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[vddan]

Critique assez désenchantée, un film au final, qui plaira plus aux jeunes filles qu'aux" vieux croutons" !!

Bah non ça a plu au Tup

C'était juste une blague pour tupeutla, à l'époque en l'écrivant je n'y avais pas pensé !!

[vddan]

J'ai passé une très bonne soirée. Ça se passe "de mon temps" !

Idem pour moi !

[Fabi]

Oui je poussais un peu dans l’excessif
Pour le système de notes, ce que je voulais dire c’est que si tu mets 8 à LMS ça laisse peu de marge pour les films de ton panthéon personnel (à moins que tu places LMS dans ton panthéon)

Entre 8 (LMS) et 10 (In the Mood for love), il y a encore 8,5-9-9,5
Mais oui, LMS est dans mes tops.

[LeBarr]

Oui je poussais un peu dans l’excessif
Pour le système de notes, ce que je voulais dire c’est que si tu mets 8 à LMS ça laisse peu de marge pour les films de ton panthéon personnel (à moins que tu places LMS dans ton panthéon)

Entre 8 (LMS) et 10 (In the Mood for love), il y a encore 8,5-9-9,5
Mais oui, LMS est dans mes tops.

Moi aussi. Avec le temps qui passe (c'est peut-être cela vieillir ), j'apprecie plus qu'avant les films au rythme plus lent, qui prend le temps de "placer" son récit et ses personnages. A l'epoque, mon épouse avait trouvé LMS d'un ennui abyssal, or elle est plutôt bon public. C'est pourtant un Road-Movie agréable a suivre, avec de nombreuses péripéties parfois drôles, parfois émouvantes, ...
J'essaie de ne pas juger le film par le style de son réalisateur, cela a tendance a trop orienter le point de vue sur le film...

[Fafa]

Pour Bliss, heureusement qu'il y a Ellen Page.
J'adore cette gamine!

Elle a tout de même 24 ans ...

Ouais, mais elle a un physique de môme de 12 ans, donc bon...
Et elle joue souvent (toujours?) des rôles d'ados.

[SONTRACTEUR]

The man from nowhere de Lee Jeong-beom – Corée du Sud 2010


TAESIK est un ancien agent spécial des forces armées, recyclé en préteur sur gage et vivant en reclus. Seule la petite SOMI, la fille de sa voisine, a pu s’immiscer un peu dans sa vie. Un jour la mère de SOMI lui confie en gage un sac photo, qui contient entre autres choses de la drogue qu’une organisation de très dangereux criminels veut récupérer. Ils menaceront TAESIK, tortureront la mère et enlèveront SOMI. C’est plus qu’il n’en faut pour que TAESIK redevienne le super guerrier d’élite qu’il n’a jamais cessé d’être et ça va chier !

Excellent film d’action coréen où le héros ne sourit jamais et où les méchants ne sont pas des moitiés de salauds. Ils sont très très méchants : trafic d’organes, de drogues, d’enfants et d’organes d’enfants. Mais qu'est-ce qu'ils sont drôles autant que cruels ! Les combats sont superbes, c'est bien filmé, bien joué et l’histoire est juste un peu plombée de temps en temps par d’inévitables scènes tire-larmes où ils en font tous des caisses. On passe un excellent moment.

[takeshi29]

The man from nowhere de Lee Jeong-beom – Corée du Sud 2010


TAESIK est un ancien agent spécial des forces armées, recyclé en préteur sur gage et vivant en reclus. Seule la petite SOMI, la fille de sa voisine, a pu s’immiscer un peu dans sa vie. Un jour la mère de SOMI lui confie en gage un sac photo, qui contient entre autres choses de la drogue qu’une organisation de très dangereux criminels veut récupérer. Ils menaceront TAESIK, tortureront la mère et enlèveront SOMI. C’est plus qu’il n’en faut pour que TAESIK redevienne le super guerrier d’élite qu’il n’a jamais cessé d’être et ça va chier !

Excellent film d’action coréen où le héros ne sourit jamais et où les méchants ne sont pas des moitiés de salauds. Ils sont très très méchants : trafic d’organes, de drogues, d’enfants et d’organes d’enfants. Mais qu'est-ce qu'ils sont drôles autant que cruels ! Les combats sont superbes, c'est bien filmé, bien joué et l’histoire est juste un peu plombée de temps en temps par d’inévitables scènes tire-larmes où ils en font tous des caisses. On passe un excellent moment.

Et un excellent polar coréen de plus, un... De facture classique, le scénario très prenant est servi par une mise en scène pas révolutionnaire mais très efficace. C'est noir, violent, tout ce que j'aime dans les meilleurs polars coréens en fait. Seul bémol : un peu trop d'action pour moi, surtout sur la fin, car ce n'est pas trop mon truc, et que AMHA ce film-là aurait gagné à éviter quelques scènes de combat qui viennent un peu parasiter l'histoire, suffisamment forte pour se suffire à elle-même.

Note : XXX (8/10)

[jacko]

Pour Bliss, heureusement qu'il y a Ellen Page.
J'adore cette gamine!

Elle a tout de même 24 ans ...

Ouais, mais elle a un physique de môme de 12 ans, donc bon...
Et elle joue souvent (toujours?) des rôles d'ados.

Toi tu m’inquiète !

[Fafa]

Y'a pourtant vraiment pas de quoi.
De par mon métier, les ados, ça me connait!

Et tu devrais savoir de quel film est tirée cette réplique, que j'ai un peu arrangée.
A l'origine, je crois que c'était : "elle a un cul de môme de 12 ans" en parlant d'une femme adulte.
Alors? Quel film?

[le loup celeste]

Le Flingueur ("The Mechanic") de Simon West:

Alors qu'il vient d'éliminer son mentor et ami, un tueur d'élite est contacté par le fils de ce dernier qui lui demande de l'aider à se venger de ceux qui ont tué son père...

Avec sa trame classique mais carrée et ses séquences d'actions dévastatrices, cette série B rondement menée est un thriller musclé et énergique interprété par des acteurs virils (Jason Statham est excellent en tueur à gages solitaire, tout comme Ben Foster) qui donnent de leur personne. Un divertissement d'action très efficace.

*****

Critique complète...http://www.leloupceleste.fr/article-le-flingueur-84303727.html

[karyboue]

Grande soirée cinéma (enfin, vidéo plutôt) devant l'excellentissime BLISS. Je ne sais pas s'il s'agissait de sa première réalisation, mais Drew Barrymore confirme l'adage selon lequel les acteurs passent souvent avec succès derrière la caméra. Rien de trés original dans le scénario mais un casting trés juste, un film qui vous donne la banane. Une mention spéciale pour Ellen PAGE.
A bien y penser le seul problème de ce film est JUNO dont le film s'inspire grandement dans le ton. La magnifique Ellen risque bien de s'enfermer sous l'étiquette Ado hypermature et attendrissante..
Rare pour une comédie ado US. J'ose le 8/10 (serait monté à 9 si cette oeuvre n'avait pas déjà un précédent)

Pour moi :
Juno = tendance
Bliss = intemporel

Bliss, pour moi, n'est pas ado blablablabla mais un vrai film féministe au sens progressiste (tout le contraire des "vieilles" chiennes de garde ou de la Royal complainte)

[tupeutla]

Grande soirée cinéma (enfin, vidéo plutôt) devant l'excellentissime BLISS. Je ne sais pas s'il s'agissait de sa première réalisation, mais Drew Barrymore confirme l'adage selon lequel les acteurs passent souvent avec succès derrière la caméra. Rien de trés original dans le scénario mais un casting trés juste, un film qui vous donne la banane. Une mention spéciale pour Ellen PAGE.
A bien y penser le seul problème de ce film est JUNO dont le film s'inspire grandement dans le ton. La magnifique Ellen risque bien de s'enfermer sous l'étiquette Ado hypermature et attendrissante..
Rare pour une comédie ado US. J'ose le 8/10 (serait monté à 9 si cette oeuvre n'avait pas déjà un précédent)

Pour moi :
Juno = tendance
Bliss = intemporel

Bliss, pour moi, n'est pas ado blablablabla mais un vrai film féministe au sens progressiste (tout le contraire des "vieilles" chiennes de garde ou de la Royal complainte)

Assez d'accord avec vous.

[lag@uffre]

J'ai trouvé Bliss assez ridicule dans sa tentative de féminisme à la cool attendrissant. Les dialogues sont douloureux, le ton est débile, ca cabotine à mort...intemporel? Vraiment?

Par contre, ayant aimé Juno à sa sortie j'en suis un peu revenu. Il est surtout très symptomatique des comédies américaines récentes. Derrière une apparence "tendance" "cynique" "décalé" "cool" se cache un vrai fond de puritanisme. A bien regarder, tous les films Apatow en sont aussi.

Pour LMS, un bon film indé dans le sens carré du terme, avec toutes ses figures imposées...mais j'aime pas qu'un film indé soit carré.

[metallicam]

The man from nowhere de Lee Jeong-beom – Corée du Sud 2010


TAESIK est un ancien agent spécial des forces armées, recyclé en préteur sur gage et vivant en reclus. Seule la petite SOMI, la fille de sa voisine, a pu s’immiscer un peu dans sa vie. Un jour la mère de SOMI lui confie en gage un sac photo, qui contient entre autres choses de la drogue qu’une organisation de très dangereux criminels veut récupérer. Ils menaceront TAESIK, tortureront la mère et enlèveront SOMI. C’est plus qu’il n’en faut pour que TAESIK redevienne le super guerrier d’élite qu’il n’a jamais cessé d’être et ça va chier !

Excellent film d’action coréen où le héros ne sourit jamais et où les méchants ne sont pas des moitiés de salauds. Ils sont très très méchants : trafic d’organes, de drogues, d’enfants et d’organes d’enfants. Mais qu'est-ce qu'ils sont drôles autant que cruels ! Les combats sont superbes, c'est bien filmé, bien joué et l’histoire est juste un peu plombée de temps en temps par d’inévitables scènes tire-larmes où ils en font tous des caisses. On passe un excellent moment.

Et un excellent polar coréen de plus, un... De facture classique, le scénario très prenant est servi par une mise en scène pas révolutionnaire mais très efficace. C'est noir, violent, tout ce que j'aime dans les meilleurs polars coréens en fait. Seul bémol : un peu trop d'action pour moi, surtout sur la fin, car ce n'est pas trop mon truc, et que AMHA ce film-là aurait gagné à éviter quelques scènes de combat qui viennent un peu parasiter l'histoire, suffisamment forte pour se suffire à elle-même.

Note : XXX (8/10)

Quid de l'aspect technique du BR ?

[Fabi]

Les meilleurs amis du monde



réalisé par : Julien Rambaldi
avec : Marc Lavoine, Léa Drucker, Pascale Arbillot, Pierre-François Martin-Laval...
synopsis : "Un week-end au vert avec vos meilleurs amis. Ceux qui vous aiment vraiment. Ceux en qui vous avez une confiance absolue. Ceux qui vous comprennent et vous disent toujours la vérité. Et surtout, ceux qui vous pourrissent sans savoir qu’ils ont appuyé sur la touche rappel de leur téléphone".

Que dire d'autre que "dommage! dommage! dommage!"
C'était une excellente idée au départ. Qui de nous n'a jamais balancé des vacheries sur ses meilleurs amis? Thème croustillant à souhait pour mon petit cerveau féminin
Dommage parce que ce film, prometteur au départ, vire au ridicule neuneu très très vite.
Dommage parce que les acteurs en font vraiment des tonnes et des tonnes, c'est hautement pathétique! (Lavoine et Arbillot sont consternants)
Dommage parce que j'ai perdu un temps fou alors que j'avais hésité avec un bon vieux Woody Allen.

Ce film m'a fait penser,par contre, à un excellent court-métrage francophone sur le même thème, mais qui assume, lui, son propos cruel jusqu'au bout. Un petit bijou très jouissif. Malheureusement, j'en ai oublié le titre et même en fouillant le net de fond en comble, je n'ai pas pu le retrouver. Décidément, dommaaage!