Francois
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Modérateurs: Modération Forum Haute-Fidélité, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 21 invités
san-antonio a écrit:Edité par Haskil : quote inutile.
J'opine et reconnait le HS. En même temps, ces sujets vinyl/CD sont lassants car tournant en rond a chaque fois. La vérité est toute simple et tient en 5 points:
1 - la tres grosse majorité des personnes écoutant en comparo un CD bien lu et un vinyle bien lu (ce qui est plus difficile, le support s'altérant par usure mécanique) préfèrent le vinyle. Et je parle des quidams, pas des idiophiles perclus de préjugés et de préférences sans fondement tels que nous le sommes tous peu ou prou sur ce faux rhum.
2 - tu enregistres un vinyle sur un Cd, ce dernier sonne exactement comme l'original.
3 - C'est donc que le support n'est pas en cause! Au contraire, meme, le support moderne ( le top étant disque dur ou flash) est très supérieur a n'importe quel vinyle : pas de rumble, pas de bruit de surface, pas de pleurage du au voilage, a l'excentration, pas d'altération mécanique au fil des lectures, insensibilité a la poussière, pas de bras qui rentre en transe sur les forte, pas de compression RIAA plus ou moins bien suivie par les preamp, pas de distorsion de fin de face due a une vitesse linéaire du diamant trop faible... Ca commence a faire beaucoup contre le vinyle. Et pourtant, il vit, et surtout sonne merveilleusement.
4 - C'est donc que ce qui est gravé sur le CD par les inges du son est discutable. (pas toujours, certains de CD de ma collection sonnent admirablement). Je ne sais si le couac est au moment du mastering ou du mixage, mais dans la grande majorité des cas, il faut reconnaitre que le rendu est médiocre, voire mauvais (les CD de pop des 80's par exemple, simplement inécoutables car agressifs et d'une dynamique fine inexistante).
5 - On fait quoi alors? Essayer de se persuader que le numériques est la voie royale, s'y jeter corps et âmes alors que les professionnels ne savent même pas s'en servir correctement, ou continuer a jouer avec nos vielles galettes dont les professionnels de l'époque avaient sorti tout le jus? Qu'est-ce qui marche mieux sur circuit : une Ferrari avec des pneus trop fins, du SP95 dedans, des réglages de châssis approximatifs et conduite par un manche ou une simple Rono Megane RS peaufinée, réglée et chaussée aux oignons et pilotée par un as de la conduite? A votre avis.
Moi j'ai choisi...
Et surtout, quand, pour de bon, aurons-nous l'opinion d'ingés du son (journaleux et critiques, vous abstenir, merci...)!
frgirard a écrit:question aux exegetes : a partir de quand la compression est apparue sur le vinyl ?
Francois
FDRT a écrit:Bref, le vynile c'est approximatif, comme le tube, le HR, ... toute une époque quoi !
Robert64 a écrit:FDRT a écrit:Bref, le vynile c'est approximatif, comme le tube, le HR, ... toute une époque quoi !
Je ne comprend pas cette association. Pour le vinyle et les tubes, je vois à peu près ce tu veux dire, pour le HR c'est moins clair. Tu peux développer ?
(parce que à cette époque j'ai connu des amplis à transistors très approximatifs et du BR encore plus )
A+
Sagem a écrit:Et bonjour la sous exploitation du bidule quand tu vois ce que ça peut sonoriser comme surface! Mais c'est un autre débat....
Sagem a écrit:faut avoir une boite de nuit
san-antonio a écrit:4 - C'est donc que ce qui est gravé sur le CD par les inges du son est discutable. (pas toujours, certains de CD de ma collection sonnent admirablement). Je ne sais si le couac est au moment du mastering ou du mixage, mais dans la grande majorité des cas, il faut reconnaitre que le rendu est médiocre, voire mauvais (les CD de pop des 80's par exemple, simplement inécoutables car agressifs et d'une dynamique fine inexistante)...
Et surtout, quand, pour de bon, aurons-nous l'opinion d'ingés du son (journaleux et critiques, vous abstenir, merci...)!
haskil a écrit:
Ta vérité à toi tiens en 5 points.
haskil a écrit:Quand certains points pourraient être explicités différemment voire autrement et même quand on pourrait y pointer des propos pas très pertinent et contradictoires :
haskil a écrit:La fin du point 3 : il y a beaucoup de LP qui sonnent fort mal en fin de face à cause des limites que tu décris.
haskil a écrit:Les points 4 et 5. On peut parfaitement remplacer le mot CD par LP et ce serait la même chose. Des LP mauvais, issus de bandes mal mixées, mal mastérisées, mal gravées, mal pressées : il y en a des dizaines et des dizaines de milliers !
haskil a écrit:Et petit rappel : personne n'est exclu des discussions, et ton propos est désobligeant pour des forumeurs qui sont, au minium, ce que tu es toi... puisqu'ils publient ici.
Igor Kirkwood a écrit:san-antonio a écrit:4 - C'est donc que ce qui est gravé sur le CD par les inges du son est discutable. (pas toujours, certains de CD de ma collection sonnent admirablement). Je ne sais si le couac est au moment du mastering ou du mixage, mais dans la grande majorité des cas, il faut reconnaitre que le rendu est médiocre, voire mauvais (les CD de pop des 80's par exemple, simplement inécoutables car agressifs et d'une dynamique fine inexistante)...
Et surtout, quand, pour de bon, aurons-nous l'opinion d'ingés du son (journaleux et critiques, vous abstenir, merci...)!
-Dans les années 70 il existait dans les revues une "note de pressage" différente de la note de prise de son.....mais rien de tel pour les CD....et a juste titre.
-Sachant qu'il n'y a aucune perte entre le Master d'un CD et le CD, et ce contrairement au disque noir.
-c'est donc bien "ce qui est gravé sur le CD par les inges du son est discutable". En effet il existe quantité de Mastering mal faits....( par exemple pour les CD agressifs il n'aurait pas été tenu compte de l'accentuation de l'aigu des magnétos a bande lors du transfert)
-le CD devrait donc toujours être supérieur au vinyle correspondant, si le Mastering CD était toujours bien fait.
Scytales a écrit:Bonjour Igor
On peut aussi ajouter, me semble-t-il, une curieuse pratique au début du CD : la préaccentuation (emphasis en anglais) de l'aigu (augmentation volontaire du niveau de l'aigu) !
Pour lire correctement ces CD, il fallait donc que le lecteur procède à une désaccentuation (de-emphasis) des fréquences aiguës ! Or, tous les lecteurs récents ne le font plus...
Cette pratique du début de l'ère du CD peut paraître très étrange, mais en même temps je me demande si elle n'était pas justifiée par les performances des puces de conversion de l'époque. Il est assez communément dit que les performances du système de codage PCM se dégrade plus la fréquence augmente et plus le niveau sonore baisse. Or, en musique, plus on monte dans l'aigu, moins il y a de niveau. Ainsi, le signal s'approche de niveaux où sa quantification sur un nombre plus faible de bits dégrade les performances au stade de la conversion. Augmenter artificiellement le niveau permettrait donc de faire travailler les convertisseurs sur un nombre plus élevé de bits, pour préserver les performances. Une fois que la conversion est faite, il faut alors désaccentuer l'aigu. J'ai d'ailleurs déjà vu le schéma d'un ancien lecteur de CD Sony dans lequel la déssaccentuation est faite après la conversion numérique/analogique. Ca collerait bien avec l'explication que je suggère !
san-antonio a écrit:
Pour qui vous prenez-vous? Cela fait 20 fois par MP que je vous demande de me vouvoyer M. auto-proclamé Haskil. Je vous le demande une fois de plus, même si cela commence a me lasser. Cette requête n'allant pas a l'encontre de la charte, j'aimerais que vous m'expliquiez pour quelle raison vous bous permettez ce tutoiement insupportable laissant a penser que nous nous connaissons.
(...)
Sinon, toujours ce tutoiement insupportable... Ca se corrige, vous verrez...
haskil a écrit:san-antonio a écrit:
Sinon, toujours ce tutoiement insupportable... Ca se corrige, vous verrez...
La règle sur les forums est le tutoiement. Si tu ne le comprends pas c'est ton problème.
Pour le reste :
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