Bonjour à tous
Je viens de terminer la lecture de l'article de Greg Rogers.
C'est comme toujours un modèle.
Par rapport à mes mesures il trouve +20% en luminosité et jusqu'à +40% en contraste.
J'ai découvert dans un numéro récent de WSR sous la plume de Bill Cushman une variante que j'ignorais de mesure de luminosité et de contraste qui consiste à utiiser des mires à 109% de blanc (projecteur réglé en niveaux vidéo 16-235 et utilisation d'une mire avec le blanc à 255).
Bill Cushman donne les deux mesures dans ces tests et l'écart est d'à peu près 20%.
Greg Rogers ne précise pas ce point mais il pourrait expliquer en partie nos divergences.
Sinon la seule autre explication plausible est une différence ... entre luxmètres.
Pour le contraste je ne sais pas.
Il aurait fallu que je fasse des mesures d'échelle de gris au luxmètre à différentes distances complétées de mesures au spectromètre pour être certain de mes chiffres.
mesures projecteurs
...
Sinon nous retrouvons la même perfection des réglages en sortie de carton, gamma et échelle de gris.
Le vert du diagramme CIE est plus saturé que celui que j'ai mesuré. Ce qui va dans le sens de C4H.
Greg Rogers regrette la non disponibilité de réglages des primaires et du gamma.
Les choix de JVC conduisent à des couleurs parfois trop saturées et une "profondeur de champ" (image depth) réduite par rapport à ce dont est capable le projecteur (avec un tel niveau de contraste on pourrait utiliser un gamma de 2.4).
L'ont gêné un excès de luminosité dans les coins durant les transitions d'images claires vers le noir.
GR considère que le contraste ANSI des projecteurs DLP permet de mieux rendre certaines scènes. Il donne des exemples tirés de SWIV.
Je suis sceptique sur ce point mais la salle est déterminante pour faire ce type de constatation (c'est pour la restitution des images lumineuses que les salles dédiées sont particulièrement importantes).
Michel