Maintenant, comme je l'avais un peu évoqué dans mon premier post, on peut imaginer qu'on a en fait les étapes suivante :
1/ impact de la baguette, son "toc" émis par la batterie, à 80 dB
2/ l'électronique identifie le son et va instantanément récupérer dans une base de données l'enregistrement du sustain correspondant à ce son (le "Toc").
3/ elle balance l'enregistrement du sustain, à 110 dB.
(C'est comme pour l'airbag : la baquette a à peine commencé à entrer en contact avec la surface de la caisse (il lui reste beaucoup de trajet à faire pour finir de s'enfoncer dans cette surface), que l'électronique fait démarrer le son du sustain en parallèle, mais à 110 dB)
4/ le sustrain réel est émis par la batterie (de 80 dB à 0 dB). Tout comme le "toc" initial, ile est couvert par le son envoyé en 3/, à 110 dB
5/ Le sustain envoyé en 3/ se termine, et l'électronique envoie l'enregistrement du "toc" initial, évoqué dans le point 1/, mais à 110 dB, cette fois.
Ce n'est qu'une hypothèse. Si un musicos passe par là et peut expliquer ce qui se passe réellement, merci à lui.
Le personnes dans la pièce entendent clairement l'écho (le sustain) de la batterie avant l'impact de la baguette, et ce pour chaque "note", et sans constater de décalage entre le moment où le son est émis, et le moment où la baguette frappe la batterie.
Elles sont plus qu'étonnées, et n'arrivent pas à comprendre.
... mais aucune d'entre elles, même face à leur propre incompréhension, n'a l'idée de donner tort au batteur ou de lui demander quelles substances il a prises