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Films (débats, critiques), personnalités (acteurs, réalisateurs), prochaines sorties, les salles, la presse spécialisée...

► CRITIQUES des derniers films vus

Message » 27 Aoû 2011 11:33

Pour nosferatu, rien que le visuel l'acteur est inquiétant, pour ceux qui auraient raté ce film, sachez que cdiscount la vendu en DVD à moins de 2€ pendant des années domaine public oblige... ;) on ne sait jamais il leur en reste peut être encore tout comme les chasses du compte zarrof.
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Message » 27 Aoû 2011 11:50

tupeutla a écrit:
takeshi29 a écrit:Perso, j'ai totalement craqué pour ce film.

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"La gageure que représente le fait de méler biopic et film d'auteur est ici parfaitement relevée par un Joann Sfar très très inspiré. Son imagination parsème le film de moments originaux, émouvants, troublants. Si on apprend bien peu de choses, on passe un moment de pure jouissance. Tout est bon dans ce cochon...de Gainsbourg. Un grand moment de cinéma, un grand moment tout court."

Note : XXX(X)


A l'époque, j'avais dit :

Au risque de déplaire, je décerne la palme d’or du navet pur jus de l’année. Une heure ! J’ai tenu une heure devant ce brouet prétentieux et insipide. C’est mal joué et c’est grotesque (Ah la marionnette omniprésente !). L’acteur principal qui incarne Gainsbourg, nous montre Gainsbourg jeune qui parle comme notre vieux gainsbarre ! Un Discorama de ses débuts, où SG est interviewé par Denise Glaser, montre que c’est complètement à côté de la plaque. Tout sonne faux là-dedans. Il y a autant de poésie dans ce film que dans un discours de Jean-Marie Le Pen en rut ! Je n’ai pas eu le courage d’attendre de voir ce que la transparente non-comédienne Casta avait fait de Brigitte Bardot. Pour les décors qui sont jolis, je tempérerai ma note. Sinon, tout cela me semble plus dégagréable qu’une gastro-entérite de noël…
Pas étonnant que certains membres de la famille Ginsburg n’aient pas voulu voir ce pauvre naufrage.
Image

0,05/20

Moralité : 100 % Bobo compatible.


Déplaire à qui? La bienséance impose aux bobos d'avoir de la compassion pour son prochain.

Pour ma part, j'ai beaucoup aimé. Je craignais justement une biographie qui, en cherchant à "faire vrai", sonne complètement faux. Mais Joann Sfar, par bonheur, voulait imposer sa propre vision, non de la vie de Gainsbourg, mais de son univers fantasmatique. En tant que dessinateur et scénariste de BD, il apporte une dose de poésie fabuleuse à ce film.
Même si je pense que le film aurait gagné à être un rien plus court, je le trouve absolument fascinant.
Par ailleurs, je trouve le travail d'Elmosnino assez sidérant.
Casta est une BB relativement correcte, même s'il lui manque la touche de génie pour transcender l'imitation et faire exister le personnage.
Mais la poésie est là, la magie opère.
Gainsbourg continuera à m'emporter encore très très longtemps.

Je ne résiste pas à l'envie de partager ma préférée. Cadeau!

Fabi, bobo qui s'ignore.
(courage, pour ta gastro-entérite! :mdr: )

[youtube]7vJvwD3XADc[/youtube]
Dernière édition par Fabi le 27 Aoû 2011 16:55, édité 1 fois.
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Love et autres drogues

Message » 27 Aoû 2011 11:53

vddan a écrit:Love et autres drogues / Test blu-ray zone B
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Le film : Très bien !

Plutôt habitué aux grandes fresques, Edward Zwick , le réalisateur du Dernier samouraï, de Glory ou encore du violent Blood Diamond, nous donne aujourd'hui une comédie romantique doublée d'une satire sur les visiteurs médicaux.

Le titre du film pas très judicieux, peut nous faire croire à un vaudeville à la Judd APATOW, mais pas du tout c'est bien plus fin et bien mieux écrit avec une touche de romantisme qui n'affadit pas le propos.

Jake Gyllenhaal et Anne Hathaway, qui formaient déjà un couple dans Le Secret de Brokeback Mountain, se trouvent réunis à l'écran pour la seconde fois. Le duo est excellent, plein de charme et d'humour il nous emballe durant presque deux heures.

Le film très actuel mélange les genres et trouve l'équilibre entre comédie et mélo, romance et dénonciation des pratiques de l'industrie pharmaceutique.

A voir !!

Fiche complète...............http://critiquesdefilms.over-blog.net/a ... 19937.html


Edward Zwick est loin d'être un grand réalisateur mais c'est indéniablement un malin : ici il tente d'arriver à la comédie romantique la plus basique qui soit par l'intermédiaire d'une histoire parallèle, celle de la maladie, usant ainsi d'une sorte de chantage affectif assez dégoûtant. De toute façon, pas de problème, le résultat final est le même que pour 90% des productions du genre : insipide et ultra-conventionnel.

Note : 0

Désolé vddan
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Message » 27 Aoû 2011 12:34

Tu te doutes que je ne suis d'accord avec toi !! :zen:

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Message » 27 Aoû 2011 12:43

"Les filles du Botaniste"
Image

Réalisateur : Dai Sijie
Avec : Mylène Jampanoï, Li Xiaoran, Dongfu Lin, Wang Weidong, Nguyen Van Quang, Nguyen Thi Xuan Thuc, Yang Jun, Lê Tung Linh, Chu Hung, Tuo Jilin ...

Résumé: "Dans la Chine des années 80, tous les tabous ne sont pas levés.
Min, une jeune orpheline, part faire ses études chez un botaniste de renom. Homme secret et père autoritaire, son professeur vit sur une île qu'il a transformée en jardin luxuriant. Contrainte de partager cette vie solitaire et effacée, sa fille An accueille avec joie l'arrivée de l'étudiante. Très vite complices, les deux jeunes femmes voient leur amitié évoluer vers une attraction troublante, sensuelle et interdite.
Incapables de se séparer, Min et An imaginent bientôt un dangereux arrangement pour continuer à partager le même toit..."


Je n'avais aucune envie, au départ, d'émettre un avis quelconque sur ce "film" qui ne le mérite pas. Mais réflexion faite, il est criminel de laisser ce genre de production se balader impunément dans la nature.
Film inconsistant, caricatural, "Les Filles du Botaniste" ressemble à une succession de clichés, maintes et maintes fois utilisés au cinéma. Du déjà vu à chaque image, du déjà entendu à chaque parole...
Le jeu des actrices n'est ni fin ni convaincant. Celui des acteurs masculins (botaniste, juge, frère,...) est caricatural.
Les images et décors sont par contre superbes. Deux jolies filles, et le VietNam dans sa splendeur tranquille...
Cela ne compense toutefois en rien l'extrême inintérêt de ce film qui rejoint fissa "Les femmes de l'Ombre" au rang des bruits de fond pour corvées ménagères.

Image Image Image
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Les Filles du Botaniste - Dai Sijie

Message » 27 Aoû 2011 14:10

Fabi67 a écrit:"Les filles du Botaniste"
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Réalisateur : Dai Sijie
Avec : Mylène Jampanoï, Li Xiaoran, Dongfu Lin, Wang Weidong, Nguyen Van Quang, Nguyen Thi Xuan Thuc, Yang Jun, Lê Tung Linh, Chu Hung, Tuo Jilin ...

Résumé: "Dans la Chine des années 80, tous les tabous ne sont pas levés.
Min, une jeune orpheline, part faire ses études chez un botaniste de renom. Homme secret et père autoritaire, son professeur vit sur une île qu'il a transformée en jardin luxuriant. Contrainte de partager cette vie solitaire et effacée, sa fille An accueille avec joie l'arrivée de l'étudiante. Très vite complices, les deux jeunes femmes voient leur amitié évoluer vers une attraction troublante, sensuelle et interdite.
Incapables de se séparer, Min et An imaginent bientôt un dangereux arrangement pour continuer à partager le même toit..."


Je n'avais aucune envie, au départ, d'émettre un avis quelconque sur ce "film" qui ne le mérite pas. Mais réflexion faite, il est criminel de laisser ce genre de production se balader impunément dans la nature.
Film inconsistant, caricatural, "Les Filles du Botaniste" ressemble à une succession de clichés, maintes et maintes fois utilisés au cinéma. Du déjà vu à chaque image, du déjà entendu à chaque parole...
Le jeu des actrices n'est ni fin ni convaincant. Celui des acteurs masculins (botaniste, juge, frère,...) est caricatural.
Les images et décors sont par contre superbes. Deux jolies filles, et le VietNam dans sa splendeur tranquille...
Cela ne compense toutefois en rien l'extrême inintérêt de ce film qui rejoint fissa "Les femmes de l'Ombre" au rang des bruits de fond pour corvées ménagères.

Image Image Image


Il est vrai que Dai Sijie a réussi à faire pire avec ces "Filles..." qu'avec son précédent "Balzac et la Petite Tailleuse chinoise". Après s'être attaqué à la littérature francophone, il a dorénavant décidé d'assassiner le cinéma. Pourquoi tant de haine Mr Dan ?
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Message » 27 Aoû 2011 14:12

vddan a écrit:Tu te doutes que je ne suis d'accord avec toi !! :zen:


Je m'en doutais et m'en excusais même, d'où la présence de ce : Désolé vddan
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Message » 27 Aoû 2011 14:33

Tout à fait dispensable.................... 8)

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Message » 27 Aoû 2011 18:35

Recherche Susan désespérément - ArteHD

Synopsis: Femme au foyer, Roberta épie la vie de Susan, une punkette libérée. Consécration pour Madonna, cette comédie déjantée lancera aussi les carrières de Rosanna Arquette et de Susan Seidelman, future réalisatrice de Sex and the city. (source Arte.tv)

Madonna viens trainer sur les plateaux cinéma et on a pas vraiment l'impression qu'elle joue la comédie mais plutôt qu'elle duplique simplement son comportement de la vrai vie (du moins l'image qu'on s'en fait). Sympathique pour le trip 80s et pour Rosanna Arquette...le reste bof.

Note: 2/5
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Message » 27 Aoû 2011 18:49

Kill Bill, volumes 1&2

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Une claque à tous les niveaux :un film jouissif à voir sans modération si vous n'avez pas peur des jais l’hémoglobine !

Ma note : 5/5

-----------------------------------------------------
Notation :

0/5 -nul, navet, à chier...
1/5 -médiocre, j'ai pas accroché, soporifique...
2/5 -se laisse voir, mais sans plus...
3/5 -bon film, on passe un moment agréable...
4/5 -excellent film...
5/5 -un chef d’œuvre, magnifique...
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Message » 27 Aoû 2011 19:03

Le barbier de Sibérie

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"En 1885, Jane Callahan, seduisante Americaine, part pour la Russie. Au cours de son voyage, elle fait la connaissance d'Andrey Tolstoi, jeune cadet avec lequel elle partage le meme amour pour la musique. A Moscou Jane retrouve Douglas McCracken, un inventeur qui tente de vendre aux Russes une imposante machine a deboiser. Il demande a Jane, qu'il fait passer pour sa fille, de seduire le general Radlov, qui peut lui amener le marche. Ce dernier tombe sous le charme de Jane et, ignorant les sentiments que Tolstoi eprouve pour la jeune femme, il demande au cadet de l'accompagner chez Jane."

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... =8245.html



Un film qui vous fait passer par toutes les émotions, à la fois drôle triste et mélancolique.

Ma note : 3/5

-----------------------------------------------------
Notation :

0/5 -nul, navet, à chier...
1/5 -médiocre, j'ai pas accroché, soporifique...
2/5 -se laisse voir, mais sans plus...
3/5 -bon film, on passe un moment agréable...
4/5 -excellent film...
5/5 -un chef d’œuvre, magnifique...
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Message » 27 Aoû 2011 19:23

vddan a écrit:Tout à fait dispensable.................... 8)


C'était de ma part une forme de politesse. A force, tu pourrais imaginer que je prends un malin plaisir à te contredire, ce qui n'est pas du tout le cas. D'autant qu'il m'arrive d'être de ton avis. :wink:
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Le Barbier de Sibérie

Message » 27 Aoû 2011 19:33

opbilbo a écrit:Le barbier de Sibérie

Image

"En 1885, Jane Callahan, seduisante Americaine, part pour la Russie. Au cours de son voyage, elle fait la connaissance d'Andrey Tolstoi, jeune cadet avec lequel elle partage le meme amour pour la musique. A Moscou Jane retrouve Douglas McCracken, un inventeur qui tente de vendre aux Russes une imposante machine a deboiser. Il demande a Jane, qu'il fait passer pour sa fille, de seduire le general Radlov, qui peut lui amener le marche. Ce dernier tombe sous le charme de Jane et, ignorant les sentiments que Tolstoi eprouve pour la jeune femme, il demande au cadet de l'accompagner chez Jane."

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... =8245.html

Un film qui vous fait passer par toutes les émotions, à la fois drôle triste et mélancolique.

Ma note : 3/5

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Notation :

0/5 -nul, navet, à chier...
1/5 -médiocre, j'ai pas accroché, soporifique...
2/5 -se laisse voir, mais sans plus...
3/5 -bon film, on passe un moment agréable...
4/5 -excellent film...
5/5 -un chef d’œuvre, magnifique...


C'est selon moi un des plus beaux mélos que compte le cinéma moderne, et surtout un mélo comme on n'ose plus en faire (ou alors très maladroitement). Nikita Mikhalkov, cinéaste mégalo au possible, se sert cette fois à bon escient de son style outrancier pour signer son "Docteur Jivago" à lui.

Note : XXX(X)
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Message » 27 Aoû 2011 19:46

takeshi29 a écrit:
vddan a écrit:Tout à fait dispensable.................... 8)


C'était de ma part une forme de politesse. A force, tu pourrais imaginer que je prends un malin plaisir à te contredire, ce qui n'est pas du tout le cas. D'autant qu'il m'arrive d'être de ton avis. :wink:


Tu as ton opinion et c'est très bien....donc pas besoin de t'excuser !
Moi aussi de temps en temps je suis de ton avis, mais je reconnais que tu passes facilement de 0 à 10 ; donc les extrême ce n'est pas ma tasse de thé !
Mais c'est juste mon opinion.....donc continu :wink:

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Et les lâches s'agenouillent...

Message » 27 Aoû 2011 20:15

Image

Résumé : Guy Maddin est en proie à des forces qu'il ne peut contrôler, des forces qui n'ont de cesse de l'empêcher d'être un bon fils et un bon mari. Sa vie bascule lorsqu'il rencontre Meta, une jeune fille dont il tombe amoureux...
Réalisé par Guy Maddin
Avec Guy Maddin, Melissa Dionisio, Amy Stewart,...
Titre original : Cowards Bend the Knee
Origine : Canada
Genre : Drame
Durée : 66'
Date de sortie cinéma : 29 décembre 2004
Année de production : 2003

Guy Maddin, cinéaste certes inclassable, est trop souvent catalogué d'expérimental. Ce qui le coupe malheureusement d'un large public, alors que certains de ces films, s'ils ne sont pas à proprement parler "classiques" sont bien plus abordables qu'on ne veut bien le dire, "The Saddest music in the world" en étant certainement le plus bel exemple.

Quand ce matin, j'ai reçu le dernier Maddin qu'il me restait à voir, j'ai immédiatement penser à une partie des derniers échanges qui ont eu lieu ici même ces derniers jours et je me suis dit que le hasard était parfois troublant. J'ai décidé aussi que ma décision était prise, le moment était venu de rencontrer de visu une personne du forum, je veux parler de Tupeutla. Vous pensez que j'ai trop bu ce soir ou que le moment est venu pour moi de retourner à l'HP dont je n'aurais jamais dû sortir ? Alors je m'explique.

Ce "Et les lâches s'agenouillent..." est tourné en noir et blanc teinté, en 8mm, au format 4/3, il est muet, et son réalisateur a signé il y a quelques années une version muette et dansée de "Dracula". Ceux qui suivent le fil de ce sujet comprendront ma décision de contacter Tupeutla et de lui proposer de partager avec moi ce grand moment de jouissance cinématographique. Mais j'avoue, j'ai été faible, et ai cédé à l'impatience de voir ce film immédiatement, et je l'ai donc visionné tout seul, sans un Tupeutla fou de bonheur à mes côtés.

Cette autobiographie (?) du réalisateur est folle, poétique, graphiquement sublime, en réalité un parfait résumé de l'oeuvre extrême de cet artiste multi-cartes qu'est Maddin.
Si un jour, il vous prenait l'envie de découvrir ce canadien fou, je vous conseillerais cependant de ne pas commencer par ce film-là, car il est presque indispensable d'avoir toutes les cartes en main (les cartes étant ici le reste de sa filmographie) pour se laisser faire et rentrer sereinement dans ce monde à part, très à part.

Note : XXX(X)

Et le film ne faisant que 66 minutes, j'en ai profité pour découvrir 2 de ses très nombreux courts-métrages : "Sissy Boy Slap party" et "Sombra Dolorosa"

J'ai créé un post dédié au DVD : http://www.homecinema-fr.com/forum/viewtopic.php?f=1349&t=29971208
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