N'oublions pas le sujet de départ !
Normalement, l'apport du blu-ray se voit directement (pour la partie image) avec de bonnes captures vues sans redimentionnement (1:1) comme par exemple
celle-ci (

), postée il y a quelques instants sur l'excellent
Land of Whimsy (tenu par un des 5 mecs sur le net qui semblent savoir évaluer correctement la qualité d'image d'un blu-ray). Jeter un coup d'oeil sur
sa liste des meilleurs transferts avec captures (cliquer sur le lien "Yes" à droite sur la ligne d'un film pour y accéder) suffit à s'en convaincre. Dans le genre j'ai plein de captures qui tuent, voir aussi
Cinemasquid, et les comparaisons DVD / Blu-ray sur
le forum AVS.
Sérieusement, le blu-ray est le seul format permettant de fournir une image digne de ce qui est projeté dans les cinémas, avec un niveau de détail qui ne trahit pas la nature numérique de celle-ci. Pour moi la résolution du DVD était minable (j'aime bien faire l'analogie avec les appareils photo numériques : qui fait des photos en 0.5 Megapixels ?), et il était temps qu'un format supérieur vienne le détrôner. Quand on a le choix entre acheter un DVD ou un blu-ray du même titre, le choix est vite fait je pense (et même avec une petite diagonale. Un gain de 30% c'est déjà ça de pris). Après, c'est sûr, on sera plus impressionné par un Avatar ou un Casino Royale que par un Terminator 1. Le tout est de savoir à quoi s'attendre.
Les imperfections de la peau de Megan Fox, c'est en blu-ray que ça se passe.