On a commencé avec Nina Nastasia, Cry Cry baby
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Folk d'abord dépouillé puis qui se charge progressivement dans l'orchestration.C'est propre c'est net, on entend même les petits grincements de chaise en arrière plan mais il y a un petit côté aceptisé en particulier sur la voix de Nina Nastasia qui empêche de rentrer dans le morceau.
Même impression sur le 9 Crimes de Damien Rice. Sur mes précédentes amplifications, la chanteuse était dans la pièce. Là on entend juste une belle chanson (qui finit mal).
On enchaîne avec The Hell Hounds of Krim du Live in Toroton, de King Crimson. Le morceau est un trio de batteries qui commence avec celle de droite (parfait pour vérifier les branchements) puis celle du centre et celle de gauche. Ce morceau était une ref pour moi du temps de mes Electrocomp et quand j'étais passé au Classé, j'avais été surpris qu'il rende moins bien. là c'était vraiment la cata. Ok pour la dynamique, Ok pour la précision mais la batterie de droite sonne comme une une electronique des années 90..
.Sensation malheureusement confirmée avec un solo de Joey Baron sur le live in Sevilla de John Zorn Massada.
Heureusement derrière, le Slow Down d'Imany nous a fait vivre un bon moment de musique avec une belle scène sonore fourmillant de détails, une voix pleine et incarnée.
On a ensuite vraiment passé un bon moment avec le Erik S. de Astrïd (tiré de l'album High Blues). Ce groupe français nous invite à la rêverie avec guitare, violon clarinette basse et tout un tas de bruits d'ambiance que je n'avais
jamais entendus aussi distinctement.
On s'est alors demandé si on écoutait la même installation. Ucdfan m'a alors fait mettre un Angus et Julia Stone (Death Defying Acts). Je ne connaissaispas mais vu la grimasse de mon camarade à l'arrivée de Julia, ça ne le faisait pas du tout...
J'ai voulu voir ce que ça donnait en Classique... Transition douce avec le Kaja Dracksler Octet, Never Again Will Birds' Song Be the Same. Après une percussion metallique qui a encore gagnée en détails, le morceau se poursuit avec 2 chanteuses classiques qui conversent. Le côté raide et la meilleure precision convient à cette conversation... Mais ce que je voulais entendre, c'est le bourdement de violon du roumain George Dimitriu qui vientaprès. Une seule note frottée et gratée avec d'infimes modulations qui invite à la transe (enfin si on se laisse porter)... Et bien là, la spiritualité de la chose est perdue.
On a fini l'écoute avec le premier mouvement du concerto n°4 de Haydn arrangé pour Flûte E. Pahud et Hautbois F. Leleux. Belle scène sonore, précise, un poil plus nette et détourée que d'habitude. Ce qui nous intéresse à la maison c'est la fusion des deux solistes. Avec le minidsp bien que les instruments soient à l'unisson, on arrive à les séparer, ce qui n'était pas le cas avec lle Classé. Après je suis un peu frustré des timbres de ces 2 instruments.
La situation est inédite pour moi car c'est la première fois que j'écoute une config chez moi avec laquelle je ne pourrais pas coexister. Pourtant les blocs ailleurs avec un autre dac et preamp ne me posent pas de probleme et le minidsp a d'excellente mesures.
Dans la semaine, j'ai écouté le minidsp shd en dac seul à 0dB sur mon Yam avec les Vivids en pleine bande. L'écoute est un peul plus souple, mais je ne retouve pas mes repères.
Audiophonics a accepté de reprende le minidsp après presque 15j mais le produit est tellement bien dans ses fonctionnalités que je me demande si je ne vais pas le garder : en alternative aussi complete dans le bass management, iln y a que le Delta Pre Classé et le Trinnov Amethyst, bien trop chers...Aujourd'hui je vais le tester en pre numerique. Si c est concluant, je pourrais mettre 'un meilleur dac' pour les Vivids et/ou faire améliorer les etages de sorties analogiques et/ou l'alimentation du minidsp.
Après il y a le chantier de l'amplification....
Je note tes suggestions et attend aussi ton retour sur le Rythmic...
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