Perso c'est le contraire : j'ai été frustré du manque de profondeur du perso Zuckerberg. J'aurais aimé en savoir plus sur lui. D'un autre côté, vu sa jeunesse extrême, il n'y avait peut être pas grand chose à en dire vu qu'il n'avait pour ainsi dire pas vécu
Autrement dit, une fois qu'on a dit qu'il était surdoué en info, qu'il avait envie de baiser des belles nanas vu son taux de testostérone, qu'il voulait faire qqchose d'inédit pour des raisons assez obscures ds le film (briller ds un contexte social + technique donné ??? ), on a tout dit...
Du coût, pour gagner de la substance et donner illusion, le film embraye sur l'aspect "avocats" des choses avec un jeu de flashbacks pour raconter son histoire. C'est une habile construction de scénariste, mais au final, tout cela reste bien vide. Et on n'échappe pas à des clichés comme l'ambiance sex sun and drug qui prévaut partout chez les étudiants à cet âge là...
Cependant, le point intéressant que j'ai trouvé dans ce film, c'est qu'il défend la thèse que le concept de facebook, sa genèse, est né dans un esprit d'adolescent qui voulait faciliter les rencontres entre les ados/jeunes adultes d'abord sur Harvard (il y a une scène dans le film qui montre comment ce déclic se fait qd un ado vient lui rendre visite dans une salle d'info) puis ds d'autres univ. puis ensuite le concept s'est élargi au monde entier. Donc on est passé d'un concept social restreint à un concept global qui a aujourd'hui un impact sur la planète entière et sur toute la société de l'information, toutes cultures confondues...