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Modérateurs: Modération Forum Installations, Modération Forum DIY, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 34 invités
Preampli Super Symetrique NPass : L'UGS
» 13 Mar 2007 12:51
T'inquiètes. Faudra que je vous mette une photo de mes conditions !!!!
- breizheau
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- Localisation: Roanne (42)
-
» 13 Mar 2007 12:52
dans l'oasis e ttout. avec un verre a la main et en train de diriger des gars par megaphone non? lol.... ca me fait penser a ca lol..
lol..- Aceditnanar
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- Inscription Forum: 07 Jan 2006 15:53
- Localisation: 69, année... hhmmmm, pardon !
-
» 13 Mar 2007 12:58
[Mode HS ON]
Euh pas tout à fait....
En combinaison à bouffer de la poussière, oui ! 
Pis y a pas un arbre à l'horizon. Heureusement que le soir à l'hôtel la pinte de bière est fraiche !!! 
Mais la première "ville" est à 80 kms...... Juste un coumpound pour les achats de premières necessité et puis vala... 
Bon, je ne me plains pas, c'est mon job et c'est 'actement interessant de surcroît !
[Mode HS OFF]
Euh pas tout à fait....
En combinaison à bouffer de la poussière, oui ! Pis y a pas un arbre à l'horizon. Heureusement que le soir à l'hôtel la pinte de bière est fraiche !!! Mais la première "ville" est à 80 kms...... Juste un coumpound pour les achats de premières necessité et puis vala... Bon, je ne me plains pas, c'est mon job et c'est 'actement interessant de surcroît !
[Mode HS OFF]
- breizheau
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- Localisation: Roanne (42)
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» 13 Mar 2007 13:16
yes.. avec internet au milieu de nul part... ca c cool lol..
Ben bonne continuation et courage..
lol..
Ben bonne continuation et courage..
- Aceditnanar
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- Localisation: 69, année... hhmmmm, pardon !
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» 15 Mar 2007 1:33
salut
peut on utilisé le sk389BL avec l'équivalent en simple du sj109bl ??
ou alors il faut soit les deux double soit les deux paires de simple, mais pas un mélange ??
car j'ai trouvé les sk389BL mais pas le sj109bl
merci
peut on utilisé le sk389BL avec l'équivalent en simple du sj109bl ??
ou alors il faut soit les deux double soit les deux paires de simple, mais pas un mélange ??
car j'ai trouvé les sk389BL mais pas le sj109bl
merci
- tanstratus
- Pro-Fabricant
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- Localisation: Rennes
-
» 15 Mar 2007 7:35
Pour info, il y aurait des paires disponibles chez Dan GARDNER au prix de 10$ la paire plus 5$ de transport ! 4 paires commandées pour mézigue !
4 paires commandées pour mézigue ! - breizheau
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- Localisation: Roanne (42)
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» 15 Mar 2007 10:03
breizheau a écrit:Pour info, il y aurait des paires disponibles chez Dan GARDNER au prix de 10$ la paire plus 5$ de transport !
merci Bobo
amha fo vous grouper
Bye
Roger
- Bobo le Chat
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- Localisation: Lille
-
» 15 Mar 2007 10:06
si quelqu'un commande, merci de me faire signe.
On sait jamais si les projets de bobo ou phillby se révèlent extra ordinaire
Philippe
On sait jamais si les projets de bobo ou phillby se révèlent extra ordinaire
Philippe
Dernière édition par gil-garcia le 15 Mar 2007 10:14, édité 1 fois.
- gil-garcia
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» 15 Mar 2007 10:09
gil-garcia a écrit:si quelqu'un commande, merci de me faire signe.
Philippe
+ 1
Alain.
- ALSIDO
- Messages: 1730
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- Localisation: 91 - Les Ulis
-
» 15 Mar 2007 11:56
Comme promis, un petit cr …
PASS-UGS (Universal Gain Stage) contre PASS-IF (Insolent Facility)
Comme le titre l’annonce, je n’ai malheureusement pas de préampli à confronter à l’UGS. Je tente donc de décrire de façon subjective mes impressions d’écoute et la personnalité du crincrin (j’aime bien ce terme
).
Ceux qui l’ont écouté jusqu’ici ont décrit l’UGS sans coloration et je suis bien d’accord. Il est même d’une surprenante transparence si on prend la peine de l’écouter longuement et avec une bonne diversité de CD. Il se contente de reproduire en toute rigueur la modulation gravée sur le CD et prend bien soin de n’ajouter aucune tonalité propre.
Ce qui m’a marqué également c’est sa capacité à assurer le suivi mélodique et cela je crois, grâce à sa bande passante. Dans mon cas, elle est limitée par les enceintes qui ne sont probablement pas à même d’exploiter le plein potentiel de ce montage. Néanmoins, l’apport de l’UGS est indéniable : si ça ne descend pas plus bas qu’en passif, les basses fréquences gagnent en fermeté et en durée de maintien des notes. Sans l’UGS, les basses sont opulentes, mais moins tendues, plus rondes. Dans la partie haute du spectre, l’UGS fait preuve d’une rare vivacité, il semble rapide comme l’éclair, vous surprend sur les forte, les attaques de piano ou les claquements de cordes de guitare.
Ainsi les jeux de basses et de cymbales, aux extrêmes de la bande passante, cohabitent avec une évidence étonnante et vous envoutent. Les cymbales, les guitares à cordes métalliques et autres instruments clinquants scintillent mais restent exempts d’agressivité (sur bons CD).
Chaque registre est à sa place, ce qui n’est pas extraordinaire, d’accord, mais le tour de force de l’UGS réside dans sa capacité à rendre indépendant chaque instrument, chaque plan sonore. La lisibilité est simplement fabuleuse à mon goût. Il est très facile de suivre chaque instrument individuellement, aucun recouvrement de l’un sur l’autre.
Les voix ne sont pas en reste, elles sont superbement mises en valeur, le grain est naturel avec un très bon discernement des textes par rapport à la musique.
Je n’ai pas d’élément de comparaison pour l’image sonore. Sur mon système, elle est un peu plus large qu’en passif, dépasse un peu en largeur la position des enceintes mais prend nettement de l’ampleur et de la précision en hauteur et en profondeur grâce à une aération et un remplissage accrus de la pièce. Cela se traduit par exemple par une présence assez bluffante du public, on ressent sa ‘respiration’ et on positionne précisément les chuchotements et ceux qui s’y font remarquer dans les trois dimensions, y compris en hauteur (plus bas que la scène). De façon générale, la scène sonore est un peu plus proche de l’auditeur qu’en passif.
Avec de la musique classique, les pupitres se distinguent nettement mieux, ils sont physiquement séparés. La taille de l’orchestre est palpable. C’est difficile à expliquer mais on ressent la qualité des instruments utilisés (violons et autres instruments du même genre), l’essence du bois dont ils sont faits, bref la propre sonorité de l’instrument, sa couleur. Le piano prend aussi une autre dimension, non pas en taille mais en terme de perception, de la position du micro, de la mécanique. Initialement assis au dixième rang, ce préampli nous permet d’accéder aux meilleures places : celles réservées aux officiels alors qu’ils prennent rarement la peine de se déplacer.
J’ai retenu donc pour ses qualités :
- Une transparence de tout premier niveau
- Une précision et un fort pouvoir d’analyse qui fournit une excellente lisibilité
- Une assise agréable des basses fréquences, elles sont fermes et superbement rythmées
- Une surprenante vivacité, une véritable dynamite quand il le faut dans le haut du spectre
- Une bande passante dont je n’ai pas pu évaluer les limites
- Une linéarité subjective sur toute la bande sonore
Des reproches ? pas vraiment, mais il faut bien dissuader les éventuels intéressés … y a pas assez de doubles Jfets pour tout le monde !
L’UGS m’a semblé assez sensible aux niveaux d’enregistrement des CD. C’est peut-être lié à l’implantation du potar en sortie, mais le volume est à ajuster quasiment à chaque changement de CD (plus qu’avant). Position d’utilisation entre 2/3 et 1/2 dans mon cas (100W et 89dB). Le gain semble juste un peu plus élevé qu’en passif. Pour un SE de quelques watts, il serait préférable d’adapter le gain dès la conception, dessouder après coup les composants des modules ne m’a pas l’air des plus facile !
Sa personnalité le rend (ou plutôt nous rend) très dépendants de la qualité des prises de son. Pas de pitié pour les mauvaises, peu d’indulgence pour les médiocres … mais quand l’ingénieur du son doué est parvenu à ses fins, l’UGS vous délivre alors une musique de tout premier ordre. On se retrouve alors à la recherche des bons enregistrements, à pester sur les CD dont on apprécie pourtant le contenu mais dont la platitude du signal gravé ne peut plus désormais échapper à nos oreilles difficiles … mais là, c’est un autre problème.
J’aurais apprécié également une scène sonore un peu plus large et un chouia plus reculée (en hauteur, c’est impec) … mais cela, sur mon système et dans des conditions d’écoute non optimisées, à confirmer donc !
Un jour j’espère l’essayer dans un auditorium, au sein d’un système de plus haut de gamme que le mien : sur des enceintes de haute voltige et avec un DAC moderne à la hauteur (il y a eu beaucoup d’évolution niveau convertisseur) …
Attention également à celui qui dispose d’un système un peu trop acéré ou avec une tendance à projeter. La bande passante de l’UGS, son coté analytique et sa fougue dans le haut du spectre risquent de ne pas arrondir les angles. Ce n’est pas mon cas et je me trompe peut-être, mais à essayer dans une telle config pour voir.
En conclusion, je suis vraiment satisfait de ce préampli. D’abord, François a fourni un tel travail que même un blaireau comme moi peut le réaliser quasiment comme un kit, puis en termes de performance. J’apprécie particulièrement sa personnalité, son respect à l’égard de la musique, le contact intime qu’il entretient avec l’émotion, son soucis du détail. De plus, cet appareil ne devrait pas lasser dans la durée car il préserve la couleur originelle de l’enregistrement et continuera à surprendre au fur et à mesure des achats de CD.
Une mention spéciale aussi pour l’alim qui reste silencieuse pour les positions de volume utilisées au quotidien. Sur mon système, elle commence à s’entendre à partir de la position 3/4 sans signal, mais le niveau sonore est déjà assourdissant.
Une plus grande facilité d’approvisionnement des jfets, une image sonore un peu moins centrée, et on ne serait pas loin de la perfection, en tout cas du préampli DIY idéal.
C’est un peu long, désolé, et n’allez pas imaginer que j’ai été soudoyé par Flatlabs pour promouvoir l’UGS … je n’ai pas touché tant que ça !
Un grand merci à Nelson PASS pour sa générosité et son aval à la publication de ce schéma alors que l’UGS est encore en production. Et bien entendu un très grand merci (et félicitations) à François qui nous fait profiter de ses compétences en électronique et de ses talents dans le domaine de l’audio, sans oublier Marc pour sa participation à l’UGS adventure.
Amicalement, Laurent
Les électrons sont censés être tous les mêmes. Mais en vérité, il y a ceux des couches périphériques, éloignés de leur noyau, précaires et souvent volages … et il y a cette toute petite poignée d’électrons, constants, fidèles qui ont le privilège de côtoyer au plus près leur noyau. Si le noyau détient le secret de la musique, l’UGS gravite indéniablement parmi ces premières couches électroniques … c’était la petite pensée à l’attention de ceux qui attendent le reste du crincrin.
PASS-UGS (Universal Gain Stage) contre PASS-IF (Insolent Facility)
Comme le titre l’annonce, je n’ai malheureusement pas de préampli à confronter à l’UGS. Je tente donc de décrire de façon subjective mes impressions d’écoute et la personnalité du crincrin (j’aime bien ce terme
).
Ceux qui l’ont écouté jusqu’ici ont décrit l’UGS sans coloration et je suis bien d’accord. Il est même d’une surprenante transparence si on prend la peine de l’écouter longuement et avec une bonne diversité de CD. Il se contente de reproduire en toute rigueur la modulation gravée sur le CD et prend bien soin de n’ajouter aucune tonalité propre.
Ce qui m’a marqué également c’est sa capacité à assurer le suivi mélodique et cela je crois, grâce à sa bande passante. Dans mon cas, elle est limitée par les enceintes qui ne sont probablement pas à même d’exploiter le plein potentiel de ce montage. Néanmoins, l’apport de l’UGS est indéniable : si ça ne descend pas plus bas qu’en passif, les basses fréquences gagnent en fermeté et en durée de maintien des notes. Sans l’UGS, les basses sont opulentes, mais moins tendues, plus rondes. Dans la partie haute du spectre, l’UGS fait preuve d’une rare vivacité, il semble rapide comme l’éclair, vous surprend sur les forte, les attaques de piano ou les claquements de cordes de guitare.
Ainsi les jeux de basses et de cymbales, aux extrêmes de la bande passante, cohabitent avec une évidence étonnante et vous envoutent. Les cymbales, les guitares à cordes métalliques et autres instruments clinquants scintillent mais restent exempts d’agressivité (sur bons CD).
Chaque registre est à sa place, ce qui n’est pas extraordinaire, d’accord, mais le tour de force de l’UGS réside dans sa capacité à rendre indépendant chaque instrument, chaque plan sonore. La lisibilité est simplement fabuleuse à mon goût. Il est très facile de suivre chaque instrument individuellement, aucun recouvrement de l’un sur l’autre.
Les voix ne sont pas en reste, elles sont superbement mises en valeur, le grain est naturel avec un très bon discernement des textes par rapport à la musique.
Je n’ai pas d’élément de comparaison pour l’image sonore. Sur mon système, elle est un peu plus large qu’en passif, dépasse un peu en largeur la position des enceintes mais prend nettement de l’ampleur et de la précision en hauteur et en profondeur grâce à une aération et un remplissage accrus de la pièce. Cela se traduit par exemple par une présence assez bluffante du public, on ressent sa ‘respiration’ et on positionne précisément les chuchotements et ceux qui s’y font remarquer dans les trois dimensions, y compris en hauteur (plus bas que la scène). De façon générale, la scène sonore est un peu plus proche de l’auditeur qu’en passif.
Avec de la musique classique, les pupitres se distinguent nettement mieux, ils sont physiquement séparés. La taille de l’orchestre est palpable. C’est difficile à expliquer mais on ressent la qualité des instruments utilisés (violons et autres instruments du même genre), l’essence du bois dont ils sont faits, bref la propre sonorité de l’instrument, sa couleur. Le piano prend aussi une autre dimension, non pas en taille mais en terme de perception, de la position du micro, de la mécanique. Initialement assis au dixième rang, ce préampli nous permet d’accéder aux meilleures places : celles réservées aux officiels alors qu’ils prennent rarement la peine de se déplacer.
J’ai retenu donc pour ses qualités :
- Une transparence de tout premier niveau
- Une précision et un fort pouvoir d’analyse qui fournit une excellente lisibilité
- Une assise agréable des basses fréquences, elles sont fermes et superbement rythmées
- Une surprenante vivacité, une véritable dynamite quand il le faut dans le haut du spectre
- Une bande passante dont je n’ai pas pu évaluer les limites
- Une linéarité subjective sur toute la bande sonore
Des reproches ? pas vraiment, mais il faut bien dissuader les éventuels intéressés … y a pas assez de doubles Jfets pour tout le monde !
L’UGS m’a semblé assez sensible aux niveaux d’enregistrement des CD. C’est peut-être lié à l’implantation du potar en sortie, mais le volume est à ajuster quasiment à chaque changement de CD (plus qu’avant). Position d’utilisation entre 2/3 et 1/2 dans mon cas (100W et 89dB). Le gain semble juste un peu plus élevé qu’en passif. Pour un SE de quelques watts, il serait préférable d’adapter le gain dès la conception, dessouder après coup les composants des modules ne m’a pas l’air des plus facile !
Sa personnalité le rend (ou plutôt nous rend) très dépendants de la qualité des prises de son. Pas de pitié pour les mauvaises, peu d’indulgence pour les médiocres … mais quand l’ingénieur du son doué est parvenu à ses fins, l’UGS vous délivre alors une musique de tout premier ordre. On se retrouve alors à la recherche des bons enregistrements, à pester sur les CD dont on apprécie pourtant le contenu mais dont la platitude du signal gravé ne peut plus désormais échapper à nos oreilles difficiles … mais là, c’est un autre problème.
J’aurais apprécié également une scène sonore un peu plus large et un chouia plus reculée (en hauteur, c’est impec) … mais cela, sur mon système et dans des conditions d’écoute non optimisées, à confirmer donc !
Un jour j’espère l’essayer dans un auditorium, au sein d’un système de plus haut de gamme que le mien : sur des enceintes de haute voltige et avec un DAC moderne à la hauteur (il y a eu beaucoup d’évolution niveau convertisseur) …
Attention également à celui qui dispose d’un système un peu trop acéré ou avec une tendance à projeter. La bande passante de l’UGS, son coté analytique et sa fougue dans le haut du spectre risquent de ne pas arrondir les angles. Ce n’est pas mon cas et je me trompe peut-être, mais à essayer dans une telle config pour voir.
En conclusion, je suis vraiment satisfait de ce préampli. D’abord, François a fourni un tel travail que même un blaireau comme moi peut le réaliser quasiment comme un kit, puis en termes de performance. J’apprécie particulièrement sa personnalité, son respect à l’égard de la musique, le contact intime qu’il entretient avec l’émotion, son soucis du détail. De plus, cet appareil ne devrait pas lasser dans la durée car il préserve la couleur originelle de l’enregistrement et continuera à surprendre au fur et à mesure des achats de CD.
Une mention spéciale aussi pour l’alim qui reste silencieuse pour les positions de volume utilisées au quotidien. Sur mon système, elle commence à s’entendre à partir de la position 3/4 sans signal, mais le niveau sonore est déjà assourdissant.
Une plus grande facilité d’approvisionnement des jfets, une image sonore un peu moins centrée, et on ne serait pas loin de la perfection, en tout cas du préampli DIY idéal.
C’est un peu long, désolé, et n’allez pas imaginer que j’ai été soudoyé par Flatlabs pour promouvoir l’UGS … je n’ai pas touché tant que ça !
Un grand merci à Nelson PASS pour sa générosité et son aval à la publication de ce schéma alors que l’UGS est encore en production. Et bien entendu un très grand merci (et félicitations) à François qui nous fait profiter de ses compétences en électronique et de ses talents dans le domaine de l’audio, sans oublier Marc pour sa participation à l’UGS adventure.
Amicalement, Laurent
Les électrons sont censés être tous les mêmes. Mais en vérité, il y a ceux des couches périphériques, éloignés de leur noyau, précaires et souvent volages … et il y a cette toute petite poignée d’électrons, constants, fidèles qui ont le privilège de côtoyer au plus près leur noyau. Si le noyau détient le secret de la musique, l’UGS gravite indéniablement parmi ces premières couches électroniques … c’était la petite pensée à l’attention de ceux qui attendent le reste du crincrin.
- Lau700
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» 15 Mar 2007 12:06
moi je dis qu'une chose : bravo!!!... et tu me donnes envie d'accelerer tout mes projets pour en profiter
C'est joliment ecrit et c'est top
Merci a toi et bone ecoute
C'est joliment ecrit et c'est top
Merci a toi
et bone ecoute - Aceditnanar
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- Localisation: 69, année... hhmmmm, pardon !
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» 15 Mar 2007 12:43
Ventrebleu, ça c'est du CR !!!
Un grand merci à toi Laurent pour cette analyse pondérée et réfléchie. Et ça rejoint absolument toutes mes observations, hormis peut-être sur la largeur de scène sonore pour laquelle je n'ai pas vraiment d'éléments d'appréciation ou de comparaison, et que je trouve tout à fait "normale" à mon goût
En ce qui concerne le haut du spectre, je ne pense pas qu'il faille incriminer spécifiquement l'ugs. L'absence d'overshoot sur les mesures de Bobo semble montrer un comportement normal en bande passante. Mais si on ressent une légère agressivité dans le haut du spectre, je mettrais plutôt ça sur le compte de l'emsemble du système que sur l'ugs, qui agirait dans ce cas comme un révélateur... Cependant, on peut calmer ces comportements en rajoutant une petite capa (CFB) sur les ugs, pour adoucir ce côté-là. Quelques pF devraient suffire, mais c'est selon l'oreille et les goûts de chacun Je n'en ai pas ressenti le besoin chez moi cependant. Peut-être deviens-je dur de la feuille 
En tout cas, encore merci pour la peine prise, et profite de la zique.
Amicalement,
François
Un grand merci à toi Laurent pour cette analyse pondérée et réfléchie. Et ça rejoint absolument toutes mes observations, hormis peut-être sur la largeur de scène sonore pour laquelle je n'ai pas vraiment d'éléments d'appréciation ou de comparaison, et que je trouve tout à fait "normale" à mon goût
En ce qui concerne le haut du spectre, je ne pense pas qu'il faille incriminer spécifiquement l'ugs. L'absence d'overshoot sur les mesures de Bobo semble montrer un comportement normal en bande passante. Mais si on ressent une légère agressivité dans le haut du spectre, je mettrais plutôt ça sur le compte de l'emsemble du système que sur l'ugs, qui agirait dans ce cas comme un révélateur... Cependant, on peut calmer ces comportements en rajoutant une petite capa (CFB) sur les ugs, pour adoucir ce côté-là. Quelques pF devraient suffire, mais c'est selon l'oreille et les goûts de chacun
Je n'en ai pas ressenti le besoin chez moi cependant. Peut-être deviens-je dur de la feuille
En tout cas, encore merci pour la peine prise, et profite de la zique.
Amicalement,
François
- Flat
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» 15 Mar 2007 13:06
Bravo pour le CR
Angelilo.
Angelilo.
- ANGELILO
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- Localisation: Chacal's Land !
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» 15 Mar 2007 13:29
Bobo le Chat a écrit:breizheau a écrit:Pour info, il y aurait des paires disponibles chez Dan GARDNER au prix de 10$ la paire plus 5$ de transport !
merci Bobo
amha fo vous grouper
Bye
Roger
Vivi !!!
Merci Roger !!!!! J'en ai commandé 4 paires car une autre commande d'UGS plus le projet de Roger avec les UCD. J'aurai le stock ready comme ça. Pis s'il y a d'autres intéressés pour une mini CG de PCB, pourquoi ne pas en causer aussi !!!! - breizheau
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» 15 Mar 2007 13:58
[quote="gil-garcia"]si quelqu'un commande, merci de me faire signe.
On sait jamais si les projets de bobo ou phillby se révèlent extra ordinaire
Philippe[/quot]
bonjour a tous
je suis aussi interessé si une personne passe commande chez Dan pour 6 paires car moi est l'anglais...
On sait jamais si les projets de bobo ou phillby se révèlent extra ordinaire
Philippe[/quot]
bonjour a tous
je suis aussi interessé si une personne passe commande chez Dan pour 6 paires car moi est l'anglais...
- xerus
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