san-antonio a écrit:j en suis de plus en plus persuade et au diable la coloration pour moi c est le swing qui compte!
La coloration apportée par un behringer dans son jus utilisé en numérique est cent fois inférieure à celle apportée par les problèmes de couplages enceintes/local.
Faut surtout pas avoir peur de ce point de vue.
Un beringher tweaké comme il faut serait, d'après témoignages fiables et concordants de gens sérieux, pas vraiment inférieur à un TACT 2.2 RCS utilisé d'une façon qui ne serait pas totalement aboutie ! Or, la complexité et les problèmes de la machine TACT ne rendent pas cette utilisation totalement aboutie facile... donc...
J'ai parfois assisté a des écoutes beringhérisée/bon beringhérisée en comparaison A/B (pas besoin d'ABX !). Assez étrangement, les audiophiles présents, qui étaient des purs et durs de l'audiophilie minimaliste, sont tellement destabilisés par la propreté retrouvée du son qu'ils disaient : "le son est moins vivant, la dynamique est rabotée".
Il n'en n'est évidemment rien, mais l'amélioration spectaculaire de la transparence générale, la netteté des plans sonores retrouvées, le respect des rapports d'intensité, l'abondance de détails troublent les adeptes du son un peu compact et chaleureux souvent qualifié de "musical" dans le jargon audiophile.
Et puis, si l'on croit aux cables : les différences entre eux ne peuvent qu'être plus nettes quand la qualité de reproduction fait un bond qualitatif dans le sens d'une plus grande transparence.
Même si l'on sait que Beringher et Tact doivent être utilisés de façon qu'ils n'apportent pas trop de rotations de phases et qu'ils ne tirent pas trop sur les amplis : en clair mieux vaut écraser des bosses que remplir des trous...
Alain