En bas, l’amplificateur audio/vidéo le plus perfectionné jamais conçu à ce jour par YAMAHA, le vaisseau amiral : DSP Z11. Outre le fait de posséder les décodeur audio HD et le label THX Ultra 2+, le scaler vidéo ABT1018 de chez Anchor Bay (permettant la conversion de toutes sources vidéo jusqu’au 1080p/60hz en HDMI), la fonction "pass through" 1080p/24hz, et ses nombreuses fonctions multimédia, ce monstre de 34 kg démontre une faculté proprement ahurissante en matière d’égalisation sonore, agissant sur la courbe de réponse en fréquence de chaque enceinte en fonction des exigences de l’environnement d’écoute. De plus, cet appareil est doté de plusieurs processeur numériques de précision garantissant la reproduction multivoies de pratiquement toutes les sources existantes, tels que les corrections de champ sonore DSP ou THX. Malgré ses 7 étages de puissance délivrant 140 watts chacun, seul l'amplification des canaux arrière est utilisé car celui des canaux avant est assurée par deux blocs de puissance mono MUSICAL FIDELITY Supercharger 550K. Le cordon secteur d'origine a été remplacer par un OEHLBACH "XXL séries 25".
En haut, le pré-amplificateur stéréo ARCAM FMJ C31 fournit des performances en tout point remarquable. Grâce à son alimentation particulièrement silencieuse, ses mesures de la distorsion et son plafond du rapport signal/bruit, il démontre une grande qualité de timbre, permettant d'exprimer une ouverture musicale dès plus détaillé. Il est en outre beaucoup plus neutre et moins agressif que le Z11. En effet, le YAMAHA possède une sonorité parfois excessive, pleine d'adrénaline et de fureur, caractéristique faisant merveille pour les films mais fatiguant pour de la musique. Les câbles de modulation vers les deux blocs mono MUSICAL FIDELITY sont des TARA LABS "RSC Air 1 Séries II". Afin de donner l'accès des 550K au Z11, la fonction bypass du C31 doit être actionné. Les câbles de modulation vers le Z11 sont des OEHLBACH "XXL séries 2". Pour améliorer encore le rendu, le câble secteur d'origine a été changé pour un MICHAEL WOLF AUDIO "Gain" aux superbes timbres et aux basse généreuse.
En haut à gauche, le convertisseur (DAC) AUDIOMAT TEMPO 2.5. Rééquilibrant l’image sonore et respectant l’intégralité de la bande passante, il provoque en quelque sorte une reconstitution physique et non digitale du son, restituant une sonorité réelle, presque palpable, proche de celle du vinyle. Conformément au recommandation du constructeur, le TEMPO reste constamment sous tension afin de laisser les composants dans une température de fonctionnement optimum. De plus, il n'est raccordé à aucun filtre secteur, mais directement à une prise murale. Les sortie RCA vers le C31 se font avec un FA DIESE "Harmonie Plus", choisi pour ces timbres précis et naturels (le rendu des voix est bluffant de réalisme).
En haut à droite, la carte son externe POPPULSE PC DIGITAL LINK II est en mesure de sortir un signal audio numérique parfaitement propre en provenance du PC, prêt pour sa conversion vers le DAC AUDIOMAT. Autoallimenté par sa liaison USB (5 volts), ou tirant parti de son alimentation externe de 12 volts (plus de présence dans le grave), elle dispose de 5 sorties numériques différente (SPDIF, Toslink, BNC, AES/EBU, RJ45). Après plusieurs essai, la liaison AES/EBU a été privilégiée par un câble HMS "Sestetto MKII". En outre, le câble USB d'origine a été changé au profit d'un REAL CABLE.
La présence d'un DAC au sein d'un système nécessite obligatoirement son pendant : un DRIVE. Dans le cas présent, il s'agit d'un PC monté pièce par pièce affichant prêt de 11 kilos à la pesée (dont 8 kilos uniquement pour le boîtier SILVERSTONE CROWN). Le choix de la dématérialisation par ordinateur a été choisi car il faut savoir qu'un lecteur CD, aussi performant soit-il, sera toujours tributaire des problèmes de lecture physique en temps réel du support CD. En effet, le disque est lu et restitué en direct par le lecteur. Si celui-ci rencontre une erreur, chose arrivant régulièrement, il ne pourra pas revenir en arrière pour la corriger. Par ses circuits d'interpolation il va alors reconstituer les informations manquantes situées avant et après "l'erreur" par une sorte de moyenne successive. Procédé certes ingénieux mais malheureusement approximatif. Afin de résoudre ce problème, la copie du CD sur disque dur est alors indispensable. Au cours du processus, via le logiciel EAC, celui-ci prend son temps pour rechercher toutes les informations numériques, bit par bit, de sorte que les zones comportant des erreurs vont êtres lues jusqu’à ce que le "bit" original soit restitué, puis créé un fichier audio inaltérable, sans compression au format WAVE, ou utilisant une compression sans pertes FLAC. En procédant de la sorte, il en résulte une suppression pure et simple des problèmes de vibrations, d'erreurs et de jitter, inhérents à la lecture d'un disque optique. Ces fichiers audio sont stockés sur deux disques dur, d'une capacité totale de 1,5 To, puis lu grâce au logiciel FOOBAR 2000. Dans la mesure où le POPPULSE PC DIGITAL LINK II est limité en sortie à du 16bit/48KHz, l'ajout d'une carte son PCI a été effectué. Avec la M-AUDIO Audiophile 192 il est ainsi possible de lire des fichiers "master audio" jusqu'en 24bit/192KHz par un câble SPDIF FA DIESE "Clef de Sol".
Capture d'écran du logiciel Foobar 2000. Offrant des fonctions avancées dans de nombreux domaines, il est conçu pour permettre une qualité sonore optimal, notamment par l'utilisation du pilote "Asio Usb" (supérieur à ces concurrents direct : Asio, Asio4all, Kernel Streaming, Wasapi), court-court-circuitant les fonctions audio du système d'exploitation Windows, permettant non seulement des temps de latence infime, mais aussi une meilleure qualité audio. Malgré son interface simple et épurée, sa configuration par défaut est loin d'être intuitive pour un utilisateur néophyte, mais ses fonctionnalités peuvent être étendues ou remplacées à volonté. Dans le cas présent, l’installation de modules tels que l'Oscilloscope, le Peak Meter, le Spectrogram, le VU Meter et la visualisation des pochettes des albums ont été mis en place.
L'un des deux bloc MUSICAL FIDELITY, le Z11, le CHT-8R, le 507XD et le DV99 sont branchés à une barrette secteur MUSIC LINE (distribué par NAIM), présentant l'énorme avantage de pouvoir modifier le sens de la phase électrique de chaque appareil. Ajouter à cela des conducteurs interne et des contacts de grande qualité, elles améliorent l’écoute de façon étonnante. Branché en parallèle, une multi-prise standard avec interrupteur permet à mise hors tension du PC, de la CABLE BOX HD, du Laserdisc PIONEER et du TOSHIBA EP35. Sur une autre prise murale, une deuxième barrette secteur MUSIC LINE se voit connecter le reste des appareils, mis à part le DAC AUDIOMAT, branché sur une troisième prise murale.
Placer sur une plaque de MDF reposant sur un support d'enceinte munis de quatre pointes de découplages, le lecteur HD-DVD TOSHIBA EP35 reste malgré la mort du support (au profit du BLURAY), un très bon lecteur SD/HD, très proche en qualité audio/vidéo du PANASONIC DMP-BD35. Il est connecter au YAMAHA DSP Z11 par un câble HDMI SUPRA.
Situé de part et d'autre du plasma, les MUSICAL FIDELITY SUPERCHARGER 550K sont des blocs de puissance monophonique développant chacun 550 watts (RMS) sous 8 ohms pour 12 kilos pièce. Après une mise en chauffe de quelques minutes, non négligeable sur la qualité de restitution, leur conception haut de gamme permet de bénéficier d'un maximum de définition et de dynamisme, délivrant des basses d'une rare puissance. Les deux câbles secteur d'origine ont été changé pour des REAL CABLE "Power Cord", restituant un son plein et dense aux timbres chauds, mettant en évidence un bas médium très charpenté. A noter que la chaleur dégagé est assez importante.
Pour éviter le marquage de la dalle plasma du aux images statique du PC, un LCD de 17 pouces sert d'écran de contrôle
L’écran plasma peut également être utilisé comme un moniteur informatique géant, idéale par exemple pour visionner des vidéos et autres bandes annonces stockés sur le PC.
Le PC se contrôle avec la souris LOGITECH "MX Air". Comme l'indique son nom, cette souris optique a la particularité de fonctionner dans les airs, à l'instar de la Wiimote de Nintendo, grâce à un détecteur qui transforme les mouvements de la main en commandes naturelles pour le curseur. Elle s'utilise donc en bougeant la main et en cliquant de manière intuitive, bref comme une télécommande.
Enceintes KEF XQ40. Doté de la technologie Uni-Q "crown waveguide device" permettant une dispersion optimale des fréquences aiguës dans la zone d'écoute, et d’un coffret laqué (revêtements en acajou "khaya mahogany" issu de sources renouvelables d'Afrique et de Madagascar) étudié pour maximiser la rigidité tout en minimisant les résonances internes indésirables, elles délivrent un son splendide, pleine de muscle et de finesse. Le filtre répartiteur est directement inspiré de la série Référence, destinée à éliminé les effets de couplage afin d'éliminer toutes les altérations du son et de capter la moindre finesse du signal enregistré. Les XQ40 possèdent ainsi une clarté et une focalisation du message sonore exceptionnelles, mais demande en contrepartie beaucoup de puissance pour en tirer le meilleur, malgré un rendement de 90db. Elle requièrent également une attention toute particulière quand à son placement dans la pièce. En effet, un pincement de 3 centimètres peu changé la scène sonore d'une manière assez importante. Le "sweet point" est ainsi assez délicat à établir, mais une fois correctement mis en œuvre, l'image sonore est remarquable d'ampleur et de naturel. A la sortie du carton, il est à noter que ces enceintes sont loin de dévoiler toute leur possibilité, provoquant même une certaine forme de frustration (fréquence grave en retrait, médium/aiguë agressif). Un rodage d’une centaine d’heure est alors plus que souhaitable.
Gros plan sur le tweeter à dôme de 19 mm en aluminium placé au centre du transducteur médium-grave en titane de 16,5 cm.
Les deux woofers à long débattement de 16,5 cm et leur évents bass-reflex, placés dans des volumes qui leur sont spécialement dédiés.
Les XQ40 sont mono-câblés avec du OEHLBACH "Air Blue 5". Pour un meilleur contact, les jumpers d’origine ont été remplacées par une courte section d'un OEHLBACH "Air Blue 3" (fils dénudé d'un côté, fiche banane de l'autre).
Enceintes KEF IQ3 sur les pieds ATACAMA Nexus 10, reposant sur trois pointes de découplage REAL CABLE. 2 litres de sable ont été ajoutés dans leur colonne centrale, annulant la transmission des mauvaises vibrations et améliorant la restitution des fréquences graves. L'IQ3 crée une image sonore précise et large, idéal pour des effets surround.
Les IQ3 sont mono-câblées avec du SUPRA "gamme classic" (2x1,6 mm²). Pour un meilleur contact, les jumpers d’origine ont été remplacées par une courte section du même câble.
Caisson de grave VELODYNE CHT-8R (développant 160 watts en continu, il peut monter jusqu'à 350 watts en crête). Réglé pour être parfaitement linéaire avec les enceintes KEF, il est connecter au YAMAHA DSP Z11 par un câble RCA en Y OEHLBACH. Malgré sa taille réduite, il submerge la scène sonore d’un grave au contrôle absolue, offrant un ressenti aussi bien auditif que physique.
Dans la mesure ou le Z11 est en mesure de géré l’utilisation de deux caissons de manière totalement autonome, l’achat d’un deuxième caisson a été fait. Son apport est indéniable, le grave est beaucoup plus homogène, plus diffus et moins localisable, la sensation de puissance et de profondeur en est accrus.
sont ou les tofs ????? 
