sylbarth a écrit:undweller a écrit:ben voila on est encore passé pour des balourds
Les balourds sont nécessaires... et ce n'est pas bien grave. Un proverve chinois dit "on peut être intelligent toute sa vie et stupide un instant". C'était notre instant, mais maintenant, fini de déconner alors ! J'avais confondu la discussion avec une autre que j'avais eu sur un forum de musique classique sur Berlioz.
Strauss a pratiquement commencé sa carrière de compositeur par un Concerto pour Cor avec l'ex-mari de la femme de Wagner, Hans von Bullow (haskil me corrigera avec plaisir si je me trompe). Dans les années 40, quelques années avant sa mort, il a récidivé avec un second Concerto pour Cor. Dans la famille, le cor, c'est sacré...
Pas un plaisir, une nécessité sans quoi les histoires se transforment et on finira pas dire que Boulez a cogné sur une corniste qui jouait pas assez fort !
Donc Strauss a écrit son premier concerto pour cor pour son papa qui était corniste à Munich.
Bulow, cocu heureux, anti sémite furieux, pianiste et chef d'orchestre, était élève de Liszt et la femme de Wagner la fille de Liszt. Cosima qu'elle s'appelait ! Une saleté qui a laissé son père mourrir seul après qu'il a eu un coup de froid dans un train qui le ramenait de Venise. Elle aimait tant son salaud de mari qu'elle tenait pour une génie, ce qu'il était en plus d'être un anti sémite encore pire que Bulow, qu'elle n'admettait pas que son père en fut un de génie (et en plus un grand homme) à qui Wagner a piqué beaucoup, aussi quand il est devenu vieux elle le cachait et dans ses derniers jours le pauvre à râlé et est crevé tout seul sans soins dans une maison glaciale.
On lui a fait après de belles funérailles : Liszt l'un des rares compositeurs qui fut un homme réllement fréquentable. Les femmes l'adoraient... même quand il portait la soutane.
Alain