Notez les derniers films vus : part II

[led balloon]

C'est une référence aux inconnus, le sketch tourné manège, avec un quiproquo entre éclectisme et athlétisme...
"es-tu pour l'éclectisme" => "oui, surtout le saut à la perche" etc etc

Voili.



C'est pas drôle.

J'ai honte

[vddan]

C'est une référence aux inconnus, le sketch tourné manège, avec un quiproquo entre éclectisme et athlétisme...
"es-tu pour l'éclectisme" => "oui, surtout le saut à la perche" etc etc

Voili.



C'est pas drôle.

J'ai honte

AH!!!!!!!!! OK ,j'avais pas tilté !!

[takeshi29]

Résumé : Une comédie autour de 45 millions d'individus sans système de santé au coeur du plus riche pays du monde. Après s'être attaqué au marché des armes dans Bowling for Columbine et au président George W. Bush dans Fahrenheit 9/11, Michael Moore mène l'enquête sur les failles du système de santé américain et fustige à nouveau l'Amérique. Renouant avec son approche "terrain" et son style inimitable, le cinéaste met le doigt sur les enjeux médicaux d'un système complexe à travers l'examen du système de santé mentale.
Réalisé par Michael Moore
Genre : Documentaire
Sortie en salle : le 05/09/2007

Ce film se compose de deux parties distinctes : l'une dénonçant le système médical (et social) américain et l'autre dévoilant les différents systèmes étrangers. Si la première partie est passionnante, en partie grâce à l'actualité et la lumière qu'elle met sur toutes les difficultés rencontrées à l'heure actuelle par Obama pour mener à bien sa réforme du système de santé, la seconde est en revanche très accablante pour Michael Moore, pouvant même faire douter de son honnêteté intellectuelle. Il suffit de se concentrer sur ce que l'on connait le mieux, notre cher pays et de voir comment Moore le décrit : je vous annonce que nous vivons au pays des bisounours où la santé est gratuite, où l'on ne travaille presque pas tout en étant grassement payé, où l'on mange bien et beaucoup, où il est facile et très peu coûteux de faire garder ses enfants, j'en passe et des meilleurs.
A partir de là, le malaise s'installe et l'on se pose la question que devrait se poser tout documentariste digne de ce nom : à trop globaliser, ne trahit-on pas la vérité ?

Note : XX

[takeshi29]

Résumé : Si le fond des combats de Michael Moore semble légitime, ses méthodes de travail ne le sont pas toujours. Remontant jusqu'aux débuts de la carrière du très médiatique réalisateur de "Fahrenheit 9/11", "Bowling for Columbine" et "Sicko", ce documentaire livre un éclairage édifiant sur les méthodes de Moore pour rendre ses documentaires toujours plus efficaces...
Réalisé par Rick Caine, Debbie Melnyk
Genre : Documentaire
Sortie en salle : non sorti en France

Michael Moore, qu'on l'aime ou non, est de toute façon un homme utile, pointant du doigt des maux essentiels de notre époque. On sait depuis ses débuts (j'avais d'ailleurs adoré ses deux premiers docs "Roger et moi" et "The Big one") qu'il aime provoquer, déranger pour accoucher de la vérité. Par contre, au moment de "Fahrenheit 9/11", j'avais à la fois été dégoûté par la malhonnêteté de ce film (alors que je me situerais plutôt dans les "anti-Bush" primaires) et révolté par la palme d'or qui lui avait été décernée.
J'étais donc la cible idéale pour ce "Michael Moore : Polémique Système", ne sachant jamais vraiment si j'adore ou si je déteste ce type.
Le documentaire, visiblement fauché et qui utilise souvent les mêmes méthodes que Moore, ne pose pas d'avis définitif sur l'homme mais confirme malgré tout ce que j'avais cru repéré en lui depuis "Farenheit" : il est prêt à tout pour non pas, comme je le disais précédemment, accoucher de "la" vérité mais de "sa" vérité.
Malgré tout cela, je reste convaincu que des gens comme lui sont salutaires et même indispensables dans notre triste société actuelle.

Note : XX(X)

[max zorin]

Attention avec Michael Moore, ses intentions ne sont pas si bonnes qu'on peut le croire, ses méthodes plus que douteuses, son discours manipulateur. Il est malin et rusé, a su prendre la vague anti-capitaliste des années 2000 (on se demande comment il a pu tenir sur une planche de surf, rond comme il est! ) et est devenu riche et célèbre. Pour moi, il est un des loups dans la meutes, il fait partie du système qu'il condamne (ou fait mine de condamner).

[max zorin]

3h10 pour Yuma - dvd loc



3h10 pour Yuma, remake de James Mangold (réalisateur capable du meilleur - Walk the line, Copland - comme du pire (Kate & Leopold) ne m'avait jamais vraiment tenté, malgré son casting de luxe (Christian Bale, Russel Crowe, Peter Fonda) peut-être en raison de son appartenance à un genre (le western) dont on a fait le tour dans les années 60 (à mon avis). C'est donc par soucis d'exhaustivité que je l'avais ajouté sur ma liste des films à voir.
Et bien je ne regrette pas! Mangold offre ici un western sobre, efficace et rythmé et met en scène un far west réaliste, violent et impitoyable, un monde hostile, finalement pas si loin de notre monde moderne. Si le film aligne des scènes d'action époustouflantes, intenses et bien montées, parfois épiques (cf la longue fusillade finale pour gagner la gare), il n'oublie pas de traiter avec subtilité la psychologie de personnages complexes et fouillés et met en place une galerie de seconds rôles tellement forts et marquants qu'ils en arrivent presque à éclipser un Russel Crowe pourtant convaincant. Cerise sur le gâteau, le film évite l'écueil du happy end hollywoodien et reste conséquent dans sa noirceur jusqu'au bout .

3h10 pour Yuma n'ajoute rien au genre mais en reprend les recettes classiques et constitue un divertissement efficace, élégant et honnête.

15/20

[Rapoutzi]

"Terminator - Renaissance"



En 2018, John Connor, âgé de 30 ans, leader charismatique de la résistance humaine face aux machines, mène une lutte à mort contre Skynet pour sauver ce qui reste de l'Humanité.

Voila encore un film d'action-science-fiction comme je les aime.
Une histoire somme toute assez simple à suivre, de bons acteurs bien charismatiques, des effets spéciaux de grande qualité, une bande son rugissante à souhait, un univers post-apocalyptique sombre.
Du bonheur sur toile.
Après Transformers 2, GI Joe et maintenant Terminator 4, je me régale au plus haut point.
Bryce Dallas Howard rayonne de beauté (enceinte jusqu'au cou en vrai),Sam Worthington se présente comme un excellent acteur.

Une super soirée de science fiction cinema

John

[wopr]

Bon film d'action mais décevant pour les fans de Terminator .

Quant à Sam Worthington qui vole la vedette à Christian Bale dans ce film ,on va le voir pas mal ces prochaines années (en commençant par Avatar et Le Choc des Titans ,il a failli faire Mad Max 4 ).

[Rapoutzi]

Bon film d'action mais décevant pour les fans de Terminator .

Pas d'accord.Je suis un fan de la première heure et j'ai trouvé le film d'hier soir tout à fait plausible dans la lignée des trois précédents.

John

[wopr]

Bon film d'action mais décevant pour les fans de Terminator .

Pas d'accord.Je suis un fan de la première heure et j'ai trouvé le film d'hier soir tout à fait plausible dans la lignée des trois précédents.

John

Ce n'est pas le ressenti de la majorité des fans de la saga Terminator ,moi y compris ,qui trouve qu'il y a beaucoup trop d'incohérences (on en avait parlé d'ailleurs il y a quelques mois sur ce thread ) .
Mais ça reste un bon blockbuster plein d'action qui est tout de même à mille lieux de Transformers 2 ou GI Joe .

[Rapoutzi]

Ce n'est pas le ressenti de la majorité des fans de la saga Terminator ,moi y compris

Devant mon écran, coincé entre mes enceintes, rien d'autre ne compte que moi.

Mais ça reste un bon blockbuster plein d'action

Et c'est bien là, à mes yeux, le plus important.

tout de même à mille lieux de Transformers 2 ou GI Joe .

En tant que client du cinema de divertissement, je range les trois dans le même tiroir. Mon caisson LFE aussi.

John

[lag@uffre]

Apprécier ce terminator, pourquoi pas...mais on peut quand même mettre le 1 et 2 au-dessus. Ces deux films resteront dans le panthéon du cinema, le 3 et 4 seront vite oubliés, pour des raisons différentes d'ailleurs.
Le 3 abandonnait complètement le 1er degré et ne faisait que détourner des auto-références. Rigolo et avec notamment une scène d'action monumentale (la poursuite en bagnole, ils ont tout cassé!!!! ), mais ca casse quand même le mythe (Connor est une sous-merde, Schwarzy en icône gay,...).
Sur le 4 ils ont voulu faire l'inverse, retourner aux sources avec une ambiance dark et tout et tout, mais bon...au final les humains ont pas l'air si pourchassés que ça, les scènes d'actions ne sont pas renversantes (et les sfx paraissent datés quand on sort juste de Transformers 2), Connor se fait encore traiter comme une merde, rien à branler du perso principal,...Pas super excitant quoi! Les 2 premiers sont beaucoup plus intense.

[Rapoutzi]

Les 2 premiers sont beaucoup plus intense.

Là non plus, je ne suis pas sur la même longueur d'ondes que toi.
Je pense que "Autre temps, autre vision".
Lorsque je regarde un film, je ne pense qu'à ce que je suis en train de regarder et pas aux précédents.
Après coup, je peux commencer à analyser et comparer. Quoi que je ne suis pas bon à ce genre de jeu.
Lorsque le premier est sorti après Avoriaz, j'étais comme un gosse. Je criais au génie. Un peu comme après le premier Alien.
Il y avait quelque chose de nouveau dans ces films.
Terminator 2 m'a laissé froid ainsi que le trois.
Là, dans le quatre, j'ai vu de nouvelles choses. Bien sur il y a du réchauffé mais de bien bonnes nouvelles idées.

John

[lapaille]

Le 4 est bien car il est vraiment différent des autres : c'est plus un film de guerre, alors que les autres sont des films de poursuite.

[lag@uffre]

Pareil que toi rapoutzi, t'inquiètes. Par contre pendant le film je me rends bien compte que je ne suis pas à 100% dedans, que je prends plus le temps de repérer des défauts scénaristiques, de rythme, jeu d'acteur ou de sfx. Après de me souvenir que les deux 1er films je les ai bu jusqu'à la lie, les mains cramponnés à mon siège...d'où la comparaison.
Assez d'accord la paille, mais un film de guerre un peu raté quand même. On a pas les jetons une seconde, tout est téléphoné...Ca se regarde tranquille avec du popcorn quoi, pas honteux mais il ne marquera pas l'histoire. Je crois que ça c'est l'indéniable différence avec les épisodes de Cameron.