sergebasile a écrit:yrad encore une précision
es tu en mode télé ou grand angle car cela a une incidence sur la luminosité?
Différence assez grande d'après les tests semble t il aux environs de 25%
De même utilises tu le lens shift ou pas?
Il ne vaut mieux pas trop d'après ce que j'ai lu...
là plutôt quelques 5 à 10% en moins et sans doute une moins bonne utilisation de l'objectif, donc moins de piqué.
undertaker88 a écrit:Et bien il manque une donnée essentiel à la projection, c'est la position en hauteur de l'ecran!!!
Plus on regarde près et plus le bas de l'ecran doit etre haut!
En effet sergebasile et undertaker88, j'avais négligé ces précisions essentielles.
Dans mon cas, le DLA-HD1 est en position grand angle (focale minimale, zoom maximum). Avantage donc à la luminosité "au détriment" des contrastes. Mais même comme cela, les contrastes natifs intra-image du DLA-HD1 sont très supérieurs à n'importe quel concurrent (avec ou sans iris dynamique), et ils se situent même au-delà du seuil de réverbération de ma salle dédiée pourtant très sombre.
J'utilise à la fois le lens shift vertical et horizontal à mi-course pour chaque axe. Et selon moi, ça ne pose aucun problème sur le DLA-HD1, d'une part parce que son optique est très bonne (aucune aberration perceptible), d'autre part parce que la déconvergence qui résulte inéluctablement de toute utilisation de lens shift peut être manuellement et efficacement corrigée dans son menu.
J'aurais toutefois aimé que le DLA-HD1 dispose d'un réglage de son
Ajuste pixels plus précis : au lieu de limiter les ajustements horizontaux et verticaux à des pas d'un pixel entier, des ajustements par pas d'un demi-pixel voire d'un quart de pixel auraient vraiment été les bienvenus.
Voilà d'ailleurs une suggestion à considérer pour une prochaine MAJ du firmware.
En fait, une utilisation excessive des lens shifts du DLA-HD1 ne présente qu'un seul défaut potentiel : la réduction de l'uniformité de l'éclairement.
Plus l'on regarde près,
plus le bas de l'écran doit être haut OU plus le vidéoprojecteur doit être haut et la sollicitation du lens shift vertical importante. C'est cette seconde option que j'ai choisie, car j'ai beau aimer les premiers rangs au ciné, je n'aime en revanche absolument pas devoir lever la tête pendant des heures (dans les salles où les écrans sont surélevés, je fais comme tout le monde, je recule).
En fait, j'ai calculé les emplacements à la fois de l'écran, de ma première rangée de fauteuil (ratio 0,75), et de l'élévation du vidéoprojecteur (grâce au lens shift confortable du DLA-HD1), précisément pour que le bas de mon écran 16/9 soit à 25 cm du sol, que les yeux d'un spectateur de taille moyenne (1,80 m) soient exactement alignés sur la médiane horizontale de l'écran, et que personne ne risque de rencontrer le flux lumineux de projection. Ainsi la tête est droite, les yeux sont parfaitement centrés, et s'il doit y avoir mouvements des yeux et/ou de la tête (en raison du niveau d'immersion), ils ne se font que sur un axe.
Certes, un ratio recul/base de 0,75 peut faire peur ou sembler carrément insensé. Pourtant, je peux vous assurer - nombreux témoins à l'appui - que la combinaison des propriétés exceptionnelles d'affichage du DLA-HD1 et de la disposition calculée de mon installation, procure des sensations vraiment exaltantes !
Bien sûr, il faut aimer les sensations...