla a écrit:Salvor Hardin a écrit:Brokeback Mountain : Arte HD
Une pu.tain de belle histoire d'amour au pays des cow-boys ! Paysages et interprétation remarquable
19/20
Beurk !
La note doit pas être top...
- opbilbo
- Messages: 47419
- Inscription Forum: 12 Juil 2006 11:56
tupeutla a écrit:Salvor Hardin a écrit:Brokeback Mountain : Arte HD
Une pu.tain de belle histoire d'amour au pays des cow-boys ! Paysages et interprétation remarquable
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Beurk !
Le camping sauvage ne te plait pas
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Et je regardai, et je vis apparaitre un cheval couleur pale, et son cavalier se nommait la Mort, et l'enfer le suivait...Bigre c'est terrifiant tout çà !!
- rann
- Membre HCFR
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ni les films de gladiateur
- Salvor Hardin
- Messages: 23714
- Inscription Forum: 27 Oct 2004 11:21
- Localisation: A droite en sortant du frigo...
Le Sacrifice
Titre original : Offret
Réalisation : Andreï Tarkovski
Scénario : Andreï Tarkovski
Acteurs principaux : Erland Josephson, Susan Fleetwood, Valérie Mairesse, Allan Edwall, Gudrun Gisladottir, Sven Wollter, Filippa Franzen, Tommy Kjellqvist
Pays d’origine : Suède / Royaume-Uni / France
Sortie : 1986
Durée : 149 min
Synopsis : "Alexandre est un ancien comédien qui vit avec sa famille sur une île au large des côtes suédoises. Un soir, une catastrophe mondiale survient alors qu'il fête son anniversaire avec des amis. Celui-ci fait le vœu d'offrir ce qu'il a de plus cher si tout revient comme avant."
Le Sacrifice est mon premier Tarkovski. Une découverte complète.
Et quelle découverte!
Pas seulement celle d'un film puissant et visuellement superbe, mais surtout celle d'un réalisateur assez incroyable.
Tellement passionnant que d'article en article, j'ai consacré une bonne partie de la nuit à dévorer tout ce qui me tombait sous les yeux à propos de ce réalisateur étonnant.
Je suis fascinée par cet homme sans concessions, exigeant avec lui-même et avec son art, persévérant, préférant affronter l'hostilité du public plutôt que de renoncer à réaliser les films qui lui tenaient à coeur.
Il croyait en ses idées, jusqu'au bout et malgré tout.
Cette intransigeance, il la transpose dans ses films, estimant que « L’artiste est ainsi un serviteur, éternellement redevable du don qu’il a reçu comme par miracle »
Et même si je suis (très) loin de partager les thèmes présents dans "Le Sacrifice" (la croyance religieuse comme moyen ultime pour combattre le matérialisme de notre monde moderne, le don de soi pour sauver le monde,...) je ne peux qu'admirer la farouche cohérence de ses valeurs et de leur transposition dans ce film, et surtout sa notion de responsabilité individuelle.
« Le personnage principal de mon film, Le Sacrifice, est un homme faible, au sens courant du terme. Il n’est pas un héros, mais un penseur et un homme honnête, capable de sacrifier pour un idéal élevé. Quand la situation l’exige, il n’esquive pas ses responsabilités ni ne les renvoie vers les autres. Et il prend le risque d’être incompris par les autres, car sa façon d’agir n’est pas seulement radicale mais aussi affreusement destructrice aux yeux des ses proches.
C’est là que réside la force particulièrement dramatique et véridique de son acte. Néanmoins, il exécute cet acte et franchit avec lui le seuil du comportement accepté comme normal. Il prend donc le risque d’être qualifié de fou, parce qu’il a conscience d’appartenir à un tout, ou si l’on veut, au destin du monde ».
Le Sacrifice est le dernier film d'André Tarkovski qui mourut le 29 décembre 1986.
Andreï Tarkovski, c'est aussi :
L'Enfance d'Ivan (1962)
Andreï Roublev (1966)
Solaris (1972)
Le Miroir (1974)
Stalker (1979)
Nostalghia (1983)
J'ai découvert avec Le Sacrifice un très beau film mais surtout un artiste à l'intégrité admirable.
Titre original : Offret
Réalisation : Andreï Tarkovski
Scénario : Andreï Tarkovski
Acteurs principaux : Erland Josephson, Susan Fleetwood, Valérie Mairesse, Allan Edwall, Gudrun Gisladottir, Sven Wollter, Filippa Franzen, Tommy Kjellqvist
Pays d’origine : Suède / Royaume-Uni / France
Sortie : 1986
Durée : 149 min
Synopsis : "Alexandre est un ancien comédien qui vit avec sa famille sur une île au large des côtes suédoises. Un soir, une catastrophe mondiale survient alors qu'il fête son anniversaire avec des amis. Celui-ci fait le vœu d'offrir ce qu'il a de plus cher si tout revient comme avant."
Le Sacrifice est mon premier Tarkovski. Une découverte complète.
Et quelle découverte!
Pas seulement celle d'un film puissant et visuellement superbe, mais surtout celle d'un réalisateur assez incroyable.
Tellement passionnant que d'article en article, j'ai consacré une bonne partie de la nuit à dévorer tout ce qui me tombait sous les yeux à propos de ce réalisateur étonnant.
Je suis fascinée par cet homme sans concessions, exigeant avec lui-même et avec son art, persévérant, préférant affronter l'hostilité du public plutôt que de renoncer à réaliser les films qui lui tenaient à coeur.
Il croyait en ses idées, jusqu'au bout et malgré tout.
Cette intransigeance, il la transpose dans ses films, estimant que « L’artiste est ainsi un serviteur, éternellement redevable du don qu’il a reçu comme par miracle »
Et même si je suis (très) loin de partager les thèmes présents dans "Le Sacrifice" (la croyance religieuse comme moyen ultime pour combattre le matérialisme de notre monde moderne, le don de soi pour sauver le monde,...) je ne peux qu'admirer la farouche cohérence de ses valeurs et de leur transposition dans ce film, et surtout sa notion de responsabilité individuelle.
« Le personnage principal de mon film, Le Sacrifice, est un homme faible, au sens courant du terme. Il n’est pas un héros, mais un penseur et un homme honnête, capable de sacrifier pour un idéal élevé. Quand la situation l’exige, il n’esquive pas ses responsabilités ni ne les renvoie vers les autres. Et il prend le risque d’être incompris par les autres, car sa façon d’agir n’est pas seulement radicale mais aussi affreusement destructrice aux yeux des ses proches.
C’est là que réside la force particulièrement dramatique et véridique de son acte. Néanmoins, il exécute cet acte et franchit avec lui le seuil du comportement accepté comme normal. Il prend donc le risque d’être qualifié de fou, parce qu’il a conscience d’appartenir à un tout, ou si l’on veut, au destin du monde ».
Le Sacrifice est le dernier film d'André Tarkovski qui mourut le 29 décembre 1986.
Andreï Tarkovski, c'est aussi :
L'Enfance d'Ivan (1962)
Andreï Roublev (1966)
Solaris (1972)
Le Miroir (1974)
Stalker (1979)
Nostalghia (1983)
J'ai découvert avec Le Sacrifice un très beau film mais surtout un artiste à l'intégrité admirable.
- Fabi
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jacko a écrit:vddan a écrit:PS : d'ailleurs tu as ma photo sur mon blog............................oui je sais cela fait peur !
On dirait trop George Lucas !
So true!
- hydrosaure
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- Inscription Forum: 12 Sep 2005 14:49
- Localisation: Strasbourg
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