► CRITIQUES des derniers films vus

[vddan]

Et le film est très bien contrairement à ce qu'il est dit plus haut. Il suffit d'être adulte pour pouvoir apprécier.

+1

[Fabi]

J'avais lu quelque part sur le forum un commentaire sur les goûts moyens de Tupeutla. J'y croyais pas, au départ...

[opbilbo]

L'affiche de Louise pour la planète des singes aurait plu au Tup !

[tupeutla]

L'affiche de Louise pour la planète des singes aurait plu au Tup !

kesako ?

[opbilbo]

Joker !

[takeshi29]

Résumé : Communiste, anticolonialiste, d'extrême droite ? Quelle conviction guide Jacques Vergès ? Barbet Schroeder mène l'enquête pour élucider le " mystère ". Au départ de la carrière de cet avocat énigmatique : la guerre d'Algérie et Djamilah Bouhired, la pasionaria qui porte la volonté de libération de son peuple. Le jeune homme de loi épouse la cause anticolonialiste, et la femme. Puis disparaît huit ans. A son retour, Vergès défend les terroristes de tous horizons (Magdalena Kopp, Anis Naccache, Carlos) et des monstres historiques tels que Barbie. D'affaires sulfureuses en déflagrations terroristes, Barbet Schroeder suit les méandres empruntés par " L'avocat de la terreur ", aux confins du politique et du judiciaire. Le cinéaste explore, questionne l'histoire du " terrorisme aveugle " et met à jour des connexions qui donnent le vertige.
Réalisé par Barbet Schroeder
Avec Jacques Vergès, Béchir Boumaza, Hans-Joachim Klein...
Origine : France
Genre : Documentaire
Durée : 135'
Date de sortie cinéma : 6 juin 2007
Année de production : 2007

Schroeder est décidément un formidable documentariste, comme il l'avait déjà montré avec le très réussi "Général Idi Amin Dada : Autoportrait". Pourquoi ? Certainement parce qu'il choisit bien son "acteur", celui-ci ayant tous les atouts d'un extraordinaire personnage de fiction : la complexité, l'envoutement ou le dégoût qu'il provoque, un parcours exceptionnel au sens littéral du terme, le mystère qui entoure sa vie. Mais Schroeder a la qualité essentielle qui manque à bien des documentaristes : la faculté impressionnante à ne pas céder à une tentation pourtant évidente, celle de juger l'être terrifiant qu'il a sous l'oeil de sa caméra. Et c'est justement cette mise à distance, cette manière froide de montrer des faits, rien que des faits, qui permet au spectateur de se trouver face à sa propre complexité. Bref un documentaire passionnant, foisonnant qui débouche en plus sur une introspection déstabilisante.

Note : XXX

[led balloon]

Celui là, je l'ai vu au cinéma lors de sa sortie et il m'a laissé une impression durable. Voilà un film que tout le monde devrait voir, on en apprend beaucoup sur notre histoire récente.

[takeshi29]

Et encore plus impressionnant quand on le revoit pour la deuxième fois, il est tellement riche.

[Fabi]

Les Femmes de l'Ombre


Résumé : Printemps 1944. Une Française fuit à Londres après la mort de son mari. Recrutée par une section française d'espionnage, elle reçoit sa première mission: l'exfiltration d'un agent britannique prisonnier qui sait tout du débarquement prochain.
L'homme n'a pas encore parlé mais le temps presse. Louise doit d'abord constituer un commando de femmes spécialement choisies pour les besoins de l'opération.Un hommage aux femmes de la Résistance.



Réalisateur :Jean-Paul Salomé

Avec : Sophie Marceau, Marie Gillain, Julie Depardieu, Robin Renucci, Déborah François,...

Un hommage aux femmes qui ont lutté contre la barbarie nazie...louable intention!
Mais quel gâchis au final.
De grossières erreurs de casting (Sophie Marceau), des répliques qui sonnent faux, une réalisation à la 6-4-2, (et j'en passe) font de ce film un bien piètre hommage aux femmes.
Je n'avais pas vu grand-chose de Salomé, juste Les Braqueuses, il y a bien longtemps, mais je n'avais pas le souvenir d'un tel désastre.
Quelle platitude, ce film! Invraisemblable et abracadabrant. Pire: navrant!
Jean-Pierre Salomé ou l'Art du petit film de l'après-midi qu'on ne regarde que d'un oeil en effectuant les tâches ménagères.

C'est dans ces moments que je regrette de ne pas avoir de système de notes : Zéro! (parce que je n'aime pas perdre mon temps et que ce film donne une image caricaturale et grotesque de la femme)

[takeshi29]

[led balloon]

Et encore plus impressionnant quand on le revoit pour la deuxième fois, il est tellement riche.

Il est certain que c'est un film que je reverrais un de ces quatre.

[led balloon]

Aguirre, la colère de dieu
Réalisé par : Werner Herzog
Avec : Klaus Kinski , Alejandro Repulles , Cecilia Rivera


En 1560, une troupe de conquistadors espagnols descend de la montagne à la recherche de l'Eldorado. Mais l'équipée s'enlise dans les marais. Une plus petite expédition est alors constituée, placée sous la conduite de Pedro de Ursua et de son second, Lope de Aguirre, qui devra reconnaître l'aval du fleuve sur des radeaux. Aguirre, aventurier ambitieux et brutal, manoeuvre habilement pour proposer à ses compagnons un nouveau chef, le falot Fernando de Guzman, promu solennellement "empereur du Pérou et de l'Eldorado"...

Film extatique s'il en est (Mallick s'en est surement beaucoup inspiré), expressionniste, baroque, lent, Aguirre provoque chez moi une espèce de fascination langoureuse.
A l'image de la perception d'Aguirre qui s'enfonce dans sa folie, le film s'en trouve de plus en plus troublé au fur et à mesure que les personnages avancent sur le fleuve. Herzog nous entrainent avec lui dans sa démence.
Le final est une sorte d'apothéose de tout ce qui l'a précédée, à la fois inéluctable et ironique.
Et que dire de la présence incroyable de Klaus kinski, parfait avec son regard de fou dangereux, qui n'interprète pas Aguirre mais qui en est la réincarnation.
Ce film fait parti de mes grands classiques indispensable.

[led balloon]

Vérités et mensonges
Réalisé par Orson Welles
Avec Orson Welles, Joseph Cotten, Oja Kodar
1975



Un film essai d'Orson Welles sur "le délicieux mensonge" de l’œuvre d'art, une variation sur les rapports du créateur avec sa création et toute la vérité sur un des plus grands faussaires, Elmyr de Hory.

Vérités et mensonges est un film unique en son genre, un OFNI des plus réjouissants.
Orson Welles convoquent tour à tour un peintre faussaire de génie, son biographe, Howard Hugues, la guerre des mondes, Picasso et se met lui même en scène, en pacha, pour nous raconter des histoires qui s'emmêlent et s'entremêlent comme dans une espèce de ronde.
Welles nous embrouille du début à la fin par sa façon de passer en permanence du coq à l’âne, de la vérité au mensonge, du faux mensonge à la fausse vérité. Et surtout il nous embrouille grâce à ce montage incroyable (le passage sur Elmyr qui ne signe jamais ses œuvres en est une parfaite illustration) qui démontre à quelle point cet homme était un génie.
Un chef d’œuvre méconnu.

[takeshi29]

Vérités et mensonges
Réalisé par Orson Welles
Avec Orson Welles, Joseph Cotten, Oja Kodar
1975



Un film essai d'Orson Welles sur "le delicieux mensonge" de l'oeuvre d'art, une variation sur les rapports du createur avec sa creation et toute la verite sur un des plus grands faussaires, Elmyr de Hory.

Vérités et mensonges est un film unique en son genre, un OFNI des plus réjouissants.
Orson Welles convoquent tour à tour un peintre faussaire de génie, son biographe, Howard Hugues, la guerre des mondes, Picasso et se met lui même en scène, en pacha, pour nous raconter des histoires qui s'emmellent et s'entremellent comme dans une espèce de ronde.
Welles nous embrouille du début à la fin par sa façon de passer en permanence du coq à l'ane, de la vérité au mensonge, du faux mensonge à la fausse vérité. Et surtout il nous embrouille grâce à ce montage incroyable (le passage sur Elmyr qui ne signe jamais ses oeuvres en est une parfaite illustration) qui démontre à quelle point cet homme était un génie.
Un chef d’œuvre méconnu.

+ 100

Une oeuvrre à part dans la carrière de Welles, mais à voir absolument.

[[VulCain]

vu hier l'Agence.

Un mix entre Inception, Dark City et Matrix. Avec Matt Bamon et Emily Blunt.

De bonnes idées, le film aurait presque pu être bien si ça ne tournait pas autour d'"une histoire d'amour à l'eau de rose carrément culcul la praline (avec un final écrit à l'avance qu'on devine au bout de 10 minutes de film).

Ca aurait aussi pu être bien sans Matt Damon aussi crédible dans son rôle de politicien qu'une enclume qui joue une libellule (comme dans sa vrai vie en somme).

5/10 pour le idées, la réalisation ultra banale n'aide pas non plus...

Tu es vraiment dur avec le film Perso j'ai adoré.