Quelques expériences sur le contraste

» 03 Déc 2006 21:25

MLill a écrit:Ce n'est pas évident que ton petit HC1100 s'en tire mieux qu'un Ruby.
En tous cas mon petit H72 optimisé avec un filtre (contraste natif de 2000:1 calibré) s'en tire moins bien.

Michel

Je me basais sur les chiffres de contraste ANSI pour avancer cela. Je ne mets pas ta parole en doute, j'aimerais juste que tu m'expliques stp. J'ai encore beaucoup à apprendre! :lol:

Vincent

» 03 Déc 2006 23:26

J'ai essayé d'expliquer plus haut le peu d'intérêt du contraste ANSI.
On est limité en pratique ... par la pièce. Même les plus sombres ne passent pas les valeurs avancées par les DLP comme le tien (ou le mien).

Par ailleurs les mires ANSI contiennent 50% de blanc ce qui ne correspond à aucune image vidéo (l'image standard est plutôt à 15%).

Or plus il y a de blanc plus il y a des réflexions à l'intérieur du projecteur.

Je n'ai pas fait de mesures du Pearl sur des mires de type ANSI avec 15% de blanc (les journées ne suffiraient pas pour tous ces tests).
Mais je suppose que l'écart avec les DLP est inexistant.
Bien entendu ces mesures figurent plus haut pour le TW600 et le HD72 dans deux pièces différentes

Par contre ce que l'on mesure avec le contraste ANSI a de l'importance ... pour le piqué de l'image.

Il y a hélas beaucoup de confusions entre :
- contraste natif (celui qui importe)
- contraste ANSI (mis en avant par les fanatiques du DLP)
- contraste on/off iris activé (mis en avant par les fanatiques du LCD)

Michel

» 03 Déc 2006 23:53

Je viens de m' apercevoir que l'ANSI du colorimètre ne fait pas fermer l'iris dynamique; c'est donc tout faux pour le ratio de contraste.

Et, concernant l'iris dynamique:

Un avis intéressant de Bastien Cluzet: si le contraste natif est bon (cas du VW50), il préfère sans.

Alain

» 04 Déc 2006 11:00

Fermé ou ouvert il n'y aurait pas de différence.
Mais bien entendu avec 50% de blanc l'iris est toujours ouvert à fond.
Sinon on peut se damander quand il le serait.

Sur des mires blanc-noir la correction de gamma n'est pas mesurable.
Seule les déviations colorimétriques peuvent être perçues.

Michel

» 04 Déc 2006 11:53

MLill a écrit:Sur des mires blanc-noir la correction de gamma n'est pas mesurable.
Seule les déviations colorimétriques peuvent être perçues.

J'avais déjà noté ta remarque

Toutefois, si je lance d'abord la mesure iris dynamique désactivé et ensuite iris activé j'ai une grande variation de gamma sur les bas niveaux IRE.

Alain

» 04 Déc 2006 13:50

Bien entendu

On ne parlait pas de la même chose.
Je n'arrive toujours pas à me faire aux mesures de gamma effectuées iris activé :mdr:

Michel

» 04 Déc 2006 19:42

MLill a écrit:Bien entendu

On ne parlait pas de la même chose.
Je n'arrive toujours pas à me faire aux mesures de gamma effectuées iris activé

Michel

Gamma constant à 2.2 de 0 à 100 IRE iris désactivé = gamma > 2.5 de 0 à 20 ou 30 IRE iris activé = noirs bouchés :-?

Alain

» 04 Déc 2006 20:40

La encore je suis d'accord

On peut tirer des conclusions utiles de la courbe de gamma et de l'histogramme RVB, iris dynamique activé.
Mais ce sont des recettes de cuisine qui dépendent du projecteur étudié.

Le calibrage iris activé n'est pas "interdit" ... bien au contraire.

Michel

» 05 Déc 2006 21:57

MLill a écrit:La encore je suis d'accord

On peut tirer des conclusions utiles de la courbe de gamma et de l'histogramme RVB, iris dynamique activé.
Mais ce sont des recettes de cuisine qui dépendent du projecteur étudié.

Le calibrage iris activé n'est pas "interdit" ... bien au contraire.

Michel

Iris fermé = luminosité sombre, gamma et gammut facilement réglable
Iris ouvert = un peu plus de luminosité, gamma et gammut facilement réglable
Iris auto = luminosité maxi d'origine, mais gamma impossible à 2.2 de 0 à 100IRE

ceci sur le Z4 :wink:

» 05 Déc 2006 23:10

MLill a écrit:Salut Yves

C'est tout à fait cela

Avec des nuances selon les projecteurs et la position du spot.
Et l'infinité des algorithmes développés pour traiter le problème.

Pour l'instant il n'y a que Sony et Epson qui à mon avis maîtrisent le sujet.
De manière très différente toutefois.

Mais je suis loin d'avoir tout vu et tout compris.

Michel

ce qui voudrait dire que l'iris auto du Z4 est gadget (trop aléatoire et peu précis) et qu'il vaut mieux calibrer et visionner en iris Ouvert ?

» 06 Déc 2006 0:56

J'ai utilisé le Z4 avec son iris auto et son mode auto de la lampe.
Mais son intérêt est assez loin de celui des Sony ou de l'Epson.

Je ne sais pas si le Z5 est en progrès sur ce point.

Michel

» 06 Déc 2006 11:52

La question que je me pose, est:

Est il vraiment pénalisant de laisser l'iris en position Ouvert constament sur les scénes claires et sombres, sachant qu'il existe un mode en Auto ?

Je suppose que ca dépend de la capacité de l'iris en mode Auto à travailler correctement et de sa fiabilité.

Pour le Z4, il m'a semblé que tu disais qu'il fallais mieux le laisser en Ouvert, et que tu ne faisais pas confiance à la fiabilité justement d'un iris Auto sur ce type de VP, excépté celui du HS50/60 et du TW600/700.

» 07 Déc 2006 9:06

J'ai utilisé le Z4 en mode iris auto et lampe auto.
C'est le compromis que j'ai préféré.

Je l'ai aussi calibré iris ouvert et fermé en retenant la solution qui me semblait la meilleure pour le mode d'utilisation retenu.
Rien de très rigoureux.

Michel

» 07 Déc 2006 9:28

Le test du Z5 est-il prévu Michel ?

» 07 Déc 2006 10:07

Finalement je ne m'explique pas comment le ratio de contraste d'un projecteur LCD équipé D5 peut être supérieur à celui natif de la matrice soit 600:1 annoncé par Seiko Epson en 2005 :-?

Iris dynamique désactivé s'entend.

Alain