Les avions et vous...

[baldabiou]

c'est bon pour cette fois mais
faudrait pas que ça se reproduise...
syber-technologie fait de la veille

[baldabiou]

DTQ

tu frimes mais
quand joich a sorti son manche à balais,
tu faisais moins le fiêêêr !

[syber]

On répond quand ça a un sens.

[camps]

Balda Joich Bmp etc etc

Tous Syber'not

[Joich]

KWAAA? Mais c'est quoi encore cette histoire de manche à balai?

[Joich]

OMN : Officier Mécanicien Navigant


ROGER

[youtube]f789ICndOqs[/youtube]

[syber]

La Malaisie dément l'existence du coup de fil, d'après RTL.

[bpm92]

Balda Joich Bmp etc etc

Tous Syber'not

Euh...

Je n'ai rien contre syber...

[bpm92]

La Malaisie dément l'existence du coup de fil, d'après RTL.

Ouais ça ne m'étonne pas... Comme d'habitude, je dirais...

[bpm92]

À noter qu'on a vu mieux comme démenti...

MH370 search: Co-pilot did not attempt mid-air phone call, says Hisham



KLUANG: Acting Transport Minister Datuk Seri Hishammuddin Tun Hussein has refuted a report which claimed that Fariq Abdul Hamid, the co-pilot of the MH370 aircraft, had made a telephone call when it was flying low near Penang.

He said by right, he should have been aware of it (the phone call) earlier, if the claim was true.

"I cannot comment because if it is true, we would have known about it much earlier," Hishammuddin, who is also Defence Minister, said after performing prayers at the Taman Sri Lambak Mosque here Saturday.

He said he had adopted the approach not to confirm anything without any corroboration or verification since the beginning when flight MH370 was reported missing.

He said it was irresponsible for any quarters to take the opportunity to make a baseless report.

He hoped the public understood what he was going through because such baseless information not only affected operations but also the families of the passengers and the crew of the aircraft.

Flight MH370, carrying 227 passengers and 12 crew, left the KL International Airport at 12.41am on March 8 and disappeared from radar screens about an hour later while over the South China Sea. It was to have landed in Beijing at 6.30am on the same day. - Bernama



Source : The Star Online | Malaysia - Saturday April 12

Vol MH370: pas de coup de fil du copilote



La Malaisie a démenti dimanche l'existence d'un coup de fil passé par le copilote depuis le Boeing 777 de Malaysia Airlines avant la disparition de l'avion, le 8 mars, et précisé que les enquêtes sur les passagers se poursuivaient.

Un journal malaisien a affirmé la veille que le copilote, Fariq Abdul Hamid, avait tenté de passer un appel de son téléphone portable juste avant que l'avion ne disparaisse des écrans radar. L'appel a été coupé, peut-être "parce que l'avion s'est rapidement éloigné du relais (de télécommunications)", écrivait le New Straits Times (NST).

Le ministre malaisien des Transports a indiqué dimanche ne pas avoir connaissance d'un tel appel. "Autant que je sache, non", a répondu Hishammuddin Hussein à un journaliste lui demandant si des appels avaient été passés.

Il a cependant ajouté ne pas vouloir s'avancer dans "ce qui est le domaine de la police et des agences internationales" qui enquêtent sur l'affaire.

"Je ne veux pas perturber les enquêtes qui sont conduites non seulement par la police malaisienne mais aussi le FBI, (les services secrets britanniques) MI6, les renseignements chinois et d'autres agences", a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Kuala Lumpur.

Il a également précisé qu'aucun passager n'avait été totalement écarté de l'enquête, contredisant des propos tenus précédemment par la police malaisienne qui disait qu'après vérification, tous les passagers étaient hors de cause.

"L'inspecteur général de la police avait indiqué alors n'avoir rien trouvé de suspect parmi les passagers (...) mais à moins que nous trouvions plus d'informations, notamment les données contenues dans les boites noires, je ne pense pas que le chef de la police puisse dire qu'ils ont tous été écartés", a déclaré le ministre.

Les enquêteurs sur la disparition du vol MH370 examine divers scénarios: un détournement, un acte de sabotage ou l'acte désespéré d'un passager ou d'un membre de l'équipage. Mais aucun élément matériel n'a permis de privilégier l'une ou l'autre de ces hypothèses.

Le vol MH370 assurait la liaison Kuala Lumpur-Pékin le 8 mars au matin quand il a disparu peu après son décollage de la capitale malaisienne.

Alors qu'il était entre la Malaisie et le Vietnam, il a tout à coup mis le cap sur l'ouest, survolant la Malaisie, vers le détroit de Malacca.
On estime, sur la base de données fournies par satellite, que l'appareil, après avoir pour une raison inconnue changé complètement de route, s'est abîmé dans l'océan Indien.



Source : Le Figaro - AFP - 13/04/2014

[bpm92]

Faut quand même garder à l'esprit, pour ne citer que cet exemple, que la Malaisie a longtemps démenti ne serait-ce que le simple fait que l'appareil ait pu continuer de voler après sa disparition des écrans radars...

La Malaisie dément que le Boeing disparu a continué de voler après la coupure radio



La Malaisie dément que le Boeing du vol MH370, mystérieusement disparu depuis samedi, a continué de voler plusieurs heures après la perte de contact, contrairement à des informations notamment relayées par la presse américaine. L'hypothèse des enquêteurs se base sur les données transmises au sol automatiquement par les moteurs Rolls Royce de l'appareil. "Ces informations sont inexactes", a déclaré le ministre à la presse.



Source : Le Figaro - AFP - 13/03/2014

Malaisie : l'avion a continué son vol après sa disparition des écrans radars



Le Premier ministre malaisien a confirmé ce samedi que le vol MH370 avait poursuivi sa route pendant six heures après avoir disparu des écrans radars. Les autorités malaisiennes se refusent toutefois à confirmer la thèse d'un détournement.



Les mouvements du vol MH370 ont été provoqués par "une action délibérée", a annoncé le Premier ministre malaisien ce 15 mars.

Les systèmes de transmission de données du Boeing 777 "ont été désactivés", a-t-il ajouté, mais des contacts satellites ont été relevés pendant six heures après la disparition de l'avion des écrans radars civils. L'appareil était alors à mi-chemin entre les côtes de Malaisie et du Vietnam, une heure après son décollage de Kuala Lumpur, à destination de Pékin, avec 239 personnes à bord. Il était 1h30 du matin, samedi 8 mars. L'avion a ensuite changé de cap, s'orientant vers l'ouest, est repassé au-dessus de la péninsule malaisienne, en direction de l'Océan indien. "Ces mouvements sont cohérents avec une action délibérée de quelqu'un à l'intérieur de l'avion", a déclaré le chef du gouvernement. Mais "malgré des informations de presse évoquant un détournement, je souhaite être très clair: nous en sommes encore à enquêter sur toutes les possibilités qui ont pu provoquer le changement de direction du MH370", a-t-il dit.

Le Premier ministre a également annoncé l'arrêt des recherches en mer de Chine méridionale. "Nous mettons fin à nos opérations en mer de Chine méridionale et nous réexaminons le déploiement de nos forces."



Source : AFP - 15/03/2014

[bpm92]

Et pourtant...

«Ma thèse: un détournement par un des pilotes»






Pour vous, le gouvernement malaisien a dissimulé des informations capitales ?



Ancien policier de la direction centrale de la police judiciaire, l'ancienne DNAT devenue la DCRI, j'ai travaillé sur plusieurs dossiers de détournements d'avions, à commencer par le vol Alger-Marseille en 1994. Si je m'en tiens au fait, et à l'aune de mon expérience, je ne peux croire qu'un acte terroriste puisse être à l'origine de la disparition de l'avion. Par contre, je reste convaincu que le gouvernement malaisien n'a fait que dissimuler des informations tout au long de ce dossier.



Mais pourquoi cacher la vérité ?



Impossible de répondre clairement. Ce que je sais, c'est que dès les premiers jours de la disparition de l'avion, j'ai eu une information de façon totalement hasardeuse selon laquelle une société basée à Montréal et spécialisée dans le traitement des données de vol, travaillait précisément sur le dossier malaisien. Je savais par mon métier qu'il n'existe pas trente-six mille sociétés capables de décrypter des informations de vol, de les comprendre et de les analyser… Le 11 mars, trois jours après la disparition du Boeing, la Malaisie annonçait qu'il n'y avait aucune raison de penser que l'avion avait continué sa route après avoir échappé aux radars. Moi, à la même date, par une source particulière, j'ai pu établir que, l'avion avait volé en vérité au moins 4 ou 5 heures après sa disparition. Mais Malaysian Airlines a continué de l'infirmer.



Mais qui sont ces sociétés chargées d'analyser les données ?



Malaysian Airlines ne pouvait ignorer l'information selon laquelle le Boeing avait volé au moins quatre heures après avoir échappé aux radars. Cette info lui avait sans doute été transmise par le canal de deux sociétés : Inmarsat qui fait du traitement de données satellitaires, et Sita, basée à Montréal, qui a déjà travaillé sur la disparition du Rio-Paris et en a analysé les données de vol. L'avion, après s'être soustrait aux radars, a continué d'envoyer des données de vol. Inmarsat m'a bien confirmé qu'elle avait reçu ces données, transmises ensuite à Sita. Quand je suis revenu vers Sita, la société m'a confirmé qu'elle disposait bien des données de vol, mais s'est refusé à en dire plus. Avait-elle une obligation contractuelle de discrétion par rapport à son client Malaysian Airlines...?



Mais pourquoi la Malaisie a-t-elle voulu ce black-out ?



C'est tout le mystère. Le gouvernement a sans doute voulu garder la maîtrise de ce dossier pour des raisons politiques. En Malaisie, le ministre des Transports est aussi le ministre de la Défense et le cousin du Premier ministre. C'est un gouvernement autocratique où l'information est muselée. Peut-être s'agit-il de protéger les intérêts personnels et gouvernementaux. Dès le début, ce pays a eu des doutes sur la responsabilité d'un des pilotes, capable peut-être d'avoir détourné l'avion. La Malaisie fonctionne en majorité sur le tourisme et Malaysian Airlines, compagnie réputée très fiable, fonde sa réputation sur des années de vols sans incidents. Le gouvernement ne peut laisser croire qu'un des pilotes a détourné un vol pour se jeter dans l'océan. On imagine les inévitables retombées géopolitiques et économiques, notamment avec le voisin chinois. La Malaisie a fait très maladroitement du «damage control». La thèse d'un détournement par un des pilote reste celle qui valide le mieux les éléments du dossier dont on dispose à cette heure. Si la Malaisie conserve des doutes sur son pilote, elle n'a pas envie que ça se sache.



Vous ne croyez donc pas à la piste terroriste ?



Pour moi, le détournement de l'avion par des terroristes qui auraient franchi la porte antieffraction du cockpit, qui se seraient emparé de l'appareil et l'auraient détourné sans qu'il y ait de revendication, sans qu'un membre de l'équipage ou un passager le signale… Tout cela représente pour moi à un scénario «james bondien» avec un taux de probabilité très faible.






Source : La Dépêche - Stéphane Berthomet, Vit à Toronto. Ancien de la DRCI et de la DST, spécialiste du terrorisme

" En Malaisie, le ministre des Transports est aussi le ministre de la Défense et le cousin du Premier ministre. "


C'est encore... lui qui a fait le " démenti " pour ce qui concerne l'histoire du téléphone...

[syber]

Avec, semble t-il, de la part des autorités Malaisiennes une différence d'intention et de tonalité entre le début de la crise et le moment où elle est rendue actuellement.

Au début de l'affaire, la Malaisie communiquait vers le monde comme elle communique vers son peuple, en censurant l'information afin de tenter de garder la main en montrant une maîtrise et une infaillibilité de façade.

Actuellement, la Malaise ayant démontré son incapacité à résoudre l'affaire se retrouve dans la position d'être principalement le porte parole d'agences internationales qui sont à la manœuvre. On peut penser qu'elle est forcée à plus de transparence de ce fait.

[bpm92]

Ou on leur a peut-être conseillé de se taire... Avant-hier, c'est le premier ministre australien qui s'est déplacé en personne à Pékin pour rendre compte de l'avancée des recherches... Et vu que l'enquête est, elle, de son côté, visiblement pilotée par des services étrangers, il ne leur reste plus beaucoup de " prérogatives " ...

[tututpouet]

Avec, semble t-il, de la part des autorités Malaisiennes une différence d'intention et de tonalité entre le début de la crise et le moment où elle est rendue actuellement.

Au début de l'affaire, la Malaisie communiquait vers le monde comme elle communique vers son peuple, en censurant l'information afin de tenter de garder la main en montrant une maîtrise et une infaillibilité de façade.

Actuellement, la Malaise ayant démontré son incapacité à résoudre l'affaire se retrouve dans la position d'être principalement le porte parole d'agences internationales qui sont à la manœuvre. On peut penser qu'elle est forcée à plus de transparence de ce fait.

La Chine ne laisse rien passer, la moindre info ou rumeur sérieuse passe sur toutes les grandes chaînes, et l'info est directement contrôlée par le pouvoir central.
Ca se passe entre la Chine et l'Australie, la Malaisie n'a qu'un droit: observer.