Joich a écrit:Non, c'est un gros navet. Mais on a le droit d'aimer les navets. Personnellement, je refuse d'excuser les incohérences d'un scénario inepte par le fait que eh, oh, c'est de la SF, on fait ce qu'on veut.
De la SF ?
ça ?
Le plus étonnant, avec la BD Valerian et Laureline, c'est précisément qu'elle a largement inspiré ce nouveau genre cinématographique que l'on pourrait baptiser Héroïc fantasy dans l'espace, Western dans les espaces infinis, fantasia chez les ploucs...des films genre les star wars, 5ième élément...des suites de cartes postales, des histoires simples et marrantes, sympas, un tantinet crétines mais pas fatiguantes et agréables à regarder.
Une Sf qui ne s'interroge plus sur rien du tout et réfléchit juste de belles images sur l'écran, pompées en grande partie sur ces albums de SF de l'âge new-age que sont Valerian et Lauréline.
Et là avec l'adaptation de la source de tout ce pompage, on a carrément un copié/collé patchwork d'une tonne d'éléments des bd hors contexte, hors sens, c'est presque un hommage au pillage de contenu qu'un hommage à la BD.
Sérieux le nombre d'élements de la BD qui ont été utilisés en s'appliquant à chaque fois pour qu'ils n'aient aucun rapport en quoi que ce soit avec ce qu'ils sont dans la BD, c'est hallucinant
L'exercice n'est pas forcément facile et de fait là à mon avis c'est raté, dans le sens où l'assemblage final ne donne pas grand chose qui fasse sens.
Qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour faire une promo et paraître comme un poisson ds l'eau 
Valérian et la Cité des mille planètes (2017)
